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L’Algérie n’a pas l’agriculture pour vocation

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  • #16
    Je citais le plan pour te dire que notre agriculture est loin de fonctionner à plain régime et qu'elle a énormément de potentiel encore.

    on reve de creer la famaux complexe agroalimentaire .. l'idée n'est pas nouvelle ,elle n'est pas propre au maroc , bcp de pays s'y ont essayé ,
    Effectivement c est un objectif. Si beaucoup de pays s y sont essayé c est qu'il a de l'intérêt. Est ce que ces pays ont réussi ou pas? Ça dépend de comment ils s'y sont pris. Il y a des exemples de réussites.

    la seule remarque qu'on puisse emettre est que ce plan dit clairement ce qu'on veut
    C est ce qu'on attend de lui : une vision stratégique pour un secteur qui fait travailler 1 marocain sur 2

    mais pas comment le faire
    Ce n est pas un manuel d'utilisation détaillé mais il définit les axes d'amélioration retenus. Il doit après être décliné au niveau régional car chaque région à ses spécificités.

    mais il omet l'essenteil , je le repete , la surrexploitation du poten,tiel hydrique et sol, la dependance dangereuse envers le marché exterieur pour vendre des produits certe a valeur ajouté (primeur) mais par leur vocation des produits non essentiels
    Au contraire il vise à optimiser l'utilisation du potentiel hydrique et du sol par une amélioration qualitative des techniques de culture et d'irrigation. Tout en augmentant les rendements et la valeur ajoutée bien sur.

    et continuer a dependre en produits de base
    Non une large part du plan est consacré à la céréaliculture. Toutefois on s arcboute pas sur le concept de sécurité alimentaire absolue en produits de base. On est conscient que nous n'avons ni la géographie ni les conditions métérologiques de la france ou des plaines du midewest. Mais on peut surement s améliorer.

    car l'enjeu est de faire disparaitre la petite paysanerie
    L'enjeu politique est d'augmenter le niveau de vie dans les campagne en augmentant les rendements. Les grands groupes ou les grandes exploitation servent "d'incubateurs" de modèles qui tirent vers le haut et qu'on espère bien géré car au main du privé. On ne veut pas créer de kolkhoze ou de ferme collective!

    bref , le plan vert conduira le maroc a une impasse dans 30 ans
    L'impasse c est de rester les bras croisés.

    'algerie n'a ni plan vert , ni plan rouge , elle n'a aucun plan
    Eh bien dans trente ans ca sera un beau gachis.
    Surtout que ca sera par la faute de son propre manque de volonté politique dans ce domaine
    Dernière modification par Atlantic, 22 janvier 2009, 11h39.

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    • #17
      atlantic tu ne contredit pas ce que je dit ,tu ne fait que le signaler .. je sais tres bien où en veut venir le plan vert , j'arrive à l'imaginer , je ne dis pas que ce n'est pas faisable, je dis que le maroc n'est pas assez outillé pour le faire , qd je dis le maroc je parle de son administration agricole , des ses centres de vulagarisation , et surtt d'un systeme de controle qui ne laisse pas des industriels massacrer le potentiel hydrique et le sol de votre pays , en titrer de l'argent et se barer .. israel a le sol le plus aride de la planette elle tire les plus gros rendements de la planete , mais ça a une cause et des effets , la cause est la tres forte performance des technologies agricoles en israel, un systeme de recherche agronomique pionnier dans le monde , et malgres celà ils rencontrent d'enormes problemes de phytotoxicité , de pollution des nappes phreatiques, dfe salinité .. etc ..on peut meme produire hors sol si ont est outillé pour ça , mais ça reste marginal ,la fertigation on l'utilise au maroc , comme en algerie, au maroc plus qu'en algerie , mais permet moi de signaler qu'on l'utilise n'importe comment ... je pense avoir clairement defini la differen,ce entre l'algerie et la maroc il n'est pas question de superiorité ,mais de conjoncture politique c'est tout
      en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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      • #18
        atlantic tu ne contredit pas ce que je dit ,tu ne fait que le signaler
        Il y a quand même des différences quant à la vision des choses...

        je dis que le maroc n'est pas assez outillé pour le faire , qd je dis le maroc je parle de son administration agricole , des ses centres de vulagarisation , et surtt d'un systeme de controle
        On est entrain de s'outiller pour! Que ce soit coté administratif (nouvelle agence de dévellopment agricole) que formation (volet à part entière et important du plan lui même)

        je pense avoir clairement defini la differen,ce entre l'algerie et la maroc il n'est pas question de superiorité ,mais de conjoncture politique c'est tout
        Sur ca on est clairement d'accord ! C est la vision politique qui manque à l'algérie dans se domaine. Le pire c est que c est apparament un choix assumé.

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        • #19
          Produire plus pour vaincre la faim en algerie

          ecouter je me presente cadre du secteur et je ne suis pas du tout daccord avec ce soit disant expert ait amara


          Pour faire face à la croissance mondiale de la population et au défi alimentaire qui en résulte, l'agriculture devra doubler sa production en 30 ans.
          Comprendre pour agir », c'est par cette formule que je doit commencer « Qui va nourrir le monde ? moi, ingénieur agronome et expert agricole algerien je rappel les causes de la crise alimentaire actuelle qui s'est traduite ces derniers annees par une flambée des prix alimentaires : « L'augmentation de la demande est désormais plus rapide que celle de l'offre des produits alimentaires ». La demande augmente pour trois raisons :35 millions d'habitants en plus tous les ans sur Terre, beaucoup plus de personnes qui consomment de la viande ou des produits animaux, et, enfin, le recours aux agrocarburants. Face à cette demande très soutenue, l'offre marque le pas, et ceci, pour deux raisons essentielles : dans les Pays du Sud, on a détruit progressivement tous les programmes d'aide à l'agriculture vivrière, et pendant le même temps, dans les pays « productifs » du Nord, la révolution agricole de la deuxième moitié du XXe siècle a atteint ses limites.

          Méfions-nous des solutions simplistes
          Pour juguler la crise alimentaire actuelle, que faire ? « Méfions nous de solutions trop simples et trop rapides, pour l'agriculture et du développement rural. Nous devons nous attaquer sur le moyen terme aux causes structurelles de l'insécurité alimentaire ». Le défi est aujourd'hui de produire plus, mais avec moins : moins de terre, d'eau, d'énergie et aussi, moins de chimie. Cela nécessitera un énorme effort collectif de recherche appliquée.. « C'est indispensable, mais cela prendra des années pour améliorer la situation », ,.
          « Chaque pays doit pouvoir se nourrir lui-même »,. Aujourd'hui, les trois-quarts des gens qui vivent avec moins de 04 dollars par jour et la majorité des 35 millions de personnes qui souffrent de malnutrition sont des ruraux. La mobilisation des agricultures familiales qui représentent au niveau national près d'un emploi sur deux est donc la meilleure réponse à la faim et à la pauvreté, mais cela implique de remettre l'agriculture au centre des politiques national. « Il faut systématiser les politiques de soutiens aux agricultures » nous devrons milite pour la création d'une politique de l'agriculture et de l'alimentation non politiser adossée La solution à l'insécurité alimentaire serait-elle donc dans l'exportation de Ce qui est sûr, c'est que compte tenu de l'impact insuffisant de la libéralisation des marchés agricole nationale sur le développement de son economie, la structuration des marchés agricoles devra se faire à un niveau local et régional.

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          • #20
            ecouter cela chere amis

            le secteur agricole amis en place en 2000 un dispositif d'aide aux jeunes cadre agronome chose qui a etes accuillie avec beaucoup de joie ce qui a permis la creation de plus de 800 bureaux d'etudes et conseil agricole dans le bute d'accompagner les exploitant dans la mise en place de leurs projet
            alors c'est la que sa devien interessant
            a ce jour ses bureaux d'etudes n'ont servie a rien du tout ils etaient des chomeures et d'autres en postes et d'autre des commercant ont quitter tous leurs travaile pour ce donner a la creation de leurs bureau d'etudes
            actuellement ils choment et que personne n'a pris la peine de les faire travailler ou leurs procurer un plan de chrages
            sans fiscalité sans agreemant sans assurance
            ile etaient chomeures ils sont actuellememt chomeures endettes au pres de la salem leysing
            ils ont etaient ecartés completement du programme de controle et de suivi
            ils n'ont jamais montre leur vrai capaciter relever le defis
            et et et et ...............
            alors que dire de la politique agricole algerienne
            toujours un pas en avant et deux pas en arriere j 'interpelle mer le ministre a travers se topic ou un utilisateur de ce furum de bien vouloir porter leurs revendication au plus haut niveau afin qu'ils ne disparaissent pas dans la natures commes le cas des tant de milliards investie pour le secteur
            l'investissement dans les ressources humaine n' a jamais l'objet de preoccupation de nos politique afin de leurs eviter la harga et le suicides
            lalgerie a tant investie pour ces cadres repartis a travers le territoire national
            aider les et ne les sous estimer pas on est tous issus de l'ecole algerienne et que chacun de nous a le droit de servir l'algerie
            la politique de sous estimer et de l'indifference a legard de nos jeunes diplomer creera en ses jeunes un sentiment de haine et de colere qui se traduit par le degout et le mepris pour ce jolie et riche pays
            une sonnette d'alame a ete tirer et d'autre suiverant pour ses jeunes trouverons leurs place dans leurs secteurs

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