A la forte symbolique pour donner le coup d’envoi à la compétition économique, la cérémonie de signature des contrats de performance pour le renouveau agricole et rural, organisée hier à Sidi Bel-Abbès, se voulait aussi un espace d’échanges dans la perspective de responsabiliser les actions et les partenaires du secteur autour de la relance de l’activité, du développement de ses créneaux, de la réalisation des performances à atteindre et de la promotion du monde rural.
Une opportunité beaucoup plus pour fixer des objectifs de production et de rendement et assurer dans un proche avenir la sécurité alimentaire. Présidée ainsi par le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, M. Rachid Benaïssa, cette rencontre, qui a vu la participation du secrétaire général de l’UNPA et du président de la Chambre nationale de l’agriculture outre les 14 DSA de l’ouest du pays, a été mise à profit pour s’étaler sur les motivations de cette convention et se focaliser sur sa finalité.
Dans son allocution d’ouverture, le membre du gouvernement a précisé que ce contrat s’assimile à un carnet de bord et à un recentrage des efforts après une étude approfondie de l’ensemble des capacités et énergies de chaque région. Réaliser des performances et œuvrer dans le sens d’une sécurité alimentaire constituent désormais un défi à relever, a-t-il ajouté, avant d’insister sur la mobilisation des partenaires et acteurs du secteur particulièrement le fellah, le véritable créateur des richesses. Cette entrée en matière devrait être suivie par une explication du procédé et une définition des rôles, où il est envisagé des réunions périodiques d’évaluation pour situer l’état d’application de la convention, lever les contraintes et faire le point des perspectives assignées.
Dans ce cadre, le ministre n’a pas manqué de justifier la démarche d’évaluation jugée comme étant une forme de lutte contre la bureaucratie. Une projection fut ensuite présentée sur les potentialités de chaque wilaya et sa participation à la production nationale agricole avant qu’un débat ne soit engagé destiné à la sensibilisation et à l’approfondissement du concept.
© Copyright El Moudjahid
Une opportunité beaucoup plus pour fixer des objectifs de production et de rendement et assurer dans un proche avenir la sécurité alimentaire. Présidée ainsi par le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, M. Rachid Benaïssa, cette rencontre, qui a vu la participation du secrétaire général de l’UNPA et du président de la Chambre nationale de l’agriculture outre les 14 DSA de l’ouest du pays, a été mise à profit pour s’étaler sur les motivations de cette convention et se focaliser sur sa finalité.
Dans son allocution d’ouverture, le membre du gouvernement a précisé que ce contrat s’assimile à un carnet de bord et à un recentrage des efforts après une étude approfondie de l’ensemble des capacités et énergies de chaque région. Réaliser des performances et œuvrer dans le sens d’une sécurité alimentaire constituent désormais un défi à relever, a-t-il ajouté, avant d’insister sur la mobilisation des partenaires et acteurs du secteur particulièrement le fellah, le véritable créateur des richesses. Cette entrée en matière devrait être suivie par une explication du procédé et une définition des rôles, où il est envisagé des réunions périodiques d’évaluation pour situer l’état d’application de la convention, lever les contraintes et faire le point des perspectives assignées.
Dans ce cadre, le ministre n’a pas manqué de justifier la démarche d’évaluation jugée comme étant une forme de lutte contre la bureaucratie. Une projection fut ensuite présentée sur les potentialités de chaque wilaya et sa participation à la production nationale agricole avant qu’un débat ne soit engagé destiné à la sensibilisation et à l’approfondissement du concept.
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