Le constructeur japonais Nissan, a finalement suspendu sa participation dans le projet d’usine commune avec Renault dans la ville de Tanger.
Les engagements du constructeur français restent inchangés pour le moment, mais, le retrait de Nissan marquera certainement la compétitivité du Maroc.Du coté de Nissan, le projet de Tanger n’est plus d’actualité pour le moment. Surmonter la crise économique mondiale pour le nippon, semble être la première priorité.
Le plan de sortie de crise selon le PDG Carlos Ghosn, devrait également se traduire par la suppression de 20.000 emplois dans le monde.
Les professionnels du secteur automobile à Casablanca et Tanger, notamment les équipementiers qui fondent beaucoup d’espoir sur cet investissement, sont restés sous le choc. « Certes, les rumeurs allaient bon train depuis quelques mois sur une éventuelle annulation de projets de Nissan dans le monde. Mais on ne croyait pas que le Maroc allait être concerné directement compte tenu des engagements pris au plus haut niveau par le top management de l’Alliance », se désole une source proche des équipementiers.
D’un autre coté le ministre de l’industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Ahmed Réda Chami, a indiqué que le retrait du japonais aura impact très limité sur le projet. D’ailleurs, sa participation ne représente que 20% du volume global du projet.
Le constructeur français Renault a réaffirmé, pour sa part, lundi, que ses engagements "sont maintenus" et qu'ils ne sont pas remis en cause, après l'annonce le même jour, par Nissan, de la suspension de sa participation à ce projet.
Le porte-parole de la firme française, Mme Sophie Durant a souligné à Paris que "c'est Renault qui avait signé les accords relatifs à l'usine de construction automobile de Tanger et qu'elle "pilote, de ce fait, ce projet industriel".
Tunisie Affaires
Les engagements du constructeur français restent inchangés pour le moment, mais, le retrait de Nissan marquera certainement la compétitivité du Maroc.Du coté de Nissan, le projet de Tanger n’est plus d’actualité pour le moment. Surmonter la crise économique mondiale pour le nippon, semble être la première priorité.
Le plan de sortie de crise selon le PDG Carlos Ghosn, devrait également se traduire par la suppression de 20.000 emplois dans le monde.
Les professionnels du secteur automobile à Casablanca et Tanger, notamment les équipementiers qui fondent beaucoup d’espoir sur cet investissement, sont restés sous le choc. « Certes, les rumeurs allaient bon train depuis quelques mois sur une éventuelle annulation de projets de Nissan dans le monde. Mais on ne croyait pas que le Maroc allait être concerné directement compte tenu des engagements pris au plus haut niveau par le top management de l’Alliance », se désole une source proche des équipementiers.
D’un autre coté le ministre de l’industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Ahmed Réda Chami, a indiqué que le retrait du japonais aura impact très limité sur le projet. D’ailleurs, sa participation ne représente que 20% du volume global du projet.
Le constructeur français Renault a réaffirmé, pour sa part, lundi, que ses engagements "sont maintenus" et qu'ils ne sont pas remis en cause, après l'annonce le même jour, par Nissan, de la suspension de sa participation à ce projet.
Le porte-parole de la firme française, Mme Sophie Durant a souligné à Paris que "c'est Renault qui avait signé les accords relatifs à l'usine de construction automobile de Tanger et qu'elle "pilote, de ce fait, ce projet industriel".
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