Le conseil des hommes d’affaires algéro-turc se fixe l’objectif d’augmenter les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Turquie à 10 milliards de dollars à l’horizon 2012.
C’est ce qu’a révélé hier, à Alger, Emre Aykar, co-président dudit conseil qui tient sa 11e session.
Cette optique choisie par la Turquie obéit au fait que l’Algérie est perçue comme une porte d’entrée en Afrique pour l’écoulement de ses produits.
Selon lui, la signature d’un accord de libre-échange entre ces deux pays pourra contribuer à intensifier les échanges commerciaux et les investissements. Avec l’aboutissement de cet accord, dit-il, les relations économiques entre l’Algérie et la Turquie prendront une nouvelle dimension.
Il a annoncé, dans ce contexte, la future visite en Algérie du président de la République turque Abdullah Gül, au mois de mai prochain. Une visite qui permettra de se pencher sur les négociations sur l’accord de libre-échange entre les deux pays.
Pour sa part, Guezout Kheir, co-président du conseil d’affaires algéro–turc, a rappelé que le volume des échanges commerciaux entre l’Algérie et la Turquie a enregistré une augmentation considérable ces dernières années, passant de 3,27 milliard de dollars, en 2007, à plus de 3,69 milliards de dollars durant les premiers mois de l’année 2008.
Toutefois, selon, M. Aykar, les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Turquie sont estimés à 5 milliards de dollars. Cette différence de quantification d’échanges commerciaux est due, selon, Necati Bigali, ambassadeur de la Turquie à Alger, à l’utilisation de différentes sources de données qui intégrant même le commerce informel.
Pour rappel, la Turquie se place parmi les 7 premiers pays partenaires de l’Algérie au niveau du commerce extérieur.
M. Guezout a souligné que les exportations algériennes vers la Turquie étaient de l’ordre de 2,25 milliards de dollars en 2007, dont 97% sont dominés par les hydrocarbures (GNL), alors que les importations n’étaient que de l’ordre de 949,17 millions de dollars. Par ailleurs, les investissements turcs en Algérie restent extrêmement faibles avec 350 millions de dollars entre 2000 et 2007.
A ce titre, Emre Aykar a indiqué que son pays envisage de multiplier les accords de partenariat entre les deux parties notamment dans le domaine de la pêche, les télécoms et la pétrochimie.
- La nouvelle republique
C’est ce qu’a révélé hier, à Alger, Emre Aykar, co-président dudit conseil qui tient sa 11e session.
Cette optique choisie par la Turquie obéit au fait que l’Algérie est perçue comme une porte d’entrée en Afrique pour l’écoulement de ses produits.
Selon lui, la signature d’un accord de libre-échange entre ces deux pays pourra contribuer à intensifier les échanges commerciaux et les investissements. Avec l’aboutissement de cet accord, dit-il, les relations économiques entre l’Algérie et la Turquie prendront une nouvelle dimension.
Il a annoncé, dans ce contexte, la future visite en Algérie du président de la République turque Abdullah Gül, au mois de mai prochain. Une visite qui permettra de se pencher sur les négociations sur l’accord de libre-échange entre les deux pays.
Pour sa part, Guezout Kheir, co-président du conseil d’affaires algéro–turc, a rappelé que le volume des échanges commerciaux entre l’Algérie et la Turquie a enregistré une augmentation considérable ces dernières années, passant de 3,27 milliard de dollars, en 2007, à plus de 3,69 milliards de dollars durant les premiers mois de l’année 2008.
Toutefois, selon, M. Aykar, les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Turquie sont estimés à 5 milliards de dollars. Cette différence de quantification d’échanges commerciaux est due, selon, Necati Bigali, ambassadeur de la Turquie à Alger, à l’utilisation de différentes sources de données qui intégrant même le commerce informel.
Pour rappel, la Turquie se place parmi les 7 premiers pays partenaires de l’Algérie au niveau du commerce extérieur.
M. Guezout a souligné que les exportations algériennes vers la Turquie étaient de l’ordre de 2,25 milliards de dollars en 2007, dont 97% sont dominés par les hydrocarbures (GNL), alors que les importations n’étaient que de l’ordre de 949,17 millions de dollars. Par ailleurs, les investissements turcs en Algérie restent extrêmement faibles avec 350 millions de dollars entre 2000 et 2007.
A ce titre, Emre Aykar a indiqué que son pays envisage de multiplier les accords de partenariat entre les deux parties notamment dans le domaine de la pêche, les télécoms et la pétrochimie.
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