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Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdellah Ghlamallah, a présidé mardi à Alger le lancement de la société de taxis "Trans-Wakfs", un projet initié au profit de 30 jeunes.
Dans le cadre de ce projet, 30 jeunes, dont une dame, inscrits à l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (ANSEJ) se verront octroyer des taxis, dans une première phase, précise le ministre.
Le projet qui a permis "la création de 36 emplois à la faveur d'une enveloppe financière de 28.340. 000 DA, sera généralisé aux jeunes des autres régions du pays", ajoute-t-il.
"Il est également prévu la création de 1.200 emplois au titre de cette opération", poursuit M. Ghlamallah qui souligne que la réalisation de cet objectif est fonction des contributions émanant des sociétés publiques et privées ou même des citoyens.
Cette initiative "s'inscrit, observe le ministre, dans le cadre de l'application des directives du président de la République concernant la nécessité de mobiliser les wakfs au service de la société et de l'économie nationale", en ajoutant que son département prospecte d'autres moyens d'exploiter les biens wakfs répartis à travers le territoire national.
Premier du genre, a soutenu le ministre, ce projet s'insère dans le prolongement des activités du ministère des Affaires religieuses qui, estime-t-il, "ne devraient pas se limiter aux mosquées, mais devraient être élargies aux domaines socioéconomiques".
Dans ce contexte, M. Ghlamallah a souligné que la mosquée "ne doit pas se transformer en un lieu de propagande (...) ou servir des intérêts personnels".
Par APS
Dans le cadre de ce projet, 30 jeunes, dont une dame, inscrits à l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (ANSEJ) se verront octroyer des taxis, dans une première phase, précise le ministre.
Le projet qui a permis "la création de 36 emplois à la faveur d'une enveloppe financière de 28.340. 000 DA, sera généralisé aux jeunes des autres régions du pays", ajoute-t-il.
"Il est également prévu la création de 1.200 emplois au titre de cette opération", poursuit M. Ghlamallah qui souligne que la réalisation de cet objectif est fonction des contributions émanant des sociétés publiques et privées ou même des citoyens.
Cette initiative "s'inscrit, observe le ministre, dans le cadre de l'application des directives du président de la République concernant la nécessité de mobiliser les wakfs au service de la société et de l'économie nationale", en ajoutant que son département prospecte d'autres moyens d'exploiter les biens wakfs répartis à travers le territoire national.
Premier du genre, a soutenu le ministre, ce projet s'insère dans le prolongement des activités du ministère des Affaires religieuses qui, estime-t-il, "ne devraient pas se limiter aux mosquées, mais devraient être élargies aux domaines socioéconomiques".
Dans ce contexte, M. Ghlamallah a souligné que la mosquée "ne doit pas se transformer en un lieu de propagande (...) ou servir des intérêts personnels".
Par APS
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