Quelque 600 millions de dinars ont été mobilisés, ces deux dernières années, à Illizi, pour le financement d’une quarantaine de projets agricoles ruraux, a-t-on appris des services agricoles (DSA) de la wilaya.
Ces projets consistent notamment en la réalisation, à travers une trentaine de localités de la wilaya, de pistes agricoles, de 30 puits de parcours pour l’abreuvement du cheptel et la remise en l'état de 8 km du réseau d’irrigation à Debdeb et Djanet, a précisé la même source. La phoeniciculture occupe la seconde place dans ce programme avec une enveloppe de 23 millions de dinars, destinés à la revivification des palmeraies sur une superficie globale de 300 hectares au sud de la wilaya, et à la redynamisation de cette activité qui a fait la réputation de ces contrées éloignées, notamment les régions de Ihrir et de Djanet, a indiqué le directeur des services agricoles. L'agriculture, dans la wilaya d’Illizi, a connu une «nette évolution» ces dernières années, à la faveur de différents programmes de développement, d’aides et de soutien consacrés au secteur par l’Etat, a-t-il souligné. Ces opérations de développement devront permettre l’amélioration des conditions de vie et la fixation des populations dans ces régions sahariennes où vivent quelque 12.000 âmes, a estimé le DSA.
Le Financier
Ces projets consistent notamment en la réalisation, à travers une trentaine de localités de la wilaya, de pistes agricoles, de 30 puits de parcours pour l’abreuvement du cheptel et la remise en l'état de 8 km du réseau d’irrigation à Debdeb et Djanet, a précisé la même source. La phoeniciculture occupe la seconde place dans ce programme avec une enveloppe de 23 millions de dinars, destinés à la revivification des palmeraies sur une superficie globale de 300 hectares au sud de la wilaya, et à la redynamisation de cette activité qui a fait la réputation de ces contrées éloignées, notamment les régions de Ihrir et de Djanet, a indiqué le directeur des services agricoles. L'agriculture, dans la wilaya d’Illizi, a connu une «nette évolution» ces dernières années, à la faveur de différents programmes de développement, d’aides et de soutien consacrés au secteur par l’Etat, a-t-il souligné. Ces opérations de développement devront permettre l’amélioration des conditions de vie et la fixation des populations dans ces régions sahariennes où vivent quelque 12.000 âmes, a estimé le DSA.
Le Financier