Ce n'est ni un euphémisme, ni un slogan. Mais simplement la caractéristique essentielle qui s'impose de nos jours à tous ceux qui suivent de près l'évolution du Maroc : nous disons le «Maroc du futur» ! Sa Majesté le Roi Mohammed VI finit-il à peine d'inaugurer la 1re tranche de Technopolis de Salé -avec la perspective de nouveaux autres à Tanger, Fès, Marrakech et à Oujda- inaugure-t-il aussi la Bibliothèque nationale de Rabat ? Il est déjà ce jeudi sur l'autre chantier du futur, le Casablanca Nearshore Park (ou Casnearshore) qui sera dédié aux activités informatiques, de traitement de données et des processus métier. Dans la sphère réduite et élective des 500 technopoles que compte la planète pour une population de plus de 6 milliards d'hommes et de femmes, le Maroc ne cache pas ses ambitions d'intégrer un club aussi fermé. Il est surtout dominé par les Etats-Unis, l'Europe et le Japon.
La politique des technopolis que notre pays met en place, traduit une volonté royale plus qu'irréversible. Le Souverain n'a de cesse en effet de doter notre pays des moyens adéquats afin d'accéder -à l'instar des autres- à cette économie du savoir et de la connaissance dont il demeure plus qu'aucun autre à la fois le dépositaire et l'ardent défenseur. Celle d'enraciner le Maroc dans une culture et une exigence de modernité.
La réduction de ce qu'on appelle la «fracture numérique» en est l'un des objectifs, certes. Mais elle n'est qu'une infime partie du défi que le Maroc doit relever de manière globale et avec une approche méthodique et systémique. Malgré les ultimes obstacles afférents au système d'éducation et de formation dans le secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC), des efforts sont déployés pour atteindre le chiffre exigé de plusieurs milliers de personnes à même d'exercer dans ce domaine. C'est une activité qui évolue de manière fulgurante et dont les besoins -en termes de cadres et de moyens- anticipent en effet sur toutes les visions gouvernementales, voire les projections.
Cela dit, un retard de ce genre n'est pas un handicap, encore moins une fatalité. Il est même exaltant de voir comment, depuis quelques temps, se met en place la politique des technopoles au Maroc. Comment l'offshore et le nearshore et, de manière prosaïque, ce qu'on appelle la «stratégie e-Maroc 2010», se déploient dans le cadre du programme Emergence qui, aujourd'hui, après avoir focalisé espérances et critiques, donne la pleine mesure de ses ambitions. En 2005, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, convaincu par la valeur et la finalité d'une politique de modernisation par la connaissance et le savoir, avait lancé le projet de Casanearshore.
Aujourd'hui, il procédera à son inauguration en concrétisant l'ambition de faire de Casablanca le meilleur choix et le port d'attache pour le nearshore de toute l'Europe. Alors que les signatures apposées sur le papier de l'accord de Statut avancé entre le Maroc et l'Union européenne n'ont pas encore tout à fait séché, voici que le projet de Technopolis et de Casanearshore vient illustrer la disposition de notre pays à répondre aux attentes de l'Europe. Mais, au-delà, il y a surtout l'entrée par la grande porte du Maroc dans le cercle privilégié des nouvelles technologies de l'information et dans l'économie du savoir et de la connaissance. Nous le devons à la vision prospective de Sa Majesté Mohammed VI qui nous aiguillonne toujours.
La politique des technopolis que notre pays met en place, traduit une volonté royale plus qu'irréversible. Le Souverain n'a de cesse en effet de doter notre pays des moyens adéquats afin d'accéder -à l'instar des autres- à cette économie du savoir et de la connaissance dont il demeure plus qu'aucun autre à la fois le dépositaire et l'ardent défenseur. Celle d'enraciner le Maroc dans une culture et une exigence de modernité.
La réduction de ce qu'on appelle la «fracture numérique» en est l'un des objectifs, certes. Mais elle n'est qu'une infime partie du défi que le Maroc doit relever de manière globale et avec une approche méthodique et systémique. Malgré les ultimes obstacles afférents au système d'éducation et de formation dans le secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC), des efforts sont déployés pour atteindre le chiffre exigé de plusieurs milliers de personnes à même d'exercer dans ce domaine. C'est une activité qui évolue de manière fulgurante et dont les besoins -en termes de cadres et de moyens- anticipent en effet sur toutes les visions gouvernementales, voire les projections.
Cela dit, un retard de ce genre n'est pas un handicap, encore moins une fatalité. Il est même exaltant de voir comment, depuis quelques temps, se met en place la politique des technopoles au Maroc. Comment l'offshore et le nearshore et, de manière prosaïque, ce qu'on appelle la «stratégie e-Maroc 2010», se déploient dans le cadre du programme Emergence qui, aujourd'hui, après avoir focalisé espérances et critiques, donne la pleine mesure de ses ambitions. En 2005, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, convaincu par la valeur et la finalité d'une politique de modernisation par la connaissance et le savoir, avait lancé le projet de Casanearshore.
Aujourd'hui, il procédera à son inauguration en concrétisant l'ambition de faire de Casablanca le meilleur choix et le port d'attache pour le nearshore de toute l'Europe. Alors que les signatures apposées sur le papier de l'accord de Statut avancé entre le Maroc et l'Union européenne n'ont pas encore tout à fait séché, voici que le projet de Technopolis et de Casanearshore vient illustrer la disposition de notre pays à répondre aux attentes de l'Europe. Mais, au-delà, il y a surtout l'entrée par la grande porte du Maroc dans le cercle privilégié des nouvelles technologies de l'information et dans l'économie du savoir et de la connaissance. Nous le devons à la vision prospective de Sa Majesté Mohammed VI qui nous aiguillonne toujours.
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