De nombreuses firmes israéliennes observent avec attention les évolutions de l’offshoring au Maroc. En effet, l’expérience marocaine intéresse de plus en plus les milieux d’affaires qui cherchent des
débouchés et voies nouvelles de développement.
Le fait que, par exemple, Capgemini (informatique et conseil) et Safran (électronique professionnelle)soient au Maroc et très peu actifs en Israël étonne profondément les milieux d’affaires du high-tech israélien.
Un article très intéressant sur l’offshoring au Maroc de ********.com (copyrights): “Le ministre du Commerce extérieur Abdellatif Maâzouz a souligné que le Maroc, qui n’était même pas sur la carte de l’offshoring il y a trois ans, se classe aujourd’hui parmi les dix premiers pays dans ce domaine.
“L’arrivée de grands investisseurs comme Renault, Capgemini (informatique et conseil), Safran (électronique professionnelle) dans des secteurs de pointe, invite à l’optimisme et devrait attirer d’autres groupes de renom”, explique le ministre, dans un article publié dans la dernière livraison de l’hebdomadaire “Jeune Afrique”.
Après avoir indiqué que le Maroc est dans une étape de transition et qu’il commence à récolter les fruits de sa politique sectorielle, M. Maâzouz a cité, entre autres, le Plan Emergence qui, depuis 2006, a permis de développer des secteurs à plus forte valeur ajoutée comme l’automobile, l’aéronautique, l’électronique ou encore le Plan Vert lié à l’agriculture, qui devrait permettre de redynamiser le secteur agroalimentaire.
Concernant l’approche transversale menée par le gouvernement pour améliorer la compétitivité économique du pays, le ministre a fait savoir qu’elle associe, outre le Centre marocain de promotion des exportations (CMPE) et son propre ministère, d’autres départements ministériels et en premier lieu celui des Affaires étrangères et de la Coopération.
“La crise est aussi une opportunité pour revoir notre portefeuille de produits et nos marchés cibles. C’est l’occasion d’aller chercher des investisseurs qui allaient vers l’Asie et qui reviennent vers des marchés de proximité”, a-t-il argumenté, expliquant que dans le financement du cycle des exportations, le fait d’être proche des marchés confère une meilleure compétitivité.
Evoquant, par ailleurs, la politique libérale que mène le Maroc à travers la signature de plusieurs accords de libre-échange, le ministre a mis l’accent sur la nécessité de donner une véritable vitalité à ces mécanismes de coopération, notamment à l’accord d’Agadir.
Dans cet objectif, M. Maâzouz a plaidé pour l’augmentation de la complémentarité entre les pays concernés (Maroc, Tunisie, Egypte, Jordanie) en particulier dans le secteur de l’automobile, et pour une plus grande intégration économique du Maghreb, compte tenu des énormes potentialités qu’offrirait la construction d’un marché unique”.—
Source : IsraelValley
débouchés et voies nouvelles de développement.
Le fait que, par exemple, Capgemini (informatique et conseil) et Safran (électronique professionnelle)soient au Maroc et très peu actifs en Israël étonne profondément les milieux d’affaires du high-tech israélien.
Un article très intéressant sur l’offshoring au Maroc de ********.com (copyrights): “Le ministre du Commerce extérieur Abdellatif Maâzouz a souligné que le Maroc, qui n’était même pas sur la carte de l’offshoring il y a trois ans, se classe aujourd’hui parmi les dix premiers pays dans ce domaine.
“L’arrivée de grands investisseurs comme Renault, Capgemini (informatique et conseil), Safran (électronique professionnelle) dans des secteurs de pointe, invite à l’optimisme et devrait attirer d’autres groupes de renom”, explique le ministre, dans un article publié dans la dernière livraison de l’hebdomadaire “Jeune Afrique”.
Après avoir indiqué que le Maroc est dans une étape de transition et qu’il commence à récolter les fruits de sa politique sectorielle, M. Maâzouz a cité, entre autres, le Plan Emergence qui, depuis 2006, a permis de développer des secteurs à plus forte valeur ajoutée comme l’automobile, l’aéronautique, l’électronique ou encore le Plan Vert lié à l’agriculture, qui devrait permettre de redynamiser le secteur agroalimentaire.
Concernant l’approche transversale menée par le gouvernement pour améliorer la compétitivité économique du pays, le ministre a fait savoir qu’elle associe, outre le Centre marocain de promotion des exportations (CMPE) et son propre ministère, d’autres départements ministériels et en premier lieu celui des Affaires étrangères et de la Coopération.
“La crise est aussi une opportunité pour revoir notre portefeuille de produits et nos marchés cibles. C’est l’occasion d’aller chercher des investisseurs qui allaient vers l’Asie et qui reviennent vers des marchés de proximité”, a-t-il argumenté, expliquant que dans le financement du cycle des exportations, le fait d’être proche des marchés confère une meilleure compétitivité.
Evoquant, par ailleurs, la politique libérale que mène le Maroc à travers la signature de plusieurs accords de libre-échange, le ministre a mis l’accent sur la nécessité de donner une véritable vitalité à ces mécanismes de coopération, notamment à l’accord d’Agadir.
Dans cet objectif, M. Maâzouz a plaidé pour l’augmentation de la complémentarité entre les pays concernés (Maroc, Tunisie, Egypte, Jordanie) en particulier dans le secteur de l’automobile, et pour une plus grande intégration économique du Maghreb, compte tenu des énormes potentialités qu’offrirait la construction d’un marché unique”.—
Source : IsraelValley
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