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L’expérience de l’Algérie et les résultats atteints en matière de réformes pour répondre aux exigences de la mondialisation et du développement a été présentée à Doha (Qatar) par le ministre des Finances, Karim Djoudi. « L’Algérie a mis en chantier un programme de réformes pour répondre aux exigences de la mondialisation et pour atteindre l’objectif d’une mobilisation efficace des ressources du développement », a indiqué M. Djoudi lors d’une table ronde sur « la mobilisation des ressources financières nationales pour le développement », organisée samedi dans le cadre de la Conférence au sommet sur le financement du développement.
Au cours de cette table ronde, à laquelle ont notamment pris part des représentants d’organisations et institutions internationales, M. Djoudi a relevé d’abord que le programme de réformes engagé en Algérie touche le secteur financier et implique tous les autres acteurs des services financiers ainsi que les entités de régulation et de supervision. « Ce programme vise l’amélioration des performances du système financier pour l’allocation de l’épargne disponible (ressources publiques et privées) au profit des secteurs de l’économie », a-t-il expliqué.
Dans le secteur financier, le ministre a souligné que les « avancées » concernent la modernisation des systèmes budgétaires, modernisation qui vise, a-t-il dit, à « assurer une efficacité et une efficience des programmes publics en instaurant une culture de résultat ». M. Djoudi a indiqué dans ce contexte que l’Etat a mis en place un programme de développement et d’investissements publics en Algérie à moyen terme qui sert à la mise à niveau de l’infrastructure pour mieux accueillir l’investissement privé et offrir également un plan de charge aux opérateurs, ajoutant qu’un « vaste » programme de mise à niveau des éléments structurant de la société (santé, éducation, logement...) a été engagé.
Evoquant la réforme fiscale, il a déclaré qu’elle se poursuit dans le sens d’une « plus grande simplification de procédure, de la lutte contre la fraude et d’un allégement de la pression fiscale sur les entreprises, qui est une des plus faible au niveau du bassin méditerranéen ». M. Djoudi a souligné que « ces actions s’inscrivent dans le souci d’asseoir plus de croissance à travers notamment le développement et le renforcement du secteur privé et l’élargissement de l’assiette fiscale ».
Le Financier
Au cours de cette table ronde, à laquelle ont notamment pris part des représentants d’organisations et institutions internationales, M. Djoudi a relevé d’abord que le programme de réformes engagé en Algérie touche le secteur financier et implique tous les autres acteurs des services financiers ainsi que les entités de régulation et de supervision. « Ce programme vise l’amélioration des performances du système financier pour l’allocation de l’épargne disponible (ressources publiques et privées) au profit des secteurs de l’économie », a-t-il expliqué.
Dans le secteur financier, le ministre a souligné que les « avancées » concernent la modernisation des systèmes budgétaires, modernisation qui vise, a-t-il dit, à « assurer une efficacité et une efficience des programmes publics en instaurant une culture de résultat ». M. Djoudi a indiqué dans ce contexte que l’Etat a mis en place un programme de développement et d’investissements publics en Algérie à moyen terme qui sert à la mise à niveau de l’infrastructure pour mieux accueillir l’investissement privé et offrir également un plan de charge aux opérateurs, ajoutant qu’un « vaste » programme de mise à niveau des éléments structurant de la société (santé, éducation, logement...) a été engagé.
Evoquant la réforme fiscale, il a déclaré qu’elle se poursuit dans le sens d’une « plus grande simplification de procédure, de la lutte contre la fraude et d’un allégement de la pression fiscale sur les entreprises, qui est une des plus faible au niveau du bassin méditerranéen ». M. Djoudi a souligné que « ces actions s’inscrivent dans le souci d’asseoir plus de croissance à travers notamment le développement et le renforcement du secteur privé et l’élargissement de l’assiette fiscale ».
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