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Maroc : Le HCP table sur un taux de croissance de 6,6% au 1er trimestre 2009

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  • Maroc : Le HCP table sur un taux de croissance de 6,6% au 1er trimestre 2009

    malgre la crise, 6,6% de croissance au premier trimestre 2009 .

    Maroc : Le HCP table sur un taux de croissance de 6,6% au 1er trimestre 2009
    Le Haut commissariat au Plan (HCP) prévoit un taux de croissance de 6,6% de l'économie nationale au 1er trimestre 2009, contre 4,8% lors du trimestre précédent, en raison des perspectives d'une campagne agricole au dessus de la moyenne des cinq dernières années.

    "Les perspectives d'une campagne agricole au dessus de la moyenne quinquennale continueraient de maintenir la croissance économique globale à des taux plus élevés, soit 6,6% au premier trimestre 2009 contre 4,8% un trimestre plus tôt", précise le HCP dans sa note de conjoncture pour le mois de janvier 2009.

    Selon le Haut commissariat, la campagne agricole 2008/09 s'annonce largement favorable et promet de ramener l'écart de production au-delà de son niveau tendanciel.

    A fin décembre 2008, le cumul pluviométrique a dépassé celui d'une année normale de 106%. Cet excédent a concerné l'ensemble des régions agricoles et a induit une élévation de 40,7% des réserves en eau des barrages à usage agricole.

    Dans ces conditions, et compte tenu d'une campagne céréalière avoisinant les 70 millions de quintaux, la valeur ajoutée agricole pourrait progresser de 22,2% au premier trimestre 2009, contribuant ainsi de 2,9 points à la croissance économique nationale, souligne le document.

    Hors agriculture, la croissance de la valeur ajoutée se situerait aux alentours de 3,9%, en variation annuelle, contre 6,2% au premier trimestre 2008. Ce ralentissement, amorcé à fin 2007, s'est accentué tout au long de l'année 2008 et pourrait perdurer au cours de la première moitié de l'année 2009.

    Selon le HCP, "l'activité économique nationale évoluerait dans un contexte empreint d'incertitude concernant l'ampleur des répercussions de la crise financière internationale et la poursuite du fléchissement des prix des matières premières".

    Confirmant la morosité entamée depuis l'été 2007, l'activité des pays industrialisés continuerait d'être affectée par les prolongements des retombées de la crise économique mondiale, matérialisés par des restrictions de l'accès au crédit, des pertes de richesse et un repli de la demande intérieure.

    Elle reculerait, ainsi, au 1er trimestre 2009, de 0,4% en variation trimestrielle, après une baisse estimée à 0,9% au 1er trimestre 2008.

    Les pays émergents ne seraient pas totalement épargnés par ce mouvement récessif et pourraient être confrontés à une nette réduction des débouchés dans les pays avancés et au durcissement des conditions de financement sur les marchés internationaux, ajoute le Haut commissariat au Plan.

    Toutefois, le fléchissement de la croissance mondiale serait accompagné d'un apaisement des tensions inflationnistes, suite au reflux des cours internationaux des matières premières, enclenché depuis la fin du 3ème trimestre 2008. L'inflation aux Etats-Unis et en zone euro ne devrait pas dépasser les 1,4% en 2009, après 3,6% et 3,4% réalisés respectivement en 2008.

    Conséquence du repli de l'activité chez les principaux partenaires commerciaux du Royaume, la demande étrangère de biens adressée au Maroc progresserait à un rythme plus modéré en 2009, contre 9% un an plus tôt.,

    Cette tendance risquerait de se prolonger au 1er trimestre 2009 avec un taux d'accroissement ne dépassant pas les 2% compte tenu des perspectives de croissance économique assez ternes et de la décélération du commerce international.

    Après s'être favorablement comportées sur la 1ère moitié de l'année 2008, les exportations de biens, corrigées des variations saisonnières, ont ralenti au 3ème trimestre (+ 4,1% en glissement trimestriel), avant de se replier au 4ème (-16,3%), suite à la chute des ventes extérieures des phosphates et de leurs dérivés, après une forte hausse aux 1er et 2ème trimestre.

    Hors phosphates et dérivés, les produits alimentaires et les biens d'équipement ont soutenu quelque peu les exportations, alors que les biens de consommation ont souffert du tassement de la demande étrangère.

    Les importations, dopées par les produits énergétiques, les demi-produits et les biens d'équipement, ont augmenté au troisième trimestre de 10,1% en glissement trimestriel. Cependant, elles auraient nettement reflué au 4ème trimestre, profitant quelque peu du repli des cours des matières premières sur le marché international.

    Dans le sillage de la décélération de la demande étrangère, la croissance économique globale se serait abaissée à 4,8% au 4ème trimestre 2008, pour clore l'année avec un taux estimé à 5,8%.

    Selon le HCP, cette performance masque, toutefois, un effritement de la production des principales branches tournées vers l'export.

    L'industrie, avec une croissance de 2,7% au 3ème trimestre 2008, se situe à un niveau en deçà de sa tendance de moyen terme. Cette évolution incombe, en particulier, à l'atonie des industries du textile-habillement et de l'électronique, comme l'atteste le repli des ventes extérieurs de la confection, de la bonneterie et des composants électroniques, respectivement de 7,1%, 16,8% et 23,5%, au cours de la même période.

  • #2
    Le secteur touristique semble également subir les effets d'un environnement international peu propice. L'évolution favorable des nuitées des touristes résidents n'a pas pu compenser le recul de celles des étrangers. Ainsi, au cours des onze premiers mois de l'année 2008, les nuitées globales corrigées des variations saisonnières ont baissé de 2,3% par rapport à la même période de l'année passée et le taux d'occupation s'est contracté de 4 points.

    Des signes d'essoufflement apparaissent aussi au niveau des secteurs tirés par la demande intérieure. Ainsi, le rythme de croissance des activités de construction se serait établi à 8,8% environ au 4ème trimestre 2008, après s'être affermi de 10,7% au deuxième trimestre. Les ventes de ciment, dont le taux d'évolution a décéléré, atteignant 3,8% contre 13,5 au 2ème trimestre, confortent ce constat.

    Dans le même sens, la valeur ajoutée du secteur énergétique semble glisser dans une phase conjoncturelle défavorable qui devrait perdurer au début de 2009. Elle a été, principalement, initiée par le revirement de la production électrique, dont l'évolution a marqué le pas (-0,1%) au 3ème trimestre, après 8,5% enregistré un trimestre plus tôt.

    Ce marasme s'est propagé aux activités de raffinage, qui ont vu leur production se réajuster à une demande locale moins dynamique, souligne le HCP.

    Au delà des perturbations apportées par l'environnement international, la demande globale se serait maintenue grâce, notamment, à un renforcement de la consommation privée (7,8% en 2008, en volume, contre 3,8% en 2007).

    Cette accélération est intervenue, alors que les ménages devaient faire face à un contexte défavorable, marqué par une reprise sensible des tentions inflationnistes et une évolution modérée du marché de l'emploi.

    En effet, l'inflation sous-jacente a fortement progressé, passant de 2,8% au mois de janvier 2008, à 5,5% six mois plus tard. Ces tensions semblent, néanmoins, s'apaiser à fin 2008 et début 2009, profitant de la décélération des prix des matières premières importées, notamment ceux des produits alimentaires hors frais.

    Globalement, le glissement annuel des prix à la consommation pourrait atteindre 3,4% au premier trimestre 2009, contre 3,9% un trimestre auparavant.

    Par ailleurs, le marché de l'emploi a poursuivi son évolution favorable entamée en 2006, tout au long des trois premiers trimestres 2008. Les créations nettes d'emploi ont atteint 145 mille postes, contre 112 mille en 2007, notamment dans les secteurs des services marchands et du BTP.

    Au 3ème trimestre, le taux de chômage a atteint 9,9%, soit le même niveau qu'en 2007.

    La conjonction des chocs financiers et économiques, qui ont affecté les économies avancées, a cassé l'élan de croissance des revenus extérieurs. A fin novembre 2008, les transferts des MRE ont enregistré une régression de 1,2% par rapport à la même période de 2007.

    Néanmoins, les dépenses de consommation des ménages résidents se sont renforcées, grâce à un recours plus intense au financement bancaire. C'est ainsi que les crédits à la consommation ont progressé de 32%, en variation annuelle, au terme des onze premier mois de 2008. Parallèlement, les importations de produits finis de consommation ont crû de 9,6%.

    Au début de 2009, les ménages pourraient bénéficier de l'effet conjugué de l'amélioration des revenus agricoles et de l'allégement des impôts versés. Ils devraient néanmoins faire face à une contraction de l'offre d'emploi, sur fond de ralentissement probable des activités non-agricoles.

    L'évolution de l'investissement est restée soutenue en 2008, malgré un léger retrait par rapport à 2007. Ainsi, l'investissement en travaux publics a continué de profiter d'une politique publique de relance, comme l'atteste le raffermissement de 36,7% à fin novembre 2008, des dépenses d'investissement budgétaire consacrées au Fond routier.

    De leur côté, les investissements industriels se sont poursuivis, tout au long des trois premiers trimestres de 2008, traduisant une volonté de modernisation des équipements industriels et un effort de rattrapage face à un climat peu favorable au renforcement de l'activité. C'est ainsi que les importations des biens d'équipement et les crédits y afférents ont affiché une progression respective de 26,7% et 26% en variations annuelles, au terme des onze premiers mois de 2008.

    En revanche, les recette des investissements directs étrangers (IDE), qui avaient fortement dopé les projets de construction en 2007, ont vu leur rythme de croissance fléchir de 23,1% à fin septembre 2008, en comparaison avec l'année précédente.

    Ce mouvement baissier s'est accentué, essentiellement, au cours du 3ème trimestre, comme en témoigne le recul de 15,6% en glissement trimestriel des investissements étrangers destinés à l'immobilier.

    Quant à l'investissement en actifs boursiers, il a continué sa correction à la baisse, après un cycle de forte croissance en 2006 et 2007. L'indice MASI a terminé l'année 2008 avec un repli de 13,5%. Le volume des échanges a subi les effets de la correction et a reculé de 33,6%.

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    • #3
      hamdoullah
      En tout homme se trouve une part de solitude qu'aucune intimité humaine ne peut remplir, c'est là que dieu nous rencontre.

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      • #4
        Contrairement au titre, le contenu augure d'une année morose voire difficile.

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        • #5
          Contrairement au titre, le contenu augure d'une année morose voire difficile.
          Yeah c'est ce qu'on entendait pour 2008...

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          • #6
            Je ne pense pas que tu ais lu l'article. La plupart des indicateurs sont en décélération notoire.

            En mettant côte à côte les indicateurs en recul, stagnation ou en repli ... un esprit sain verrait les difficultés qui se profilent.
            Conséquence du repli de l'activité chez les principaux partenaires commerciaux du Royaume, la demande étrangère de biens adressée au Maroc progresserait à un rythme plus modéré(2%) en 2009, contre 9% un an plus tôt

            Les exportations de biens
            • ont ralenti au 3ème trimestre (+ 4,1% en glissement trimestriel),
            • avant de se replier au 4ème (-16,3%)
            • chute des ventes extérieures des phosphates et de leurs dérivés, après une forte hausse aux 1er et 2ème trimestre
            .

            L'industrie
            : avec une croissance de 2,7% au 3ème trimestre 2008, se situe à un niveau en deçà de sa tendance de moyen terme.
            Cette évolution incombe, en particulier, à l'atonie des ventes extérieurs
            • de la confection (- 7,1%)
            • de la bonneterie et (-16,8%)
            • des composants électroniques (-23,5%)


            Le secteur touristique
            • les nuitées globales corrigées des variations saisonnières ont baissé de 2,3% par rapport à la même période de l'année passée et
            • le taux d'occupation s'est contracté de 4 points.


            Demande intérieure : Des signes d'essoufflement apparaissent aussi au niveau des secteurs tirés par la demande intérieure.
            • La croissance des activités de construction se serait établi à 8,8% environ au 4ème trimestre 2008, après s'être affermi de 10,7% au deuxième trimestre.
            • Les ventes de ciment, dont le taux d'évolution a décéléré, atteignant 3,8% contre 13,5 au 2ème trimestre, confortent ce constat.


            Le secteur énergétique semble glisser dans une phase conjoncturelle défavorable qui devrait perdurer au début de 2009.
            • la production électrique, dont l'évolution a marqué le pas (-0,1%) au 3ème trimestre, après 8,5% enregistré un trimestre plus tôt.
            • Les activités de raffinage, qui ont vu leur production se réajuster à une demande locale moins dynamique, souligne le HCP.


            Les transferts (IDE et MRE)
            • les transferts des MRE ont enregistré une régression de 1,2% par rapport à la même période de 2007.
            • les recette des investissements directs étrangers (IDE) (- 23,1%) à fin septembre 2008, en comparaison avec l'année précédente.
            • recul de 15,6% en glissement trimestriel des investissements étrangers destinés à l'immobilier.

            Bourse
            • L'indice MASI a terminé l'année 2008 avec un repli de 13,5%.
            • Le volume des échanges a subi les effets de la correction et a reculé de 33,6%.
            Dernière modification par jawzia, 21 janvier 2009, 17h22.

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            • #7
              Sans oublier le secteur des phosphates:
              L’OCP avait baissé sa production dans le but de faire face au «coup de frein» de la demande.

              Les ventes extérieures des phosphates et de leurs dérivés, les exportations de biens, corrigées des variations saisonnières, ont sensiblement ralenti au 3e trimestre, avant de se replier au 4e pour chuter de 16,3%. Hors phosphates et dérivés, seuls les produits alimentaires et les biens d’équipement ont pu relativement soutenir les exportations à l’heure où les biens de consommation ont souffert d’un tassement important de la demande.
              Maintenant, libre à toi de penser que tout va bien et que la crise ... est chez les autres.
              Dernière modification par jawzia, 21 janvier 2009, 17h42.

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              • #8
                Je ne reviendrai que sur le Phosphate vu que je m'intéresse au titre OCP.
                La baisse des cours est une bonne nouvelle pour l'OCP car elle élimine la concurrence de certains pays où la hausse des cours a engendré un engouement pour de la production même à coûts élevés.
                Maintenant avec la baisse des cours, on garde le monopole, et on vend plus de quantité, de toute façon, nous ne sommes pas limités en terme de quantité, alors faisons de la marge avec ça.
                La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

                Commentaire


                • #9
                  un esprit sain verrait les difficultés qui se profilent
                  L'année 2009, c'est l'année de tous les dangers, pour toute la planète, il faut juste bouger pour limiter la casse, et maintenir le cap.

                  Commentaire


                  • #10
                    L'année 2009, c'est l'année de tous les dangers, pour toute la planète, il faut juste bouger pour limiter la casse, et maintenir le cap.
                    Juste et saine remarque.

                    Commentaire


                    • #11
                      Maintenant, libre à toi de penser que tout va bien et que la crise ... est chez les autres.

                      Jawzia

                      ..............................

                      Qui a dit que la crise est chez les autres ?

                      Auscasa s'est limité à poster l'article.

                      C'est toi qui a enchainé avec ""Contrairement au titre, le contenu augure d'une année morose voire difficile." afin de minimiser la portée du taux de 6,6% qui semble te rester en travers de la gorge.

                      Qui se sent morveux qui se mouche dit l'adage.

                      L'année 2009 sera surtout difficile pour ceux dont l'économie repose sur une seule ressource et comme les prix atteignent les profondeurs , allah yahfade!

                      Pour les phosphates la tonne de minerai de phosphates valait environ 50 à 60 dollars sur le marché international , celle-ci approche maintenant les 400 dollars.

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                      • #12
                        Qui se sent morveux qui se mouche dit l'adage.
                        Rien ne justifie l'adage dans le contexte de ce sujet, si ce n'est un état "enragé", qui annihile toute discussion et que tu developpes sur tous les sujets.!

                        Lorsqu'une économie est dépendante de donneurs d'ordre étrangers, elle ne possède même pas les instruments pour opérer quelques corrections voire même replatrage. Elle regardera stoique les dégats. Illustration :
                        Conséquence du repli de l'activité chez les principaux partenaires commerciaux du Royaume, la demande étrangère de biens adressée au Maroc progresserait à un rythme plus modéré(2%) en 2009, contre 9% un an plus tôt

                        Les exportations de biens
                        • ont ralenti au 3ème trimestre (+ 4,1% en glissement trimestriel),
                        • avant de se replier au 4ème (-16,3%)
                        • chute des ventes extérieures des phosphates et de leurs dérivés, après une forte hausse aux 1er et 2ème trimestre
                        .

                        L'industrie
                        : avec une croissance de 2,7% au 3ème trimestre 2008, se situe à un niveau en deçà de sa tendance de moyen terme.
                        Cette évolution incombe, en particulier, à l'atonie des ventes extérieurs
                        • de la confection (- 7,1%)
                        • de la bonneterie et (-16,8%)
                        • des composants électroniques (-23,5%)


                        Le secteur touristique
                        • les nuitées globales corrigées des variations saisonnières ont baissé de 2,3% par rapport à la même période de l'année passée et
                        • le taux d'occupation s'est contracté de 4 points.


                        Demande intérieure : Des signes d'essoufflement apparaissent aussi au niveau des secteurs tirés par la demande intérieure.
                        • La croissance des activités de construction se serait établi à 8,8% environ au 4ème trimestre 2008, après s'être affermi de 10,7% au deuxième trimestre.
                        • Les ventes de ciment, dont le taux d'évolution a décéléré, atteignant 3,8% contre 13,5 au 2ème trimestre, confortent ce constat.


                        Le secteur énergétique semble glisser dans une phase conjoncturelle défavorable qui devrait perdurer au début de 2009.
                        • la production électrique, dont l'évolution a marqué le pas (-0,1%) au 3ème trimestre, après 8,5% enregistré un trimestre plus tôt.
                        • Les activités de raffinage, qui ont vu leur production se réajuster à une demande locale moins dynamique, souligne le HCP.


                        Les transferts (IDE et MRE)
                        • les transferts des MRE ont enregistré une régression de 1,2% par rapport à la même période de 2007.
                        • les recette des investissements directs étrangers (IDE) (- 23,1%) à fin septembre 2008, en comparaison avec l'année précédente.
                        • recul de 15,6% en glissement trimestriel des investissements étrangers destinés à l'immobilier.

                        Bourse
                        • L'indice MASI a terminé l'année 2008 avec un repli de 13,5%.
                        • Le volume des échanges a subi les effets de la correction et a reculé de 33,6%.
                        Dernière modification par jawzia, 21 janvier 2009, 22h31.

                        Commentaire


                        • #13
                          L'"enragé" c'est celui qui s'obstine à ne sortir que ce qui est "repli" et élude les cotés positifs .

                          Il n'en reste pas moins que le taux de croissance est de 6,6 % malgré un baril à 147 dollars qui lui était favorable à l'Algérie et malgré ça on enregistre à peine un taux de 4,9%.

                          Qu'est ce que ça sera avec un baril à 33 dollars ?
                          Dernière modification par chicha51, 21 janvier 2009, 22h40.

                          Commentaire


                          • #14
                            Qui a dit que la crise est chez les autres ?
                            Celui qui pense que la situation qui prévaut aujourd'hui ressemble à celle qui a prévalu au début de 2008.
                            L'"enragé" c'est celui qui s'obstine à ne sortir que ce qui est "repli" et élude les cotés positifs .
                            Les exportations, l'industrie, le tourisme, les IDE, les transferts de MRE, l'immobilier, la bourse, le peu d'energie (electrique) et surtout la fameuse demande interne..... Gallou "que"

                            Il n'en reste pas moins que le taux de croissance est de 6,6 %
                            C'est de l'ordre de la foi que d'y croire lorsque tout degringole (en dehors de l'agriculture et de la peche).
                            Dernière modification par jawzia, 21 janvier 2009, 22h54.

                            Commentaire


                            • #15
                              C'est de l'ordre de la foi que d'y croire lorsque tout degringole(en dehors de l'agriculture et de la peche).
                              alors tu n'as qu'à accuser la BM, le FMI, HCP ..et d'autres

                              restera seul toi, et ta propre conviction sur cette terre comme seule et ultime vérité ..haha non mais vraiment ! tu te lis des fois toi ! c'est d'une obstination critique !

                              Commentaire

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