Le richissime époux de la cadavérique Ariel Dombasle, Botul-Henry Levy, nous entraîne avec tous les merdias qui lui sont bienveillants dans son monde fantasmagorique.
Le fervent défenseur du régime génocidaire israélien en France, ainsi que d’une certaine vision des valeurs du judaïsme-talmudique, n’a sûrement pas dû prendre de vacances cet été tant son corps déborde d’énergie. Énergies qu’il doit puiser dans une source appelée amphétamine et dont son écervelée de compagne aura confirmé l’utilisation à des fins (ré)créatives.
Ainsi, la dernière création, toute droit sortie de l’imaginaire de ce sayan perché, remplace les analyses de spécialistes ou d’historiens, mais également toutes celles issues du bon sens, qualité il est vrai que l’on ne rencontre que chez les personnes saines d’esprit.
Alors quand on entend ce dealer de haine citer des politiciens qui lui paraissent exemplaires, le doute n’est plus permis : le merveilleux voyage à commencé.
Un monde où, parce que validé par le système BHL, sont plébiscités des individus tel que Manuel Carlos Valls, éternellement attaché à Israël, Christian Estrosi qui en juillet dernier s’était rendu au mur des Lamentations pour un cours de pleurniche, ou encore Alain Juppé, délinquant condamné qui s’était illustré en interdisant une représentation de Dieudonné. Politiciens censés servir la France et ses intérêts mais qui n’ont d’yeux que pour le régime d’occupation israélien et ses représentants en France.
Notons au passage que dans l’imaginaire du Parisien, surement transporté par la fable du citoyen franco-israélien, Dieudonné semble être un vilain membre d’une tribu africaine dont la haine de l’impérialo-sionisme serait un héritage. Ce merdia s’appuyant ici sur des imagse tirées d’une interview que le comique avait donnée au théâtre de la Main d’Or suite à la polémique suscitée par son spectacle Le Mur. Entretien où notre courageux comique s’était affublé d’un costume traditionnel africain.
Dans la partie suivante de son récit imaginaire, le sculpteur d’arbres à excréments dépeint également sa vision « juste » des manifestations pro-palestiniennes. Rassemblements où se rejoindraient d’après lui des « djihadistes du dimanche matin [...] qui venaient brailler [...] ce qu’ils avaient sur le cœur : leurs haine des juifs ». Il se plaint également du manque de réactivité du peuple, et félicite les prises de position du gouvernement. Comme l’a été la visite des pontes du CRIF à El Blanco, qui aura permis l’interdiction nette des manifestations pro-palestiniennes mais pas celles préparées par la communauté organisée. Ou plus simplement les provocations et l’assaut des danseuses de la LDJ épaulés par les CRS contre les manifestants pro-palestiniens près de la synagogue de la rue de la Roquette, qui sont des éléments flagrants de la soumission de l’appareil répressif d’État au sionisme.
On peut aisément comprendre pourquoi le philosophe toxicomane se réjouit !
Croah
Le fervent défenseur du régime génocidaire israélien en France, ainsi que d’une certaine vision des valeurs du judaïsme-talmudique, n’a sûrement pas dû prendre de vacances cet été tant son corps déborde d’énergie. Énergies qu’il doit puiser dans une source appelée amphétamine et dont son écervelée de compagne aura confirmé l’utilisation à des fins (ré)créatives.
Ainsi, la dernière création, toute droit sortie de l’imaginaire de ce sayan perché, remplace les analyses de spécialistes ou d’historiens, mais également toutes celles issues du bon sens, qualité il est vrai que l’on ne rencontre que chez les personnes saines d’esprit.
Alors quand on entend ce dealer de haine citer des politiciens qui lui paraissent exemplaires, le doute n’est plus permis : le merveilleux voyage à commencé.
Un monde où, parce que validé par le système BHL, sont plébiscités des individus tel que Manuel Carlos Valls, éternellement attaché à Israël, Christian Estrosi qui en juillet dernier s’était rendu au mur des Lamentations pour un cours de pleurniche, ou encore Alain Juppé, délinquant condamné qui s’était illustré en interdisant une représentation de Dieudonné. Politiciens censés servir la France et ses intérêts mais qui n’ont d’yeux que pour le régime d’occupation israélien et ses représentants en France.
Notons au passage que dans l’imaginaire du Parisien, surement transporté par la fable du citoyen franco-israélien, Dieudonné semble être un vilain membre d’une tribu africaine dont la haine de l’impérialo-sionisme serait un héritage. Ce merdia s’appuyant ici sur des imagse tirées d’une interview que le comique avait donnée au théâtre de la Main d’Or suite à la polémique suscitée par son spectacle Le Mur. Entretien où notre courageux comique s’était affublé d’un costume traditionnel africain.
Dans la partie suivante de son récit imaginaire, le sculpteur d’arbres à excréments dépeint également sa vision « juste » des manifestations pro-palestiniennes. Rassemblements où se rejoindraient d’après lui des « djihadistes du dimanche matin [...] qui venaient brailler [...] ce qu’ils avaient sur le cœur : leurs haine des juifs ». Il se plaint également du manque de réactivité du peuple, et félicite les prises de position du gouvernement. Comme l’a été la visite des pontes du CRIF à El Blanco, qui aura permis l’interdiction nette des manifestations pro-palestiniennes mais pas celles préparées par la communauté organisée. Ou plus simplement les provocations et l’assaut des danseuses de la LDJ épaulés par les CRS contre les manifestants pro-palestiniens près de la synagogue de la rue de la Roquette, qui sont des éléments flagrants de la soumission de l’appareil répressif d’État au sionisme.
On peut aisément comprendre pourquoi le philosophe toxicomane se réjouit !
Croah
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