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Langue de Molière, ou langue arabe ?!!!

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  • Vu le nombre des mots la théorie du français inclus dans l'arabe est très plausible ou .... que l'arabe a siphonné tous les mots du français et des autres langues.
    Ceci prouve encore une fois que la langue arabe est la seule langue mère encore vivante, capable de permettre aux gens, non seulement de dialoguer aisément entre eux, mais aussi d’expliquer toute idée ou sensation, sans difficulté et avec beaucoup de précision dans le choix des mots.

    Merci Okba30 pour cette information.
    "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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    • Post #435

      D'où sort ce chiffre de 12 millions de mots dans la langue arabe ?

      Je veux bien que chacun glorifie la langue qui lui plaît, mais pas au point de dépasser les limites du vraisemblable !
      Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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      • Je veux bien que chacun glorifie la langue qui lui plaît, mais pas au point de dépasser les limites du vraisemblable !
        j'ai cru comprendre que l'encyclopédie originelle de lisân Al Arab contiendrait quelques millions de mots ,le 12 millions annoncés plus haut même si exagéré peut être n'en est pas moins étonnant si on ajoute toute la gamme de mots nouveaux,y compris dialectes depuis le XIII éme siécle jusqu’à nos jours ..
        Dernière modification par xenon, 21 septembre 2017, 15h22.
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • Mais non, Lisan Al-Arab contient 80.000 entrées (voir ici, sinon la page 288 de ce PDF). Si on y ajoute les dérivations, et même en mettant une moyenne de 10 dérivations par entrée, on atteint à peine le million de mots. Mais en vérité, il contient beaucoup moins que ça.
          Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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          • C'est au-delà de l’absurdité. Avec un alphabet de 28 lettres, on ne peut former qu'un maximum (théorique) de 19.656 racines trilitères distinctes. Même en allouant une trentaine de formes dérivées par racine, on obtient un grand total de moins de 600.000 mots, ce qui fait moins de 5% des prétendus 12+ millions de mots. Ceci reviendrait à dire que les racines trilitères sont insignifiantes dans la formation du vocabulaire arabe.
            ¬((P(A)1)¬A)

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            • autant pour moi les amis !
              ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
              On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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              • Nombre = de l’arabe Nabre نبر

                Étymol. et Hist. I. A. 1. a) 1remoitié XIIes. « évaluation d'une pluralité de personnes ou de choses » (Psautier de Cambridge, éd. Fr. Michel, XXXIX, 14 : ...mals, desquels nen est numbres [mala, quorum non est numerus]); ca 1150par nombre « dénombrés; au total » (Thèbes, éd. G. Raynaud de Lage, 3443); 1155 (WACE, Brut, éd. I. Arnold, 13244 : Grand fu li pueples, n'en sai numbre); fin XIVes. sans nombre (JEAN FROISSART, Chron., I, § 84, éd. S. Luce, t. 1, 2, p. 174, 16); b) XIIIes. Livre des nombres; Nombres [Vulgate Libri numerorum : Numeri] ainsi appelé parce qu'il relate le recensement des douze tribus d'Israël (Bible historiale, ms. Bibl. nat. fr. 899, fol. 53 vo; 54, d'apr. TRENEL, p. 128); 2. a) XIVes. « quantité » grant nombre de + subst. sing. (Fable de Renart [ms. Bibl. nat. fr. 2458], éd. E. Martin ds Z. rom. Philol. t. 6, p. 183); b) fin XVes. « bonne quantité, quantité importante » ung nombre de « un bon nombre de » (PHILIPPE DE COMMYNES, Mémoires, éd. J. Calmette, t. 1, p. 50, 12); 3. a) 1478 au nombre de « parmi » (Arch. nat. JJ 206, p. 1022 ds LA CURNE); b) 1538 du nombre; du nombre de (EST., s.v. numerus). B. Math. 1. 1119 désigne le nombre d'or (PHILIPPE DE THAON, Comput, éd. E. Mall, 3352 : La lune en veritet... Par dis e nof anz vait E sun plenier curs fait. A chascun en vertet Est sis numbres poset); XIIIes. nombre d'or (Comput, fol. 1 ds LITTRE); 2. 1130-40 li nombres cent (WACE, Conception N.D., éd. W. R. Ashford, 411 : Par cent berbiz qu'ot demandees [l'ange à Joachim, en sacrifice] ...Ce, nos est avis, senefië La celestial compaignie, Quar cent cist nombres, ço savum, Senefië perfectiun). II. 1. Gramm. XIIIes. [ms. XIVes.] (L'Ars minor de Donat, ms. Bibl. Mazarine 3794, éd. S. Heinimann ds Cah. F. Sauss. t. 23, 1966, p. 52, 45 fol. 22d, en parlant d'un nom; p. 55, 150 fol. 24c, en parlant d'un verbe); 2. rhét. 1549 « harmonie du discours basée sur le rythme de la phrase » (J. DU BELLAY, Deffence et illustration de la lang. fr., I, 3, éd. H. Chamard, p. 71); 3. mus. 1685 « harmonie résultant de certaines proportions ou cadences » (A. FURETIERE,Essai d'un dict. universel, p. 194). Du lat. numerus « nombre; quantité, grande quantité; [gramm.] le nombre; partie d'un tout; partie mesurée d'un tout : a) fragment de temps [jour]; b) [en musique] temps frappé, mesure, cadence; c) [en poésie] pied métrique; d) [en prose] rythme, nombre ». L'emploi en rhét. paraît empr. au lat. par la Pléiade.
                http://library.islamweb.net/newlibra...no=122&ID=8079
                "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                • Les mots contenant "Nombre".

                  * surnombre
                  * pénombre
                  * nombreux
                  * nombrer
                  * dénombrer
                  * dénombrement
                  * dénombre
                  "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                  • Revif = de l'arabe Rafif رفيف

                    Étymol. et Hist. 1. Ca 1350 adj. « ressuscité » (Le Mystère de la Passion Nostre Seigneur, éd. G. A. Runnals, 3128); 2. 1561, 26 févr. subst. masc. « recrudescence de la marée » (Journal du Sieur de Gouberville ds Poppe 1936, p. 34); 3. 1869 « nouvelle vigueur » (Flaub., loc. cit.). Dér. de vif*; préf. re-*.
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                    • Précisions !

                      Tous les mots dits d’origine latine sont en fait des mots arabes latinisés, comme d’ailleurs toutes les sciences étudiées à nos jours dans les universités du monde entier. À ce propos, je lance un défis aux défenseurs de la langue française de me présenter, à l’exception de quelques textes sans grand intérêt pour l’élaboration d’un dictionnaire, un seul document authentique écrit par des latins en période latine !

                      NB : Les Arabes n’avaient pas traduit les sciences dites antiques en langue arabe. Ils avaient plutôt développé juste les philosophies antiques en sciences arabes que nous connaissons. En mathématiques par exemple, les Arabes avaient crée les Chiffres que nous utilisons en coefficients et en puissances. Avant la médecine arabe, les malades étaient traités par des charlatans, et certains malades étaient même brûles vifs, comme les fous...
                      "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                      • Témérité = de l’arabe Tamaroud تَمَرُّدٌ

                        Étymol. et Hist. 1. Ca 1380 « hardiesse imprudente, inconsidérée » (ROQUES t. 2, I, Paris B.N. Lat. 13032 12247:temeritas: temerités. presumpcion. folie); 2. 1624 « acte, discours téméraire » (MALHERBE, Poésies, XCI ds Œuvres, éd. L. Lalanne, t. 1, p. 260). Empr. au lat.temeritas « hasard aveugle; irréflexion, témérité ».
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                        • Attirer = de l’arabe Ithra إثر

                          ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1275-80 fig. « attirer à soi » (cf. cependant le glossaire de l'éd. citée) (J. DE MEUNG, Rose, éd. F. Lecoy, 4604 : Car Amor, qui forment m'atyre, Qui par trestouz mes pensers chace Con cil qui par tout a sa chace); 1534 id. « tirer vers soi, entraîner vers soi (qqc.) » (RABELAIS, Gargantua, éd. La Pléiade, XL); d'où 1580 « (d'un inan.) entraîner par voie de conséquence, causer » (MONT., ch. XXIII, p. 69 ds GDF. Compl.); 1541 « (d'une pers.) entraîner vers soi » (CALVIN, Instit. chrét. II, c. 3, § 10 ds Dict. hist. Ac. fr.); 2. 1580 au propre « faire venir à soi (qqc.) » (MONT., liv. II, p. 137 ds GDF. Compl. : L'aymant attire une aiguille); XVIes. « id. (qqn) » (AMYOT, Pyrrh, 45 dsLITTRE). Dér. de tirer*; préf. a-1* sur l'a. fr. atir(i)er, cf. attirance.
                          "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                          • Pour enrichir le débat, les mots arabe qui ne sont pas arabes mais qui viennent de l´hebreux, du perse, de l’hindi.....

                            Ah oui abelrahmane, avant l’arrivé des arabes en Europe, il y a eu plusieurs civilisations et il existait déjà une civilisation en france, et deux langues, le latin et le gaulois.

                            Autre chose tu as pris l’exemple de:
                            Comme= kama or en traduction littéraire comme se traduit en arabe (et vis versa) par «*mitla*»
                            l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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                            • Bonsoir Abderrahmane !

                              Où es-tu ? Ca fait un bout de temps qu'on t'a pas lu

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                              • Ceci prouve encore une fois que la langue arabe est la seule langue mère encore vivante, capable de permettre aux gens, non seulement de dialoguer aisément entre eux, mais aussi d’expliquer toute idée ou sensation, sans difficulté et avec beaucoup de précision dans le choix des mots.
                                Pour preuve, les poèmes datant de la djahilya sont facilement lus et compris par un arabisant d'aujourd'hui. Les textes européens datant de la même époques ne sont, par contre, accessibles (décodés) que pas les spécialistes en la matière.
                                ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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