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Entre l’émir algérien et le sultan marocain, l’alliance fatale contre le colon

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  • Entre l’émir algérien et le sultan marocain, l’alliance fatale contre le colon



    En 1830, les Français entament leur conquête de l’Algérie. Menée par l’émir Abdelkader, la résistance reçoit le soutien du sultan marocain Abderrahmane. Ensemble, les deux leaders donnent du fil à retordre à la France. Mais cette alliance conduira in fine à la colonisation de l’Algérie et à la mise sous protectorat du Maroc.

    20 janvier 2023 à 17:55
    Par Nina Kozlowski
    Mis à jour le 20 janvier 2023 à 17:58




    Moulay Abderrahmane, sultan du Maroc, sortant de son palais de Meknès, par Eugène Delacroix. © Bernard Bonnefon/AKG Images

    FRÈRES D’ARMES CONTRE LE COLONIALISME


    Dans l’est du territoire, les tribus reçoivent l’appui du bey de Constantine. Dans l’ouest, en Oranie, elles sollicitent et obtiennent la protection du sultan marocain Abderrahmane. Particulièrement Tlemcen, ennemi juré des Ottomans, qui partage un ADN commun avec Fès : les dynasties almoravides, almohades et mérinides y ont successivement régné, la sociologie des notables est similaire (bourgeoisie chérifienne d’origine arabe) et leurs liens, notamment commerciaux, sont très étroits. D’ailleurs, après la chute des Ottomans et la percée française, certains notables et même des tribus entières préfèrent abandonner Tlemcen pour se réfugier à Fès.


    Le sultan marocain accède à leur requête de protection et envoie sur place son cousin, Moulay Ali. Dans une correspondance, Abderrahmane écrit avoir répondu favorablement à la demande des notables de Tlemcen et des tribus alentour « par prévention contre toutes les divisions causées par les mécréants et pour éviter toute déstabilisation ». C’est en partie vrai, mais le pouvoir central de Fès a également toujours nourri l’ambition de récupérer Tlemcen et ainsi d’étendre son influence en Oranie.

    Naissance d’un leader


    Jusqu’en 1934, le Maroc occupe une partie de la ville. Pourtant, un contingent de Kouloughlis (métisses turco-maghrébins) – d’abord pro-Ottoman, puis pro-Français – s’est retranché aux abords du Palais de Tlemcen, et la région oranaise est toujours sous le commandement d’un bey, particulièrement âgé et souffrant. Dans une lettre, Abderrahmane lui écrira d’ailleurs : « Vous êtes les branches de l’arbre qu’incarnait le Pacha. Puisque ce sont désormais des racines mortes, vous n’êtes plus de ce monde. »

    À Mascara, dans la même région, un autre personnage émerge : Abdelkader, un marabout issu de la confrérie Qadiriya, dont le père, Mahieddine, a proclamé le jihad (guerre sainte) contre les colons chrétiens. En 1832, ce dernier convoque une réunion de chefs de tribu, où Abdelkader s’illustre par son énergie combative, son charisme et son leadership. Il est alors élu « émir », autrement dit « chef des armées », « sultan » et « commandeur des croyants ».
    L’échec de la « mission Mornay »


    Très vite, l’émir Abdelkader rallie à lui une grandepartie de la région et inflige de sévères défaites à l’armée française, si bien qu’en 1834 les hommes du sultan Abderrahmane lui laissent Tlemcen. Les contacts entre l’émir et le sultan sont déjà établis : Abdelkader a envoyé des émissaires à la Cour de Fès, afin qu’Abderrahmane apporte sa caution au jihad mené contre l’envahisseur français, et, pourquoi pas, un soutien (financier, militaire, logistique). Le sultan y consent : il fournira des armes, des hommes et l’asile à tous ceux qui en ont besoin.

    Pris en étau, l’Empire chérifien est également sollicité par la France, qui le considère certes comme un « voisin », mais néanmoins « dangereux ». Dès 1832, après la prise d’Alger, Louis-Philippe – le dernier roi de France – envoie une importante délégation diplomatique menée par le comte Mornay au Maroc, et dont fera partie le peintre Eugène Delacroix. Objectif : obtenir la neutralité du Maroc et l’arrêt de l’aide militaire des Marocains aux Algériens. Le 24 janvier, la délégation débarque à Tanger ; le 22 mars, elle est reçue en audience impériale à Meknès, et le 4 avril, enfin, le sultan s’engage à rester neutre et à retirer ses troupes d’Algérie.

    Il promet même de signer un traité. Or il n’en sera rien. Le camouflet est tel pour l’autorité française que dans ses tableaux définitifs sur son séjour à la cour chérifienne, Delacroix effacera toute présence de la délégation française.

    Les jeux géopolitiques





    Le sultan Abderrahmane a de bonnes raisons de soutenir l’émir et les tribus engagées dans le combat anticolonialiste. Des raisons exogènes d’abord : la solidarité et la fraternité au nom de l’islam. Ensuite, la menace existentielle que représente la France : si elle parvient à soumettre l’Algérie, alors l’Empire du Maroc sera le prochain sur la liste des conquêtes coloniales. Ensuite des raisons endogènes : à l’époque, le Maroc n’aurait « d’empire que le nom », selon l’auteur français Guy Dumur. En effet, de nombreuses tribus sont entrées en rébellion contre le sultan et rejettent son autorité. Alors, quoi de mieux qu’un ennemi commun, qui plus est chrétien, pour favoriser l’union ?

    Et puis, dans les arcanes de la cour, il faut aussi noter la présence des Britanniques, concurrents des Français et alliés stratégiques du sultan, qui auraient influencé en partie ses décisions. L’historien Pierre Vermeren résume plus prosaïquement mais très justement la situation : « le sultan et l’émir ont été menacés par les mêmes personnes et se sont retrouvés embarqués dans la même histoire. »

    Trêve avec l’ennemi, lune de miel avec l’ami


    Fragilisée, la France envoie sur place, en 1836, un certain général Bugeaud Un seul mot d’ordre pour ce grand militaire français : écraser l’émir. Mais face à la résistance de ce dernier et de ses hommes, Bugeaud n’a d’autre choix que de signer le Traité de Tafna, en 1837.

    Selon les clauses de ce « contrat », la France reconnaît l’autorité de l’émir Abdelkader en Oranie et lui laisse Tlemcen. En contrepartie, il doit reconnaître la souveraineté de la France en Afrique et lui concéder Oran et Alger, deux villes côtières éminemment stratégiques. De retour dans l’Hexagone pour rendre son rapport, le général Bugeaud déconseille la poursuite de la conquête en Algérie et estime qu’il s’agit d’une « possession onéreuse dont la nation serait bien aise d’être débarrassée ». Cette critique ne l’empêchera pas d’être nommé gouverneur général d’Algérie en 1840.

    Évidemment, ce traité n’est qu’une trêve, le temps pour chacun de préparer le prochain affrontement. La France aspire toujours à soumettre l’Algérie, et l’émir à chasser les Français.

    En attendant, Abdelkader apporte une attention toute particulière à sa relation avec le sultan chérifien : il veut obtenir plus d’aide et éviter de se mettre à dos cet empire riche de grandes ressources militaires et humaines. Ainsi, les cadeaux envoyés par la diplomatie française à l’émir après la signature du traité sont immédiatement remis au sultan, tandis que les prêches du vendredi, qui ont lieu dans les mosquées de l’Ouest algérien, sont prononcés au nom de ce dernier.

    Abdelkader, ou le génie stratégique


    Mais à partir de 1839, la France redevient mordante et inflige à l’émir plusieurs revers. Le 16 mai 1843, l’armée française met à sac la smala d’Abdelkader, une capitale ambulante (qui rassemble 20 000 âmes et 5 000 soldats), et prend le pouvoir en Oranie. L’émir, qui n’était pas sur place, parvient à trouver refuge au Maroc. À Oujda, puis dans le Rif, il est accueilli triomphalement par la population, qui lui prête même allégeance.

    Perçu comme un grand chef, le seul capable de battre les chrétiens, il obtient le ralliement de plusieurs sujets de l’Empire marocain, notamment la confédération tribale des Beni-Snassen et plusieurs confréries soufies. Pour ne pas provoquer la colère du sultan, l’émir précisera à ses fidèles : « Je ne suis venu sur la terre du sultan ni pour s’accaparer son pouvoir ni pour prendre possession de ses terres, car cette attitude serait totalement insensée. »

    En réalité, Abdelkader est un fin stratège. Secrètement, il estime qu’Abderrahmane n’en fait pas assez pour soutenir le jihad, et pointe même son avarice, ainsi que sa peur de la France. Son plan est donc tout tracé : « amener le Maroc à se prononcer en sa faveur, et, dans ce but, exacerber les passions religieuses, notamment celles de l’ordre puissant des Khouans de Mouley Taïeb, se faire un piédestal enfin du mépris que tous ses sujets ont conçu pour Moulay Abderrahmane, et l’entraîner par la crainte à devenir son allié, de peur d’avoir à lutter contre un rival”, rapporte Pierre Bellemare, un haut fonctionnaire français, qui a côtoyé l’émir

    L’effet domino


    Pour provoquer les Français, Abdelkader mène une expédition militaire en Oranie et se retranche aussitôt derrière les frontières de l’Empire chérifien. Conséquence : le général Bugeaud établit un camp au nord-ouest de Tlemcen, à Lalla Maghnia. Le Maroc, qui considère cette zaouïa comme sienne, vit cette installation comme une profanation. C’est du moins le sentiment des populations, car le sultan, lui, continue à se montrer hésitant. Mais l’empire abrite l’émir, ce qui en fait, de facto, l’ennemi objectif de la France.

    Au printemps 1844, Manuel Borrajo, vice-consul d’Espagne à Tanger, tue un Marocain. L’épisode n’est pas relaté avec précision, mais cet acte provoque un nouveau soulèvement populaire et manque de déclencher une guerre entre le Maroc et l’Espagne. Outré, Abderrahmane ne fait plus de différence entre l’Espagne et la France, et finit par considérer que les Européens sont de toute façon des ennemis à abattre. Il décide donc de prendre part au conflit entre l’émir et la France, et nomme son fils, Sidi Mohammed, à la tête des troupes marocaines.

    Malgré cette décision, le sultan et les représentants du Makhzen n’ont de cesse de correspondre avec les Français, et tout particulièrement le général Bugeaud. Dans les lettres envoyées aux représentants du sultan, dont El Guennouni (chef militaire à Oujda) et Sid Ahmida Ben Ali (chef des camps marocains à la frontière avec l’Algérie), l’officier français oscille entre flagornerie et menaces.

    Les Marocains, de leur côté, font mine de flatter l’ego français et jouent la montre. Le 21 juillet 1844, Ahmida Ben Ali écrit à Bugeaud : « Nous savons que votre but principal est l’émir, aussi lui avons-nous envoyé à l’instant même des émissaires qui ont l’ordre de le chercher où il sera […] et je lui parlerai avec fermeté jusqu’à ce qu’il aille à Fès ou qu’il sorte de notre royaume. » Il n’en fera rien. D’ailleurs, le 6 août, la marine française bombarde Tanger.

    Le prince Louis Napoléon annonçant à l'émir Abdelkader la fin de sa captivité, au château d'Amboise, le 16 octobre 1852. © Stefano Bianchetti/Bridgeman Images

    La débâcle d’Isly



    le sultan Moulay Abderahman

    L’armée marocaine envisage alors une réponse musclée, trop sans doute : attaquer les troupes françaises à la frontière algéro-marocaine. Le 14 août, à Isly, pas moins de 60 000 cavaliers marocains fondent sur 11 000 soldats français. Au même moment, la marine française bombarde Essaouira et accoste sur l’île de Mogador. Malgré leur supériorité numérique, les Marocains subissent une cuisante défaite, qui sera d’ailleurs vécue comme un traumatisme national.

    Battu, humilié, dominé, l’empire du Maroc n’a d’autre choix que de signer avec la France le Traité de Tanger, le 10 septembre. Paris n’exige pas d’indemnité, mais contraint le sultan à reconnaître la présence française au Maroc, à rompre son alliance avec l’émir Abdelkader et à le « mettre hors d’état de nuire ».

    Le sultan enjoint l’émir de se rendre à Fès, sans plus de conviction. Mais pour les Français, l’enjeu est ailleurs. En échouant militairement face à eux, le sultan a mis le doigt dans un engrenage fatal : le morcellement de son empire. Petit à petit, sous peine de représailles, il est contraint de signer des traités qui annexent des morceaux de territoires marocains à l’Algérie, et fixent un tracé approximatif des frontières entre les deux pays.

    L’émir, quant à lui, réduit à une forme de clandestinité, bénéficiera de la protection des populations marocaines jusqu’à ce qu’il rallie la Kabylie en 1845. Épuisé, isolé, il finit par se rendre aux autorités françaises le 23 décembre 1847. S’ouvre alors pour lui un nouveau chapitre : une incarcération en France puis une nouvelle vie entre la Turquie et la Syrie.


    jeuneafrique
    Dernière modification par Volontaire, 21 janvier 2023, 22h18.

  • #2
    Les raisons qui ménent à la mise sous protectorat du maroc sont dissosiés dans le temps et dans l'espace des conséquences de l'invasion française de l'Algérie ..

    L'article , écrit par un marocain est une vision romancée et édulcorée de la réalité historique.
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #3
      récuperer Tlemcen
      non ,le juste mot est prendre et non récuperer , car la vérité historique ,Tlemcen n'a jamais appartenu aux alaouites ,ni leur prédecesseurs ,par contre, tout l'oriental marocain jusqua la moulaya a appartenu a Tlemcen ..


      Particulièrement Tlemcen, ennemi juré des Ottomans, qui partage un ADN commun avec Fès : les dynasties almoravides, almohades et mérinides y ont successivement régné, la sociologie des notables est similaire (bourgeoisie chérifienne d’origine arabe)
      un tissu d'âneries , Tlemcen dont l'histoire est plus ancienne que le maroc a dans son ADN l'empreinte de son rang de capitale Zianide durant trois siécles .
      dans les faits ,culturellement ,notamment durant la période coloniale francaise ou même durant la période de la régence d'Alger ,c'est Tlemcen la citadine qui va influencer Fés ainsi que le nord marocain en y apportant une grande part de sa culture Algéro Andalouse ..
      Dernière modification par xenon, 28 janvier 2023, 11h40.
      ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
      On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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      • #4
        Un emir elever au rang d'hero national qui offre l'algerie a la france et file se la couler douce en syrie avec une pension plus que genereuse assurer par le tresor francais lui meme.........
        meme ces enfants avaient des pensions............

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        • #5
          Un emir elever au rang d'hero national qui offre l'algerie a la france
          qui a part lui a combattu dix huit ans ..
          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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          • #6
            Dans l'article il est écrit que l'émir s'est réfugié à la ville marocaine de Oujda et aussi au Rif (surement le rif oriental ?!) ou des tribus lui ont même prêté allégeance
            Tout d'abord le maghreb extrême ne s'appelait pas comme de nos jours mais c'était Marrakech
            Ensuite Oujda à cette époque appartenait au maghreb central et cela jusqu'à lalla maghnia
            Enfin les tribus orientales du Rif nottament les beni znassen n'obéissaient pas au sultan de Marrakech
            L'actuel oriental marocain a les meme caractéristiques géographiques que l'Oranais càd fait de tell e de hauts plateaux
            a n'a rie à voir avec la région au dela de melouia , le Maroc proprement dit commence aux montagnes de Taza

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            • #7
              xenon

              non ,le juste mot est prendre et non récuperer , car la vérité historique ,Tlemcen n'a jamais appartenu aux alaouites ,ni leur prédecesseurs ,par contre, tout l'oriental marocain jusqua la moulaya a appartenu a Tlemcen ..
              Du n’importe quoi c’est pas en déformant l’histoire qu’on va persuader les gens


              Tlemcen a toujours été sous le pouvoir de Fes de Marrakech et de Meknes pendant des siècles

              1-le fondateur des almoravides était Abdallah Ibn Yassin né à Tamanart au Maroc son adjoint Ibn Yassine né à Tlemcen qui était jadis sous le pouvoir de Fes et de Marrakech (voir carte de l’empire almoravides et almohaed)

              Les zianides étaient juste les vassaux des Almohades car placer à Tlemcen par les Almohades (cherche bien dans l’histoire) et quand les Almohades sont tombé les zianides ont fondé leur dynastie a Tlemcen qui n’a pas d’ailleurs duré longtemps (juste 125) ans

              et après ils se sont installé dans le palais du mechouar qui a été avant une citadelle Almohades d’ailleurs ce palais va être rénover après par les marocains d’où le magnifique zellig de Fes qu’on ne trouve nulle par à part le Maroc


              2- fondateur des Almohades Ibn Toumert né à Igiliz au Maroc

              3- les fondateurs des merenides venu du sud de Moulouya

              4 - les fondateurs des watassid venu sud de l’anti atlas marocain

              5- les fondateurs des alaouites venu du Tafilalt marocain etc….

              Toutes ces dynastie sont marocaines

              un tissu d'âneries , Tlemcen dont l'histoire est plus ancienne que le maroc a dans son ADN l'empreinte de son rang de capitale Zianide durant trois siécles .
              dans les faits ,culturellement ,notamment durant la période coloniale francaise ou même durant la période de la régence d'Alger ,c'est Tlemcen la citadine qui va influencer Fés ainsi que le nord marocain en y apportant une grande part de sa culture Algéro Andalouse ..
              Cest cela plutôt les vrais âneries , car comment se fait-il qu’en ville comme Tlemcen puisse influencer sa propre capitale qui est Fes (capitale du Maghreb) durant des siècles ??? Faut juste regarder le limites de l’empire almohade et almoravides et tu comprendra

              En Algérie il n’y a jamais eu d’état proprement dit avant 62, il fut certes deux dynastie mais tous étaient vassaux et en plus il n’y a pas eu une continuité comme c’est le cas du Maroc (des Idrissides jusqu’au alaouite aujourd’huih

              ces deux dynastie en Algérie la 1ere les hamadites étaient les vassaux des fatimides D’Égypte , les seconds les zianides vassaux des Almohades

              ce lien neutre parle un peu de ça surtout le siège de Tlemcen (passionnant)

              https://journals.openedition.org/anisl/10053

              Les merenides malgré qu’ils siégeaient Tlemcen mais étaient plutôt et surtout occupé par la guerre en Andalousie tandis que les zianides étaient restée les bras croisé dans leurs palais mechouar qui a été rénové bien plu tard par les artisans marocain d’où le magnifique zellij de Fes
              Dernière modification par Volontaire, 29 janvier 2023, 21h53.

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              • #8
                L'article , écrit par un marocain
                Par Nina Kozlowski (jeune Afrique)

                Commentaire


                • #9
                  Cet article démontre clairement que le Maroc et ses empereurs ont défendu le Maghreb centrale (l’actuel Algérie) contre la France en aidant l’émir Abdelkader prenant même le gros risque d’être attaquer par la France à cause de cela , la France a déclaré la guerre contre le Maroc a cause de ses aides à l’émir qui s’est toujours considéré comme étant un sujet de l’empereur marocain Abderahman ——lisez l’article

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                  • #10
                    Xenon :

                    "qui a part lui a combattu dix huit ans"

                    qu'est-ce-qu'il faut pas entendre !!!!!

                    tu sais 1 ans 18 ans 100 ans c'est pareil enfin de compte il a offert l'algerie a l'envahisseur............

                    et en plus il accepte une pension du tresor publique francais comment tu appel sa?????

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