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Langue punique (Carthage et Numidie)

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  • #31
    Je ne dis pas que la langue punique été parler que a Carthage pas du tout , elle été parler dans toute la Méditerranée occidentale .
    Mais c'été la langue des Carthaginois pourquoi ne veut tu pas reconnaître cela alors que c'est si évident?

    Il faut être logique mettre Carthage et la Numidie a égalité devant la langue punique c est comme mettre la France et le Sénégal a égalité devant la Langue française sous prétexte que y'a des sénégalais qui parle français.
    C'est de la malhonnêté intellectuelle et du revisionisme de l'histoire.

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    • #32
      @Carthage (bis)

      ... je ne dis pas que la langue punique été la langue de Carthage et uniquement de Carthage ...

      Citation :
      La langue punique été la langue de Carthage et uniquement de Carthage
      ... mais c'été la langue des Carthaginois pourquoi ne veut tu pas reconnaître cela alors que c'est si évident? ...

      Les "Carthaginois" c'est les habitants de la cité de Carthage. Le punique etait leur langue, de même que c'etait la langue de toutes les dizaines d'autres cités puniques d'Afrique, de Sicile, de Sardaigne, de Malte et d'Hispanie. Tout ce monde ne tenait pas sa langue de Carthage puisqu'une bonne partie de ces cités sont plus anciennes que Carthage, qu'ils ont une histoire qui leur est propre et qu'il vecurent d'abord des siècles indépendants de toute domination carthaginoise. Il faut donner leur importance aux mots lorsqu'on se soucie de clarté et de précision.

      ... mettre Carthage et la Numidie a égalité devant la langue punique ...

      Chose que tu es bien seul a affirmer ici.
      Dernière modification par Harrachi78, 11 février 2020, 14h22.
      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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      • #33
        La*langue punique, aussi appelée*carthaginois,*phénico-punique*ou simplement*punique, est une variété éteinte du*phénicien, une langue de*Canaan*appartenant aux*langues sémitiques[1]*et s'écrit de droite à gauche sans voyelles, tout comme le phénicien[2].

        Le punique était parlé au travers de la*civilisation carthaginoise*en*Afrique du Nord*et dans plusieurs*îles méditerranéennes*par les Puniques entre 1100 et*700*av. J.-C., avec la ville de*Carthage*dans l'actuelle*Tunisie*pour centre.

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        • #34
          Chronologie

          ... par les Puniques entre 1100 et 700 av. J.-C.,
          1100 av. J.-C. est la date traditionnelle de fondation des plus anciennes colonies phéniciennes en Afrique du N., comme Utique ou Ikosim (Alger). Carthage a été fondée en 814 av. J.-C. et donc, en suivant le joli texte wikiki que tu cites, le punique aurait été parlé à Carthage durant ... 86 ans !

          Et ca ose parler d'ignorance et de culot !
          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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          • #35
            Les phéniciens, puniques mais pas uniques

            L’historienne Josephine Crawley Quinn enquête sur l’identité phénicienne. Contrairement à une idée répandue, elle n’a jamais réellement existé.
            Les Phéniciens ont-ils un jour existé comme un «peuple» pleinement conscient de lui-même ?
            C’est la question que se pose Josephine Crawley Quinn, enseignante à Oxford et grande spécialiste du monde phénicien, dans un livre brillant et à contre-courant de l’historiographie traditionnelle.
            Sa réponse est, sans ambiguïté, négative. L’erreur remonte à l’historiographie du XIXe siècle, à l’instar d’un Ernest Renan décrivant les Phéniciens comme un «peuple» et une «nation», représentation encore aujourd’hui largement répandue aussi bien dans les manuels d’histoire que dans la littérature spécialisée.

            Cosmopolite
            La dénomination «Phéniciens» est en fait une invention grecque, explique Josephine Crawley Quinn. Dans les sources grecques, il s’agit d’un terme vague pour désigner les marins levantins parlant une même langue. Leur apparition dans la littérature remonte à Homère qui ne présente cependant jamais les Phéniciens en termes ethniques, pas plus qu’il n’en donne une description précise, comme il peut le faire pour les Egyptiens ou les Perses. D’ailleurs, personne ne s’est attribué le nom de «Phénicien» et les sources disponibles montrent que ceux utilisant la langue phénicienne ne se définissaient, au moins dans leurs inscriptions, que par leur cité d’origine, voire plus souvent par leur seul nom de famille, mobilisant couramment plusieurs générations d’ancêtres.

            On n’a donc aucune raison de croire qu’ils employaient un nom commun pour se désigner eux-mêmes et, plus généralement, on ne dispose d’aucune «preuve littéraire phénicienne du type de celles utilisées par les historiens pour édifier les identités grecques et israélites dans la Méditerranée de l’Antiquité».

            Les cités de langue phénicienne étaient nombreuses autour de la Méditerranée et elles entretenaient au moins autant de liens avec les peuples voisins qu’entre elles. Il est frappant, observe Josephine Crawley Quinn, que dans les cités du Levant comme Tyr, Byblos, Sidon ou Arados, la caractéristique la plus remarquable de l’art et de l’architecture civique soit son éclectisme cosmopolite. Beaucoup de sculptures, en particulier les sarcophages, présentent de nombreux emprunts à l’art égyptien, grec ou proche-oriental et peu d’éléments «locaux».

            Diaspora
            Il en va de même pour la religion. Les dieux vénérés dans les cités phéniciennes de Méditerranée occidentale provenaient aussi bien d’Egypte, de Grèce que d’Anatolie ou de Mésopotamie. Quant aux fameux sacrifices rituels d’enfants si souvent identifiés à la religion punique, ils n’étaient pas une caractéristique partagée par la totalité de la diaspora phénicienne mais seulement par quelques communautés comme Carthage ou les ports de Sardaigne.

            Aussi le concept universitaire largement accepté d’un «monde punique» unifié d’un point de vue culturel et religieux semble très problématique aux yeux de la spécialiste d’Oxford. Il est en revanche vrai que, à partir de la fin du Ve siècle avant notre ère, Carthage a fait preuve de volontarisme afin de promouvoir cette identité punique.

            Il est cependant paradoxal que la culture carthaginoise elle-même s’appuie largement sur le savoir grec, à défaut de pouvoir s’appuyer sur des ressources propres. «Cette référence à une identité phénicienne commune lancée par une puissance impériale en expansion […] est un exemple significatif de la manière dont une affirmation identitaire ethnique particulière peut être davantage un outil de contrôle que d’émancipation.»

            Ce n’est finalement qu’avec la domination romaine que la Phénicie devient une véritable entité politique, avec la création de la province de Syrie-Phénicie. Cette référence phénicienne est en fait beaucoup moins revendiquée par les ports du Levant que par les colonies. Ces dernières, surtout en Afrique du Nord, voient en particulier dans l’emploi continu de la langue punique, écrite et surtout orale, un moyen de défendre une identité civique contre l’occupant romain, ce qui «n’avait aucun rapport avec une quelconque identité collective phénicienne», souligne Josephine Crawley Quinn. Cette démonstration du caractère artificiel d’une catégorie comme «Phéniciens» a un mérite certain : elle met en garde contre les analyses historiques trop promptes à proposer une lecture préconstruite du passé et elle incite à nous méfier d’«un décryptage un peu trop facile de la vérité historique».

            Jean-Yves Grenier
            — 2 octobre 2019 à 17:36
            dz(0000/1111)dz

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            • #36
              Les civilisations Punique et Numide (Berbère) ont coexisté sans problème majeur.

              La langue Punique était pratiquée dans les villes de la bande côtière de l’Afrique du nord jusqu’à la Libye, et dans la Sardaigne, la Sicile, Malte, et dans la Catalogne actuelle.

              La langue Numide était pratiquée dans le reste de l’Afrique du nord et il est fort possible qu'une partie de la population était bilingue (comme le cas actuellement)

              Ce qui a surtout attiré mon attention, c'est la ressemblance entre les langues Punique et Arabe, et le fait que notre dialecte comporte un héritage Punique important...

              Ceci peut expliquer les différences entre les dialectes de l'Afrique du nord par rapports aux dialectes des autres pays Arabes.

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              • #37
                La langue Punique était pratiquée dans les villes de la bande côtière de l’Afrique du nord jusqu’à la Libye, et dans la Sardaigne, la Sicile, Malte, et dans la Catalogne actuelle.
                c'est les mème point côtière de fusion de culturelle des marins berbères numide et ancien Égyptien du sud de la méditerranée avec le nord .....une relation entre le monde nord afrique qui ce compose de civilisation libyque et égyptien dans le monde gréco-romaine...

                de nous jours on utilise le mots de diaspora maghrébine dans les ville côtière Méditerranéenne ...rien n'a changer c'es les meme recensement démographique de l'époque antique du réseaux de marchant et marin du nord d'Afrique
                Dernière modification par katiaret, 12 février 2020, 09h28.
                dz(0000/1111)dz

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                • #38
                  Punique = Carthage , ni Numidie ni Thaïlande .

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                  • #39
                    Punique = Carthage , ni Numidie ni Thaïlande
                    serieusement bechoui ala rouhak

                    tout le monde sait que carthage est en Tunisie


                    non non, ton exemple du sénégale est du grand n'importe quoi !!!

                    la Numidie parlait punique (mélange du phénicien et berbère) , les traces existante de cette langue on les trouve en tunisie, et en Algérie

                    saint augustin dans son temps a déja écrit que la population rurale d'Annaba se disait canaanite

                    on aimerai bien connaitre ton haplogroupe , l'haplogroupe phénicien, son taux actuel en Tunisie, et dans l'est Algérien

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                    • #40
                      Es que dans un seul message j'ai dis que la langue punique n'a pas ete parler en Algérie? Non ! Je dis que c'est la langue des carthaginois, et que sa présence en dehors ne change rien .
                      Les numide connaissé le punique comme les algériens aujourd'hui le français une influence extérieure
                      Dernière modification par Le Carthaginois, 19 février 2020, 11h19. Motif: Reponse

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                      • #41
                        Es que dans un seul message j'ai que la langue punique n'a pas ete parler en Algérie? Non ! Je dis que c'est la langue des carthaginois, et que sa présence en dehors ne change rien .
                        Les numide connaissé le punique comme les algériens aujourd'hui le français une influence extérieure
                        si comme vous évoqué la romanisation ou la francophonie coloniale dans l’Afrique.
                        dz(0000/1111)dz

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                        • #42
                          [QUOTE]
                          Les numide connaissé le punique comme les algériens aujourd'hui le français une influence extérieure[/QUOTE
                          une autre fois

                          habb yqoul la Numidie était juste une colonie de carthage

                          Commentaire


                          • #43

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                            • #44
                              https://www.youtube.com/watch?v=Tc4UwmbYcME&t=39s

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                              • #45
                                ce qui est parfois bien avec l'histoire des haplogroupes et de connaitre la relation des populations actuelles avec ceux d'il y'a 20 siècles


                                par exemple celui dominant aujourd'hui en italie était minoritaire au temps de rome

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