Omar Ibn al-Khattab est l’une des figures de l’Islam les plus illustres. Celui qu’on surnommait «El Farouq» (l’intermédiaire) est né à La Mecque au courant de l’année 581 sous le véritable nom d’Abou Hafs Omar Ibn Noufayl. Il était réputé pour ses buveries, sa force physique et son intransigeance déjà avant l’avènement de la nouvelle religion monothéiste à laquelle il se convertit, en 617.
Dans les premières années de la propagation de l’Islam au sein de la tribu de Qoraïch, il était l’un des adversaires de notre Prophète Mohamed (QSSSL) et des plus acharnés persécuteurs des croyants dans La Mecque. Ayant entendu que sa sœur et son mari avaient choisi l’Islam, il partit chez eux pour les punir. Mais, miracle, arrivé dans leur maison, il entendit sa sœur réciter la sourate «Taha». Il se figea en lui demandant de continuer sa plasmodie et prononça la chahada, se convertissant ainsi à l’Islam.
Omar Ibnal-Khattab devint l’un des meilleurs défenseurs de la communauté islamique par la suite jouissant d’une grande renommée et d’une influence certaine. Il émigra à Médine, en 622, suivant le Prophète (QSSSL) auquel il donna la main de sa fille Hafsa, en 625. Lui aussi participa à toutes les batailles menées contre les Qoraïchites et soutint la candidature d’Abou Bakr Es Seddik quand le Messager de Dieu (QSSSL) disparut en 632.
Par ses conseils, son influence, mais aussi sa sagesse et son réalisme, il contribua à la bonne gestion du jeune Etat musulman qui a vu le jour à Médine. Devenu calife, à la mort d’Abou Bakr, qui, d’ailleurs le désigna durant sa courte maladie, il porta le titre d’Amir el Mouminine ( Commandeur des croyants). Il s’attela à appliquer une bonne gouvernance au moment où les troupes musulmanes se trouvaient en Mésopotamie, en Palestine et en Syrie pour répandre l’Islam en guerroyant contre les Perses et les Byzantins. Omar Ibn al-Khattab gouverna durant dix ans au cours desquels les territoires de l’Islam englobèrent toute la péninsule Arabique. Les armées musulmanes, intrépides, courageuses et animées d’une grande foi étaient commandées par des chefs de grande valeur et qui donnaient l’exemple sur les champs de bataille.
D’ailleurs, qui ne connaît pas Khaled Ibn Walid, Sâad Ibn Abi Waqqas, Amrou Ibn Ass, Mouâawiya Ibn Abi Suffyen ou son frère Yazid, Oubaïda Ibn al-Djerrah pour ne citer que ceux-là. A la tête de leurs combattants émérites, et sous la direction éclairée d’Omar, ces illustres commandants militaires (mais aussi bons gestionnaires) avaient remporté beaucoup de victoires – dont certaines furent décisives – malgré l’inexpérience de leurs troupes, constituées surtout de nomades dénués de préparation militaire et non rompus aux techniques de la guerre contrairement aux armées perses et byzantines. Parmi les succès militaires acquis sous le califat d’Omar, mentionnons les batailles de l’Euphrate (634), Yarmouk (Palestine, 635), Qadissia (Irak, 636), la prise de Damas (par deux fois, en 635 et en 637), Homs (Syrie 637), Jérusalem (638), Nahavand (Perse 642), la conquête de l’Egypte à partir de l’année 639.
Sous son califat, Bassorah et Koufa (Irak) ainsi que Fustat ( environs du Caire, Egypte) furent bâties comme fut bâti le Dôme du Rocher (Jérusalem). On lui doit aussi le choix du calendrier hégirien appliqué dans le monde musulman depuis cette époque-là. Omar Ibn al-Khattab fut assassiné en novembre 644 après une période de gouvernement bien remplie comme tous les califes errachidines. Il fut enterré lui aussi aux côtés du Prophète Mohamed (QSSSL) et d’Abou Bakr, dans la noble ville de Médine, capitale de l’Islam à l’époque.
Par la Nouvele République
Dans les premières années de la propagation de l’Islam au sein de la tribu de Qoraïch, il était l’un des adversaires de notre Prophète Mohamed (QSSSL) et des plus acharnés persécuteurs des croyants dans La Mecque. Ayant entendu que sa sœur et son mari avaient choisi l’Islam, il partit chez eux pour les punir. Mais, miracle, arrivé dans leur maison, il entendit sa sœur réciter la sourate «Taha». Il se figea en lui demandant de continuer sa plasmodie et prononça la chahada, se convertissant ainsi à l’Islam.
Omar Ibnal-Khattab devint l’un des meilleurs défenseurs de la communauté islamique par la suite jouissant d’une grande renommée et d’une influence certaine. Il émigra à Médine, en 622, suivant le Prophète (QSSSL) auquel il donna la main de sa fille Hafsa, en 625. Lui aussi participa à toutes les batailles menées contre les Qoraïchites et soutint la candidature d’Abou Bakr Es Seddik quand le Messager de Dieu (QSSSL) disparut en 632.
Par ses conseils, son influence, mais aussi sa sagesse et son réalisme, il contribua à la bonne gestion du jeune Etat musulman qui a vu le jour à Médine. Devenu calife, à la mort d’Abou Bakr, qui, d’ailleurs le désigna durant sa courte maladie, il porta le titre d’Amir el Mouminine ( Commandeur des croyants). Il s’attela à appliquer une bonne gouvernance au moment où les troupes musulmanes se trouvaient en Mésopotamie, en Palestine et en Syrie pour répandre l’Islam en guerroyant contre les Perses et les Byzantins. Omar Ibn al-Khattab gouverna durant dix ans au cours desquels les territoires de l’Islam englobèrent toute la péninsule Arabique. Les armées musulmanes, intrépides, courageuses et animées d’une grande foi étaient commandées par des chefs de grande valeur et qui donnaient l’exemple sur les champs de bataille.
D’ailleurs, qui ne connaît pas Khaled Ibn Walid, Sâad Ibn Abi Waqqas, Amrou Ibn Ass, Mouâawiya Ibn Abi Suffyen ou son frère Yazid, Oubaïda Ibn al-Djerrah pour ne citer que ceux-là. A la tête de leurs combattants émérites, et sous la direction éclairée d’Omar, ces illustres commandants militaires (mais aussi bons gestionnaires) avaient remporté beaucoup de victoires – dont certaines furent décisives – malgré l’inexpérience de leurs troupes, constituées surtout de nomades dénués de préparation militaire et non rompus aux techniques de la guerre contrairement aux armées perses et byzantines. Parmi les succès militaires acquis sous le califat d’Omar, mentionnons les batailles de l’Euphrate (634), Yarmouk (Palestine, 635), Qadissia (Irak, 636), la prise de Damas (par deux fois, en 635 et en 637), Homs (Syrie 637), Jérusalem (638), Nahavand (Perse 642), la conquête de l’Egypte à partir de l’année 639.
Sous son califat, Bassorah et Koufa (Irak) ainsi que Fustat ( environs du Caire, Egypte) furent bâties comme fut bâti le Dôme du Rocher (Jérusalem). On lui doit aussi le choix du calendrier hégirien appliqué dans le monde musulman depuis cette époque-là. Omar Ibn al-Khattab fut assassiné en novembre 644 après une période de gouvernement bien remplie comme tous les califes errachidines. Il fut enterré lui aussi aux côtés du Prophète Mohamed (QSSSL) et d’Abou Bakr, dans la noble ville de Médine, capitale de l’Islam à l’époque.
Par la Nouvele République
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