Malgré le durcissement des conditions d’investissements étrangers et la série d’attentats qui ont ensanglanté le pays durant l’été, les investisseurs français ne boudent pas le marché algérien. Ils sont même de plus en plus nombreux à vouloir investir en Algérie, surtout depuis le début de la crise financière internationale. Une source diplomatique algérienne en France a indiqué à Tout sur l'Algérie (****************) que le Consulat d’Algérie à Paris délivre une moyenne de 350 visas d’affaires par semaine, soit 1400 par mois. «Nous n’avons constaté aucun recul depuis les annonces concernant les nouvelles conditions d’investissements étrangers. Bien au contraire, les investisseurs français sont de plus en plus nombreux à se rendre en Algérie à la recherche d’opportunités d’investissements », affirme la même source.
Cet engouement pour le marché algérien, malgré des conditions d’implantation de plus en plus difficiles s’explique par le potentiel de l’économie nationale. Mais pas seulement : la crise financière internationale qui frappe de plein fouet les pays développés constitue une autre explication. «En France, comme dans toute l’Europe, l’activité risque de stagner au moins jusqu’en 2010, voire au-delà, selon les prévisions les plus optimistes. L’impact de la crise n’a pas encore touché l’économie réelle mais cela ne devrait pas tarder. Les PME sont les plus vulnérables à cette situation. Des marchés comme l’Algérie, de par sa proximité et son potentiel, constituent une solution idéale pour échapper aux retombées de la crise », explique un spécialiste des montages financiers.
Après le discours du président Bouteflika, le 23 juillet devant les maires, tout le monde avait parié sur un net recul des investissements étrangers, notamment français, en Algérie. Mais les investisseurs s’adaptent à toutes les situations. Ils préfèrent affronter les difficultés administratives algériennes que de prendre le risque de déposer le bilan en France. Par ailleurs, le gouvernement, via des canaux officieux, avait entrepris des démarches pour rassurer les investisseurs étrangers, notamment français. Il semble avoir été entendu
tsa
Cet engouement pour le marché algérien, malgré des conditions d’implantation de plus en plus difficiles s’explique par le potentiel de l’économie nationale. Mais pas seulement : la crise financière internationale qui frappe de plein fouet les pays développés constitue une autre explication. «En France, comme dans toute l’Europe, l’activité risque de stagner au moins jusqu’en 2010, voire au-delà, selon les prévisions les plus optimistes. L’impact de la crise n’a pas encore touché l’économie réelle mais cela ne devrait pas tarder. Les PME sont les plus vulnérables à cette situation. Des marchés comme l’Algérie, de par sa proximité et son potentiel, constituent une solution idéale pour échapper aux retombées de la crise », explique un spécialiste des montages financiers.
Après le discours du président Bouteflika, le 23 juillet devant les maires, tout le monde avait parié sur un net recul des investissements étrangers, notamment français, en Algérie. Mais les investisseurs s’adaptent à toutes les situations. Ils préfèrent affronter les difficultés administratives algériennes que de prendre le risque de déposer le bilan en France. Par ailleurs, le gouvernement, via des canaux officieux, avait entrepris des démarches pour rassurer les investisseurs étrangers, notamment français. Il semble avoir été entendu
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