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Quand des Algériens ont coupé la tète du Sultan de Fes

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  • #16
    xenon tu peux enjoliver ton histoire comme tu veux... les maitres turcs faisaient le jihad (tout en étant allié aux Bourbons français, tiens ) et les locaux faisaient le jihad du nikah ...tout ce que tu veux... mais la réalité restera que durant 3 siecles à alger

    les deys et beys étaient étrangers, de même que l'armée et l'administration...

    il y avait plus d'algeriens dans l'armée et l'administration aux temps des français qu'aux temps des turcs...les français avaient plus confiance en vous

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    • #17
      dans l'histoire marocaine, les periodes fatimides, omeyyades de cordoue et française sont considérées comme des périodes d'occupations étrangères, car ce sont des états étrangers qui avaient conquis le Maroc...les dynasties marocaines, à leur arrivée au pouvoir, n'étaient pas à la tête d'états étrangers donc pas comparable aux ottomans.

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      • #18
        Envoyé par Mtime
        c'est connu, les turcs n'envoyaient que des hommes à alger... il y avait, selon xenon, "seulement" 20 mille janissaires dans une population d'entre 1 et 2 millions d'habitants...c'est comme s'il y avait 600 mille soldats étrangers dans l'algerie actuelle, qui ont pour mission de protéger le gouverneur étranger... mais, hamdoulah, c'étaient des hommes pieux, d'ailleurs ils ne prenaient qu'une seule femme algerienne dans le cadre d'un mariage religieux, selon le 3adl de ce forum.
        mdrrrr dans le mille.

        Et d'ailleurs ces janissaires othomans halal, à travers l'union sacrée de leur mariage religieux aux autochtones algériennes, ont transmis leurs belles gènes pieuses à leur descendance khouloughli actuelle. Ajouta ledit 3doul

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        • #19
          Si on peut... si on est tebbouniste de descendance kouloughli
          Les janissaires sont les géniteurs des kouloughlis.... produit du métissage entre les hommes de l'armée ottomane (janissaires) et les autochtones algeriennes.
          à contrario de ce qu'on peut lire et entendre sur les réseaux sociaux peuplés d'analphabêtes du makhzen marocain , kouloughlis n'est pas une insulte , c'est simplement les enfants nés d'un mariage mixte entre un "Turc" musulman et une femme maure d'Algérie musulmane ou d'ailleurs en terre islamique, ces enfants étaient reconnus comme tels car issus de mariages officiels civils et religieux) .

          vous faites dans votre subconscient une confusion entre ces kouloughlis qui sont des enfants issus d'unions légitimes dans cette Algérie médiévale entre le 16éme et 18 éme siécle et une réalité moderne des enfants issus de rapports sexuels tarifés avec de touristes khalijis et européens ..

          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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          • #20
            c'est connu, les turcs n'envoyaient que des hommes à alger... il y avait, selon xenon, "seulement" 20 mille janissaires dans une population d'entre 1 et 2 millions d'habitants...c'est comme s'il y avait 600 mille soldats étrangers dans l'algerie actuelle, qui ont pour mission de protéger le gouverneur étranger... mais, hamdoulah, c'étaient des hommes pieux, d'ailleurs ils ne prenaient qu'une seule femme algerienne dans le cadre d'un mariage religieux, selon le 3adl de ce forum.
            suivant les statistiques établis par les militaires francais à la prise d'Alger , il y'aurait moins d'une vingtaine de milliers de janissaires , pour une population estimée à l'époque à 3 millions d'individus mais probablement un peu plus.

            les maitres turcs faisaient le jihad (tout en étant allié aux Bourbons français, tiens )
            la régence d'Alger et le royaume de france avaient conclus à un moment donné de l'histoire des accords de non agression mutuelles de leurs marine car ils avaient un ennemi commun , le royaume d'Espagne .

            les deys et beys étaient étrangers, de même que l'armée et l'administration...
            de la même maniére que l'étaient les alaouites de yanbo3 en arabie et leur 3bid el boukhari ,leur armée privée noire avec laquelle ils répandaient la terreur dans le maroc médiéval , comme il fut le cas sous le régne de moulakoum smail qui avait dit ont 500 concubines .
            Dernière modification par xenon, 28 août 2023, 16h54.
            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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            • #21
              dans l'histoire marocaine, les periodes fatimides, omeyyades de cordoue et française sont considérées comme des périodes d'occupations étrangères, car ce sont des états étrangers qui avaient conquis le Maroc...les dynasties marocaines, à leur arrivée au pouvoir, n'étaient pas à la tête d'états étrangers donc pas comparable aux ottomans.
              l'histoire officielle marocaine qu'on vous apprends est évidemment un tissu d'âneries destinés à donner de la constance à un récit national fabrique de bric et de broc à même de donner une légitimité à une dynastie alaouite peu glorieuse ,maintenue et replacée au pouvoir par la grâce de la france coloniale .

              les almoravides ne sont absolument pas issus du pays marocains actuel , quand ils arrivent ils font un carnage , il en est de même d'idriss venu d'arabie qui n'a pu créer son royaume que dans la seule région du maghreb non pourvue encore d'un Etat , les mérinides ,c'est kif kif , tribus zenetes venant de l'Est algérien avec leurs cousins zianides ,
              les moumenides , (la dynsastie d'abdemoumen) est également originaire d'Algérie , les wattasides descendent des mérinides , les saadiens et les alaouites ,viennent d'arabie.
              ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
              On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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              • #22

                la régence d'Alger et le royaume de france avaient conclus à un moment donné de l'histoire des accords de non agression mutuelles de leurs marine car ils avaient un ennemi commun , le royaume d'Espagne .
                je parle de l'alliance entre Istanbul et Paris contre les Habsburgs qui régnaient sur l'Espagne et le Saint empire, personne ne parle du truc là d'alger qui était insignifiant...au 16eme et 17eme, Istanbul changeait les beys, beylerbeys et deys à sa guise...d'ailleurs il y a un qui avait sauté juste pour conclure la paix avec le Maroc au 16eme...c'est pour te montrer qu'ils n'étaient pas venu en afrique du nord pour faire "le jihad contre les croisés"...certains ont inventé ce pseudo jihad pour justifier les 3 siècles de viol turc.

                accords de non agression mutuelles de leurs marine
                tu compares la marine française à la petite flotte de sloops et autres bateaux de pirates dont disposaient les turcs d'alger?

                3bid el boukhari
                yak ce sont juste des abids subsahariens qui venaient avec leurs femmes et enfants? pas des mercenaires criminels à la Wagner.




                les moumenides , (la dynsastie d'abdemoumen) est également originaire d'Algérie
                à l'epoque tlemcen était marocaine, on ne peut pas changer l'histoire.

                les saadiens et les alaouites ,viennent d'arabie.
                non ils sont algeriens, parce qu'ils sont passés par l'algerie pour venir au maroc.

                les mérinides
                algériens aussi, en remontant le sahara ils sont partis faire leur toilette en algérie.

                t'as oublié, Abou Hafs était marocain mais en passant par l'algerie il est devenu algérien de ce fait les hafsides sont aussi une dynastie algerienne.

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                • #23
                  pour revenir un peu au sujet,

                  j'aimerais bien que l'initiateur du topic me dise ce qu'il y a d'algeriens dans ça:

                  Le système de l’odjak, construit sur toute une gamme de discriminations selon l’appartenance ethnique, réclamait le renouvellement permanent de l’élément turc. Même les « Renégats » qui « ont les mêmes privilèges que les Turcs, et sont réputés tels », ne pouvaient remplacer le « noyau dur » turc nécessaire à l’existence de la milice. C’est ainsi que durant la première partie du xviie siècle, qui fut l’âge d’or de la course, et par conséquent l’époque où le nombre de captifs et de convertis à Alger devait être considérable, le père Dan parle de recrutement lorsqu’il « arrive qu’il y ait peu de Turcs naturels en cette Milice ». « Lorsque le nombre de soldats est diminué par mort ou esclavage, on envoie des vaisseaux en Levant pour remplacer ceux qui manquent. » Si l’on en croit T. Shaw, dans la première partie du xviiie siècle ce recrutement était effectué tous les cinq ou six ans. Il semble que la cadence de recrutement s’est accélérée avec le temps, car au début du xixe siècle, d’après M. Colombe, le recrutement était presque annuel.


                  Cette entreprise était réalisée à l’aide des « officiers enrôleurs » envoyés d’Alger pour recruter sur place, sans beaucoup de régularité. Il semble que ces envois avaient lieu lorsque le nombre des janissaires diminuait brutalement. En 1754, à la suite d’une guerre contre les Kabyles, et après un passage de la peste, le nombre des janissaires ne s’élevait plus qu’à 4 000 hommes selon le témoignage du consul de Venise à Alger. « Pour réorganiser cette milice, écrit-il, le gouvernement a décidé d’envoyer à Constantinople Hadji Osman et Hassan Hodjat avec des cadeaux pour le Grand Turc afin d’obtenir la permission de lever 5 000 turcs sur les terres de cet empire. » Outre ces missions, il y avait des « chargés d’affaires » (Vekîl)entretenus par le gouvernement algérien dans quelques-uns des ports du littoral anatolien ainsi que des îles de la mer Egée. Leur rôle était de recruter et d’envoyer les nouvelles recrues, parfois même sur des navires européens, à Alger.
                  même au 18eme siecle, apres le semblant d'autonomie des turcs d'alger vis a vis d'istanbul, ils continuaient à recruter en anatolie.




                  Il semble que le changement dans les relations avec le centre de l’Empire, que signifiait l’arrêt d’envoi de pachas d’Istanbul, en 1711, peut nous donner une explication possible pour le renouvellement du besoin de renfoncer le caractère turc qu’avaient ressenti les membres de la milice. Certes, le changement avait été voulu et initié par la milice, et le dey `Abdî Tchâvûch (1710-1718) avait payé une forte somme d’argent pour y parvenir. Mais l’odjak devait faire face à des défis très importants, comme la lutte continue avec une grande partie des pays européens, notamment l’Espagne, la présence de la ville de Wah-rân (Oran) avec sa garnison espagnole comme un rappel de ce qu’Alger constituait une frontière, ainsi que des querelles avec des forces locales. Tout cela devait rappeler à Yodjak que la raison principale pour laquelle Khayreddîn avait fait appel à l’Empire, autrement dit pour la défense d’Alger, était toujours valable. En conséquence, il nous semble que le renforcement de l’identité turque était destiné, notamment dans la seconde partie du xviiie siècle, à répondre en quelque sorte à un affaiblissement possible des liens avec le centre de l’Empire qu’avait entraîné l’arrêt d’envoi des pachas.

                  La différence entre le vilayet d’Alger et les autres vilayets maghrébins n’est donc pas le fruit du hasard. Si à Tunis et à Tarablus Gharp on voit l’apparition de forces locales à côté des milices ottomanes et l’établissement de dynasties locales, il n’en va pas de même à Alger. Cela est dû à l’idéologie du maintien du caractère turc de l’odjak qui était lié à l’origine à la création de la milice dans les conditions spécifiques d’Alger, tout comme sa perpétration l’est aux conditions historiques spécifiques du vilayet et de la ville : la lutte entre la milice et les corsaires, la guerre continue avec les Européens jusqu’à la fin de l’existence de la milice, ainsi que le changement de la qualité des relations avec le centre de l’Empire au début du xviiie siècle. Comme nous l’avons vu, l’application de l’idéologie de sauvegarde du caractère turc de l’odjak dépendait de sa capacité d’empêcher l’entrée des éléments « non turcs », c’est-à-dire de son pouvoir de recruter des nouvelles recrues dans les régions du centre de l’Empire, tout en excluant les kuloghlu de ses rangs.
                  ils ont voulu exclure même les kouloughlis après 1711.
                  Dernière modification par Mtim, 28 août 2023, 21h24.

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                  • #24
                    Pour résoudre le deuxième problème, celui qui concerne les fils des janissaires et des femmes locales, on a essayé d’agir selon deux procédés différents : en premier lieu, en essayant de réduire le nombre des kuloghlu et en diminuant le nombre des mariages entre les membres de la milice avec des femmes algériennes. Cette politique, comme nous l’avons vu, s’était montrée très efficace, et le taux de mariages chez les janissaires ne s’élevait qu’à la moitié de celui des civils. La seconde voie avait été l’adoption d’une politique visant à empêcher l’entrée des kuloghlu dans les rangs de Vodjak, et une fois entrés, d’arrêter leur avancement dans la hiérarchie. Ce procédé se révélait le moins efficace, et le nombre des kuloghlu qui portaient les plus hauts grades en témoigne. Mais on voit là, selon nous, la tension entre la réalité et l’idéologie : le fait que les fils des janissaires étaient porteurs des hauts grades, aussi bien dans l’armée que dans l’administration n’a pas empêché Vodjak de projeter une image très différente. Faisant appel à des traditions fictives, ils prétendaient qu’en fait les premiers à exclure les kuloghlu du service dans la milice furent des personnalités locales, comme Sîdî `Abd al-Rahman al-Tha`âlbî, ou encore les frères Barbarousse
                    « À Alger, le célibat est un moyen de parvenir « Cette remarque reflète parfaitement l’image de la politique de l’odjak vis-à-vis du problème du mariage entre ses membres et des femmes indigènes.
                    les mariages avec les autochtones étaient mal vus, on comprend mieux le passage sur les agissements des janissaires dans la casbah(lire article de Hamdan Ammar: Quelques vérités sur trois siècles de colonialisme turc en Algérie).
                    Dernière modification par Mtim, 28 août 2023, 20h46.

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                    • #25
                      Maurice_94



                      les bons janissaires...

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                      • #26
                        Mtim

                        La page que tu as posté est un fake. Donne nous la référence originale. Nom du livre et l'écrivain et numéro de la page.

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                        • #27
                          Les seuls qui coupaient la tete dans la region en ce temps la etaient les ottomans, et le premier a qui ils ont coupé la tete quand ils sont entrés en Algérie est Salah Raiss, le représentant des algériens:
                          1. Assassinat de Salah Raïs: L'un des événements les plus notables est l'assassinat de Salah Raïs, le dirigeant local d'Alger. Son meurtre a été perçu par beaucoup comme une manière pour Arudj de consolider son pouvoir dans la région. Cette action a sans doute provoqué des tensions et des ressentiments parmi certains segments de la population locale qui considéraient Salah Raïs comme leur leader légitime.
                          2. Consolidation du pouvoir: Dans le processus de renforcement de leur emprise sur Alger, les Barberousse auraient recouru à des méthodes de répression pour éliminer ou neutraliser d'éventuels rivaux locaux ou des factions hostiles. Cela pourrait avoir inclus des exécutions, des emprisonnements, et d'autres formes de violence.
                          3. Taxes et contributions: La gestion économique du territoire par les Barberousse pourrait avoir impliqué des levées de taxes ou d'autres formes d'exactions sur les populations locales. Les individus ou groupes réticents à payer pourraient avoir été soumis à des punitions.
                          4. Recrutement forcé: Il est possible que les Barberousse aient imposé une conscription ou un recrutement forcé parmi la population locale pour leur flotte corsaire ou leurs forces terrestres. Ces pratiques étaient courantes à cette époque et pouvaient être sources de ressentiment.
                          5. Répression religieuse: Bien que les Barberousse soient eux-mêmes musulmans et que la plupart des Algériens le soient également, des différences doctrinales ou des accusations d'hérésie pourraient avoir été utilisées comme prétexte pour réprimer ou cibler certaines communautés ou individus.

                          Vous avez un tres gros probleme a voir l'histoire telle qu'elle est chers amis, et non en snapshot du medecin des animaux a la sauce "qowa addariba"


                          L'assassinat de Mohamed Cheikh n'est qu'un episode de la longue histoire des tumultes qui ont découlé du face a face de deux empires : l'Empire Marocain et l'Empire Ottoman avec comme resultat final une bataille qui a scellé l'avenir du Maroc et qui l'a gardé souverain, sans influence ottomane externe importée, dans la pureté de ses traditions et de ses origines.

                          Mes salutations au docteur des animaux, historien officiel de l'Algerie, dites lui que l'Histoire du Maroc ne se tient pas à Alger.

                          Malheureusement pour lui...

                          Sinon, j'attends toujours que l'on me parle d'une seule bataille menée par les algériens. ça cherche toujours?


                          L'Histoire du Maroc est un véritable cimetière pour quiconque pense se créer une histoire sur le dos de l'Empire Chérifien.

                          C'est une tres mauvaise strategie parce qu'elle inculque aux algeriens des vérités très différentes du dogme ideologico-historique instauré depuis l'ère de Boukharrouba.



                          Dernière modification par ayoub7, 28 août 2023, 23h10.

                          Commentaire


                          • #28
                            C'est intéréssant de noter que tous les documentrs historiques parlent de la riviere de Moulouya comme la ligne de démarcation entre le Maroc et l'Algérie.

                            Commentaire


                            • #29
                              c'est interessant que le Maroc a cette epoque de la bataille ci-haut, arrivait jusqu'a Tlemcen oui, tu l'as raté cette information?

                              Je ne parle pas du Maroc des Almoravides ou des Almohades bien entendu qui arrivait jusqu'en Tunisie.

                              En fait les amis, vous avez un tres gros probleme dans le fait que vous ne pouvez pas enseigner la vraie histoire de la région parce qu'elle ressortisait le Maroc comme l'Empire de la région qui a fait des autres pays des provinces.

                              Et le probleme avec ça, c'est qu'il est impossible de regler la question identitaire sans enseigner la vraie histoire.

                              C'est un cercle vicieux... d'ou les médicaments sonores du Docteur des animaux...
                              Dernière modification par ayoub7, 29 août 2023, 00h20.

                              Commentaire


                              • #30
                                ayoub7

                                l'Algérie devrait demander la récupération de ses terres historiques jusqu'au la riviere de Moulouya. C'est un droit historique de notre GRANDE ALGÉRIE. Tous les documents historiques sans exception parlent de la riviere de Moulouya comme ligne de démarcation entre les deux pays. Je ne sais pas comment l'Algérie a cédé ces terres fertiles aux charlatans Aléouites.
                                Dernière modification par Issabrahimi, 29 août 2023, 00h31.

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