Le titre de l’ex-numéro un de la finance a enregistré hier en bourse le plus gros plongeon de son histoire. Selon le Wall Street Journal, Citigroup commence à envisager toutes les options possibles, y compris une vente.
Les inquiétudes autour de Citigroup pèsent sur son titre comme jamais. A la clôture de la bourse de New York, l’action décrochait de 26,98%, le plus fort recul de son histoire, alors qu’elle abandonnait déjà plus de 20% la veille.
Les opérateurs ont semblé insensibles au message de soutien provenant du prince Alwahleed d’Arabie Saoudite, lequel avait annoncé qu’il souhaitait porter sa participation au sein du groupe de moins de 4% à 5%. Il a en outre fait part de son entier appui à la direction de Citigroup. La banque souhaite réduire ses dépenses et a annoncé au début de cette semaine qu’elle comptait supprimer 20% de ses effectifs dans le monde, soit 50 000 emplois. Une restructuration qui vient s’ajouter à d’autres plus anciennes.
En début de séance mercredi, la banque a déclaré dans un communiqué qu’elle procédait au rapatriement dans son bilan de la totalité des actifs d’un « Structured Investment Vehicules » ou SIV pour un montant de 17,4 milliards de dollars. Au 30 septembre dernier, la valeur des actifs estimés à leur valeur actuelle était de 21,5 milliards de dollars. La valeur des actifs avait fortement baissé depuis quelques temps et la banque avait déjà commencé le rapatriement des actifs en décembre.
Mais pour l’heure, rien n’y fait, les signaux ne semblent pas réconforter les analystes. Citigroup pesait deux ans auparavant 270 milliards de dollars. Elle vaut moins de 26 milliards aujourd’hui. Pour tenter d’enrayer ce véritable massacre boursier, la direction de la banque examinerait tous les scénarios possibles.
Pas de dépôt de bilan
Parmi les solutions envisagées, des ventes d’activités, peut-être même une cession pure, affirme le Wall Street Journal. Le quotidien précise que les pourparlers seraient encore à un stade très peu avancé, mais affirme qu’une réunion du conseil d’administration est attendue aujourd’hui pour faire le point.
Le journal ajoute en outre qu’un dépôt de bilan n’est pas envisageable, du fait de l’impact que pourrait avoir cette nouvelle chute d’un fleuron financier. Les pouvoirs publics ont fait savoir auparavant qu’ils préviendraient tout scénario pouvant mener à une faillite d’une banque de cette taille, étant donné les conséquences que cela pourrait engendrer.
Les inquiétudes autour de Citigroup pèsent sur son titre comme jamais. A la clôture de la bourse de New York, l’action décrochait de 26,98%, le plus fort recul de son histoire, alors qu’elle abandonnait déjà plus de 20% la veille.
Les opérateurs ont semblé insensibles au message de soutien provenant du prince Alwahleed d’Arabie Saoudite, lequel avait annoncé qu’il souhaitait porter sa participation au sein du groupe de moins de 4% à 5%. Il a en outre fait part de son entier appui à la direction de Citigroup. La banque souhaite réduire ses dépenses et a annoncé au début de cette semaine qu’elle comptait supprimer 20% de ses effectifs dans le monde, soit 50 000 emplois. Une restructuration qui vient s’ajouter à d’autres plus anciennes.
En début de séance mercredi, la banque a déclaré dans un communiqué qu’elle procédait au rapatriement dans son bilan de la totalité des actifs d’un « Structured Investment Vehicules » ou SIV pour un montant de 17,4 milliards de dollars. Au 30 septembre dernier, la valeur des actifs estimés à leur valeur actuelle était de 21,5 milliards de dollars. La valeur des actifs avait fortement baissé depuis quelques temps et la banque avait déjà commencé le rapatriement des actifs en décembre.
Mais pour l’heure, rien n’y fait, les signaux ne semblent pas réconforter les analystes. Citigroup pesait deux ans auparavant 270 milliards de dollars. Elle vaut moins de 26 milliards aujourd’hui. Pour tenter d’enrayer ce véritable massacre boursier, la direction de la banque examinerait tous les scénarios possibles.
Pas de dépôt de bilan
Parmi les solutions envisagées, des ventes d’activités, peut-être même une cession pure, affirme le Wall Street Journal. Le quotidien précise que les pourparlers seraient encore à un stade très peu avancé, mais affirme qu’une réunion du conseil d’administration est attendue aujourd’hui pour faire le point.
Le journal ajoute en outre qu’un dépôt de bilan n’est pas envisageable, du fait de l’impact que pourrait avoir cette nouvelle chute d’un fleuron financier. Les pouvoirs publics ont fait savoir auparavant qu’ils préviendraient tout scénario pouvant mener à une faillite d’une banque de cette taille, étant donné les conséquences que cela pourrait engendrer.
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