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Réputées mondialement pour être respectueuses de l’environnement, les techniques de construction ancestrales marocaines redeviennent la tendance des nouveaux chantiers d’infrastructure. Elles sont ainsi privilégiées, faisant appel à des matériaux naturels et à un savoir-faire typiquement local.
.Un récent reportage sur France 3 a été consacré à ce sujet, où l’exemple a été pris de la ville d’Agadir. Son téléphérique unique au Maroc est conçu pour relier la citadelle nouvellement restaurée. La kasbah, détruite par le tremblement de terre de 1960 puis reconstruite, a en effet fait peau neuve grâce aux techniques locales, privilégiées par l’architecte Salima Naji. Cette dernière «a souhaité une architecture traditionnelle et des méthodes ancestrales respectueuses de l’environnement», indique la chaîne française.
.Avec l’inflation de l’acier et l’inflation du béton, évidemment toutes ces questions sont devenues cruciales», a déclaré l’architecte. «J’aime le patrimoine, travailler sur des monuments. Ça exige de travailler avec implication et droiture, comme les anciens, pour que ça tienne sur la longue durée», indique pour sa part Samih Tayibbi, maître maçon sur le chantier.
Le média rappelle que Salima Naji «se bat pour prouver qu’une autre architecture est possible et multiplie les projets». Elle utilise notamment du bois local, pour «mieux entretenir la palmeraie».
ya bil
.Un récent reportage sur France 3 a été consacré à ce sujet, où l’exemple a été pris de la ville d’Agadir. Son téléphérique unique au Maroc est conçu pour relier la citadelle nouvellement restaurée. La kasbah, détruite par le tremblement de terre de 1960 puis reconstruite, a en effet fait peau neuve grâce aux techniques locales, privilégiées par l’architecte Salima Naji. Cette dernière «a souhaité une architecture traditionnelle et des méthodes ancestrales respectueuses de l’environnement», indique la chaîne française.
.Avec l’inflation de l’acier et l’inflation du béton, évidemment toutes ces questions sont devenues cruciales», a déclaré l’architecte. «J’aime le patrimoine, travailler sur des monuments. Ça exige de travailler avec implication et droiture, comme les anciens, pour que ça tienne sur la longue durée», indique pour sa part Samih Tayibbi, maître maçon sur le chantier.
Le média rappelle que Salima Naji «se bat pour prouver qu’une autre architecture est possible et multiplie les projets». Elle utilise notamment du bois local, pour «mieux entretenir la palmeraie».
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