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Haouari Boumeddiene

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  • Haouari Boumeddiene

    Pause-Café : Pause-Café
    Boum, toujours vivant dans nos cœurs ! (1)



    Dans quelques jours, l’Algérie des révolutionnaires, de ceux que l’argent n’a pas changés, de ceux qui se tiennent toujours aux côtés des démunis et des sans-emploi, de ceux qui pleurent en voyant femmes et bébés dans les rues, de ceux qui ne cesseront jamais de dénoncer le bradage des unités réalisées grâce au sang et à la sueur des braves, ainsi que des hôtels et de toutes les infrastructures publiques «données» aux copains, de ceux qui continuent de rêver d’une Algérie fidèle aux principes de la Révolution, digne, forte et égalitaire ; cette Algérie-là sera au rendez-vous de l’histoire pour commémorer la mort du président Boumediene. Celui qu’aucun historien n’a osé qualifier de «dictateur» !
    Pourtant, c’est bien après sa mort, et en Algérie même, que des écrivaillons — souvent des élèves de l’école performante et gratuite des années 70 — en parlent comme d’un «sanguinaire»… farahmaamar@ymail.com

    «Certains citadins se plaignent de l’absence de beurre dans les magasins, ces jours-ci ! Savent-ils que, dans les montagnes, d’autres Algériens n’ont que des glands à manger et de l’eau des mares à boire ?»
    Houari Boumediene (discours de Saïda ) Le Soir
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  • #2
    Boumediene, nous n'avons rien oublié !

    L’autre jour, le présentateur du journal télévisé bombait le torse en nous annonçant pompeusement que l’espoir de vie chez les Algériens avait grimpé à 75 ans ! Oui, c’est une belle prouesse, si l’on se souvient des conditions pénibles dans lesquelles croupissait ce même Algérien au lendemain de l’indépendance.

    Les poux plein les cheveux, les pieds nus dans la boue ou sur la chaussée ardente, la maladie, la faim, l’ignorance, le gourbi : c’était le lot de la majorité des autochtones. Mais si l’espoir de vie a atteint cette moyenne appréciable, à qui le mérite ? Voilà ce qu’a oublié de préciser le présentateur du JT. Pour en arriver là, il a fallu prémunir cet Algérien de toutes les épidémies mortelles. Il a fallu lui offrir une bonne prise en charge sanitaire, des médicaments gratuits, des produits de première nécessité à bas prix ; il a fallu qu’il étudie dans de bonnes conditions et sans ruiner ses parents, qu’il s’épanouisse socialement et culturellement… Et ce n’était pas rien, quand les caisses de l’Etat étaient pratiquement vides et que le pays ne comptait que quelques ingénieurs et techniciens ! Soyons sérieux et n’insultons pas le passé, tout le passé, pour des coquetteries intellectuelles et ne mettons pas tout dans le même chapitre, noirci à volonté, au nom de la formule lapidaire et tentante de «quarante années de dictature» ! L’Algérie d’aujourd’hui n’existait pas au lendemain de l’indépendance. Il n’y avait rien ; rien, à part une petite bande côtière développée comme peut l’être un pays saigné à blanc et dont toute l’économie était orientée vers l’exportation de matières premières en direction de la Métropole. Dans les villes et les villages coloniaux, gracieux comme une carte postale et équipés convenablement, vivait une société à part, dont le niveau de vie était parmi les plus élevés d’Afrique. Mais, c’était l’Algérie des colons et des pieds-noirs. Les autres, les Algériens d’ici, dont les parents avaient été chassés de leurs terres et refoulés vers les piémonts des montagnes, ne vivaient pas. Ils végétaient dans les bidonvilles, connaissant les affres de la misère et du dénuement total et les plus chanceux d’entre eux étaient soit ouvriers agricoles, soit portefaix dans les marchés, ou, encore femmes de ménage chez les colons !

    N’insultons pas la mémoire !

    Il a fallu tout créer ! N’insultons pas la mémoire de ceux qui ne sont plus là et qui ont cru que le rêve était possible, qui ont bâti des écoles partout, des usines, des centres de santé dans les coins les plus reculés, qui ont tracé des routes et introduit le progrès aux quatre coins du pays ; n’insultons pas la mémoire de ceux qui ont consacré leur vie à planifier, étudier, réfléchir pour que le gaz de ville, privilège de deux ou trois centres, aille partout ; que l’électricité, totalement absente des foyers algériens, pénètre les cités populaires et les douars ; que l’eau potable, qu’on allait chercher dans les fontaines publiques, devienne un élément incontournable du milieu domestique ; que les fosses septiques soient bourrées de mortier et oubliées, au profit de réseaux d’assainissement modernes, que les salles de bains remplacent le hammam, que la télévision, captée par une infime minorité d’Algériens à Oran, Alger et Constantine, étende son réseau à tout le territoire national, à travers la diffusion hertzienne, puis par satellite. Dès 1975, l’Algérie utilisait le satellite pour porter le faisceau du programme national jusqu’au Hoggar et Tassili, devenant l’un des premiers pays au monde à avoir accès à cette technologie, utilisée, à l’époque, seulement par quelques opérateurs aux Etats-Unis, au Canada et en URSS ! Il a fallu former des enseignants, des ingénieurs agronomes, des techniciens dans le bâtiment et le génie civil, des pilotes, des gendarmes, des médecins, des infirmières, des chercheurs, des pétroliers, des urbanistes, et j’en passe.

    Gloire aux visionnaires !

    Jeudi dernier, je rêvais à une Algérie qui, non seulement disposerait de fusées, mais les ferait également décoller de Hammaguir. Un ami m’a traité de fou ! Alors, comment devrais-je désigner ces visionnaires qui ont dressé le Barrage vert, muraille d’arbres allant de Tébessa à El Bayadh et que j’ai parcouru de long en large, rencontrant des jeunes, appelés sous les drapeaux, fiers de participer à une gigantesque œuvre d’édification nationale à l’heure où l’ANP plantait des arbres aussi ! Comment devrais-je appeler ces pionniers qui ont porté le goudron jusqu’à Tamanrasset, et bien au-delà, et tous ceux qui ont bâti des centaines de villages agricoles ? Comment devrais-je traiter ces bâtisseurs au long cours qui ont cru qu’il était possible de convoquer les deux génies japonais et brésilien de l’architecture mondiale pour leur confier les plans de deux bijoux universitaires trop souvent oubliés : Constantine et Bab Ezzouar ? Comment qualifier ces promoteurs qui ont ouvert le pays à l’informatique, à une époque où cette science échappait encore au tiers-monde, faisant du CERI la première grande école supérieure d’Afrique formant des ingénieurs dans cette spécialité ! Comment traiter ces hommes qui ont cru qu’il était possible de nationaliser le pétrole et le rendre à son propriétaire ? Et ceux qui ont cru qu’il était possible de traiter le minerai de l’Ouenza ici, à El- Hadjar. Et le complexe est encore là, produisant cet acier dont nous avons tant besoin pour bâtir et bâtir encore ! Comment traiter ceux qui ont eu l’idée folle de liquéfier le gaz et le mettre dans de beaux et grands méthaniers qui sillonnent le monde ? Comment qualifier ceux qui ont osé présenter un film algérien au festival de Cannes et cru en ses chances jusqu’au bout ? Et ceux qui ont introduit la réforme sportive dont les fruits avaient pour noms Madjer, Belloumi, Assad et tant d’autres ? Comment appeler ces fous qui ont placé quelques camions de la Sonacome dans la prestigieuse course du Paris- Dakar ? J’étais là et, sur les pistes brûlantes du désert, dans les forêts sénégalaises, la brousse nigérienne et les plateaux de ce qui s’appelait alors Haute-Volta (le Burkina actuel), j’ai vu notre véhicule national damer le pion à Saviem, Lan, Mercedes et tant d’autres marques prestigieuses. De petits chauffeurs du Grand Sud, nourris aux pois chiches, chauffés par quelques verres de thé à la menthe sirotés après les prières matinales : j’ai vu ces gars au cœur grand comme ça, mais sans étoiles, battre les plus prestigieux des pilotes de course ! Comment appeler ceux qui avaient planifié la construction d’un réacteur nucléaire à Draria ? Et ceux qui en firent autant à Aïn Oussera, avec un centre beaucoup plus important, que les impérialistes avaient voulu bombarder à une époque où ils voyaient d’un mauvais œil les efforts d’émancipation de notre pays ? Je peux citer à l’infini la liste des «folies» qui ont permis à ce pays de se hisser au firmament de la légende tiers-mondiste, avant qu’un ouragan de force six n’emporte tous nos espoirs ! Avant que la néo-bourgeoisie, fabriquée à l’usine de la contrefaçon, revancharde, égoïste, ne vienne détruire ce beau rêve.

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    • #3
      suite

      Une lignée d’arbres debout et fiers

      Un jour, c’était peut-être dans la plaine de Aïn-F’houl (Tlemcen) ou du côté de Belghimouz (Jijel), quelque part sur cette terre généreuse et arrosée de la sueur des braves, j’avais entendu Boumediene dire, à peu près ceci, s’adressant aux paysans : «Le pire qui puisse nous arriver est que la bourgeoisie réactionnaire prenne le pouvoir. Elle tentera de vous enlever vos terres. Résistez et sortez les fusils s’il le faut ! Elle essayera de tout prendre aux ouvriers et de casser toutes les réalisations de la révolution. Aidée par l’impérialisme, elle tentera de supprimer toutes les traces de dignité pour que le khemmas redevienne khemmas et que Kaddour et Amar prennent les places de Claude et Pierre…» Dans cette Algérie de fin 2006, à l’heure du démantèlement du secteur public, du bradage à large échelle, de l’exploitation la plus éhontée des ouvriers par le secteur privé trabendiste, avec des salaires ridicules et l’absence de protection sociale — sans compter l’emploi de mineurs —, à l’heure où l’agriculture des copains, renflouée à coups de milliards, n’arrive qu’à alourdir la facture alimentaire, à l’heure où les plus riches et les plus puissants s’envolent pour se faire soigner à l’étranger, laissant nos hôpitaux, surchargés et sous-équipés, gémir de douleur et hurler de colère, à l’heure où l’industrie nationale publique et privée — des femmes et des hommes ont continué de relever le défi — se heurte au bazar et à la puissante maffia de l’import- export que va conforter l’accord avec l’OMC, à l’heure où l’artisanat et le tourisme se meurent, où l’école sinistrée de Benbouzid se découvre une nouvelle réforme, décriée par les enseignants compétents — encore une, allez-y, comme dirait mon ami Zoubir Souissi : «Apprenez la coiffure sur la tête des orphelins.» Les vôtres sont ailleurs ! — ; à l’heure où la culture a le cœur qui balance entre les chameaux, le petit lait et le couscous des zerdas ; à l’heure d’un sport national en berne, n’est-il pas utile, en ces moments de découragement et d’abattement, de rappeler ce que l’Algérie de Boumediene a réalisé pour ce peuple ? Pas pour les habitués des vols en first Alger-Paris et qui s’inquiétaient, à l’époque, des pénuries de beurre, non, ceux-là, Boumediene leur a répondu par cette phrase inscrite dans ma mémoire : «Ce sont là vos préoccupations au moment où des Algériens ne trouvent à manger que des glands et n’ont que les mares pour boire !» Non, nous le rappelons pour les jeunes qui ont besoin de savoir que le rêve a traversé ce pays, un jour ; et que leurs parents avaient salué avec un grand «hourrah» la décision de Boumediene de stopper l’émigration vers la France, alors institutionnalisée et canalisée… Il avait dit, sous les applaudissements nourris et les youyous perçants, qu’il «valait mieux manger l’herbe d’ici et vivre dignement… » Notre rêve, notre ambition, notre bonheur, était effectivement de vivre ici, dans un grand pays moderne, ouvert, puissant… Et surtout un pays où le riche n’écrasera pas le pauvre, le puissant, le faible… Nous le disons en direction de ces harraguas qui n’y croient plus et qui se mettent à douze dans un canot pneumatique défié par les vagues ! Nous le rappelons pour saluer bien bas les hommes encore vivants de cette formidable épopée, petits retraités aujourd’hui, campant dans les queues qui patinent devant les guichets des postes, ou sirotant calmement leurs cafés sur les terrasses ensoleillées. Oui, ils peuvent être fiers d’avoir bâti le rêve, d’avoir veillé sur ce pays ! Un pays qui ne leur offre même pas une retraite décente pour finir leurs jours tranquillement ! Si vous les rencontrez, embrassez-les sur le front. Ce sont des gens honnêtes, la graine d’une lignée d’arbres debout et fiers. Incorruptibles, ils furent les inlassables architectes de la fierté nationale. S’il reste des zones d’ombre dans le bilan de Boumediene et des questions qu’il faudra bien un jour éclaircir — toute œuvre humaine est imparfaite —, nous n’avons pas la prétention d’être objectif et refusons de l’être si c’est pour dénigrer l’époque la plus lumineuse de ce peuple ! C’est un travail d’historiens. Nous sommes des résistants, heureux de voir que Chavez et d’autres braves continuent l’œuvre de Boumediene sous d’autres cieux. C’est forcément un handicap et ce n’est pas du journalisme, tel que le conçoivent certains. On s’en fout. Nous tenons la promesse que nous avons faite en janvier 1979 : «Repose en paix Boumediene, nous poursuivrons ton œuvre !» La fidélité ne se négocie pas ! En ce jour où tous, la classe laborieuse, les pauvres, les sans-grades, se souviendront de Boumediene comme d’un homme qui a entendu leur cri et répondu à leur détresse, consacrant sa vie à réaliser leurs vœux les plus chers, nous avons voulu rappeler quelques vérités.

      Pèlerinage à Aïn-Hassaïnia

      Et nous les disons d’ici, de cette terre d’authenticité et d’espoir, là où le blé ne trahit jamais et où l’eau, bien que rare, est la plus limpide. Du hameau qui a vu naître ce grand, j’ai voulu témoigner, non pas en homme politique, ni en militant des droits de l’homme, ni en apôtre de la démocratie, mais en simple révolutionnaire ; c’est-à-dire en homme qui croit que les changements ne peuvent être produits que par la volonté des hommes libres, de ceux qui sont prêts à sacrifier leur vie pour les autres, de ceux qui ne rêvent pas de biens personnels, mais d’amour, de fraternité et de partage, dans un monde où l’injustice et l’inégalité ne seront plus les seules valeurs à diriger la marche de l’histoire ! En haut de la colline, la maison familiale, pratiquement en ruines, continue d’être cinglée par les mêmes vents qui s’engouffrent entre les parois escarpées. Ces vents sont porteurs des complaintes lointaines du pays chaoui lorsqu’ils surgissent, comme un beau cavalier de fantasia, de la plaine d’Aïn-Beida. Mais ils savent se parer aussi des charmes des forêts de petite Kabylie — d’où serait originaire l’homme —, lorsqu’ils arrivent par le nord, revigorés par les senteurs marines. La pluie ne s’arrête pas. Elle tombe, abondante, compacte, comme un immense rideau tiré en plein jour sur Aïn-Hassaïnia. Rassasiée, la terre ressemble à une femme enceinte. Celle qui attend d’avoir le plus bel enfant. Ce sera au printemps, celui-là ou l’autre, dans une ou dix années. Quand ce pays se réveillera pour gommer le désespoir, renvoyer les islamistes et leurs funestes projets vers leurs siècles, ressusciter les démocrates, rappeler aux nationalistes leur devoir de mémoire vis-à-vis de Boumediene ; quand ce nom là sera remis à sa place dans le panthéon de l’histoire et que les jeunes détruiront tous les canots pneumatiques pour casser la gueule au désespoir, alors, la terre, libérée du lourd fardeau de l’infidélité qui lui bloquait le ventre, enfantera sans douleur le plus beau des espoirs. Et le convoi militaire en fanfares s’ébranlera pour le plus beau des défilés, le 19 juin, jour férié malgré tous les reniements ! Puis, la démocratie, la vraie, pourra prendre possession de ces terres en fleurs, comme une vraie reine, pas comme une sorcière, déguisée et maquillée à la hâte, pour nous tromper et piller ce qui reste de nos biens.

      M. F.

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      • #4
        Quelques phrases célèbres

        * Au cours d’un entretien qu'il a eu avec un diplomate occidental à Alger, Boumediene lui tient ces propos : «Quand dans un pays sous-développé, quelqu’un bouge, on le liquide. On amuse la galerie en exhibant quelques scandales de la CIA. Mais en réalité, la Maison-Blanche, le Pentagone, la CIA, c’est la même chose. Dès qu’on remue, la CIA s’occupe de vous.»

        * Lors de la deuxième grande tournée de Henry Kissinger au Moyen-Orient en décembre 1973, ce dernier fit un passage par Alger avec l'intention de savoir si l’Algérie se classait dans le clan des irréductibles de Baghdad et Tripoli. Boumediene lui répondit en tête-à-tête par ces propos : «Je ne peux vous répondre que ce que j’ai déjà dit aux leaders de la Résistance palestinienne. L’Algérie ne pratique pas la surenchère. Elle ne peut qu’appuyer les décisions des Palestiniens. Exiger plus qu’eux, c’est de la démagogie ; moins, c’est de la trahison.»

        * Au cours d’une réunion de l'Organisation de la conférence islamique en février 1974 à Lahore (Pakistan), et alors qu’étaient présents tous les chefs d'Etat musulmans de la planète, Boumediene déclara : «Les hommes ne veulent pas aller au paradis le ventre creux, un peuple qui a faim n’a pas besoin d’écouter des versets. Je le dis avec toute la considération pour le Coran que j’ai appris à l’âge de dix ans. Les peuples qui ont faim ont besoin de pain, les peuples ignorants de savoir, les peuples malades d’hôpitaux. »

        * En recevant durant l'année 1975 le président tunisien Habib Bourguiba, Boumediene lui fit visiter le complexe sidérurgique d'El Hadjar (plus grand d’Afrique), qui est situé aux portes de la ville d'Annaba, visiblement très marqué par l'infrastructure et ses installations, le président tunisien dira à son hôte : «Quand même le colonialisme avait du bon ! Il vous a laissé beaucoup de choses.» Boumediene reprendra ironiquement : «Excusez-moi, Monsieur le Président, mais tout ce que vous voyez ici, les machines, les ouvriers, les cadres, le directeur, et même le ministre de l’Industrie sont une création du régime du 19 juin 1965.»

        Le Soir d'Algérie

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        • #5
          @ dtoz et dimawalou

          copié collé .... copié collé en criant que que bouydediene est grand .... aller vous faire foutre avec votre bouydediene et par la même occasion prenez la bande salopard qui ont pris le pouvoir et qui laisse crever de fain le peuple .....


          oui aller vous faire foutre ....

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          • #6
            copié collé .... copié collé en criant que que bouydediene est grand .... aller vous faire foutre avec votre bouydediene et par la même occasion prenez la bande salopard qui ont pris le pouvoir et qui laisse crever de fain le peuple .....
            ça fait partie de l'histoire pauvre bougre, pauvre ignorant... par ailleurs,si toi tu as l'habbitude de te faire foutre ne t'adresses pas en ces termes à ceux qui sont loin de te ressemlbler. moins que rien!
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            • #7
              un président raciste .... Idolâtré par une parti d'algérien.
              un président raciste .... qui espère voir tous les kabyles éliminé physiquement

              et demain vous aller nous créer une bibliothèque de copié collé qui idolâtreras boutetef and co .....



              aller sur ceux .... je te laisse toi et ton comparZe a vos copier coller .....

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              • #8
                Gloire aux visionnaires !
                Parler de Boumédiène comme étant un visionnaire n'a pas grand sens. Il a été même le contraire...
                Hormis la nationalisation des hydro carbures, je ne vois absolument rien de positif au régime de Boumédiene.
                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                • #9
                  «Le pire qui puisse nous arriver est que la bourgeoisie réactionnaire prenne le pouvoir. Elle tentera de vous enlever vos terres. Résistez et sortez les fusils s’il le faut ! Elle essayera de tout prendre aux ouvriers et de casser toutes les réalisations de la révolution. Aidée par l’impérialisme, elle tentera de supprimer toutes les traces de dignité pour que le khemmas redevienne khemmas et que Kaddour et Amar prennent les places de Claude et Pierre…» HOUARI BOUMEDDIENE
                  c'est arrivé ; on fait quoi?????
                  "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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                  • #10
                    [QUOTE][un président raciste .... Idolâtré par une parti d'algérien.
                    un président raciste .... qui espère voir tous les kabyles éliminé physiquement

                    et demain vous aller nous créer une bibliothèque de copié collé qui idolâtreras boutetef and co ..... /QUOTE]

                    Halte à la désinformation et à l'intox les evènements de juin 2001 que tout le monde désaprouve qui nous sont montrés sur la vidéo, n'ont rien à voir avec Boumeddiène qui est décédé 23 ans plutôt .Quant à le taxer de raciste ou d'anti kabyle, c'est trop enfantin pour mériter une réponse.
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                    • #11
                      The Life of Boumediene - 1

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                      • #12
                        The Life of Boumediene - 2

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                        • #13
                          The Life of Boumediene - 3

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                          • #14
                            The Life of Boumediene - 4 - END

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                            • #15
                              Gloire aux visionnaires !
                              Les visionnaires qui ont fait de vous des aveugles!...
                              Les conséquences du fameux sursaut révolutionnaire boumèdienniste se font sentir jusqu'à aujourd'hui! Lorsque, de la culture de la démocratie, il a passé l'Algérie à la culture de la force!... La dernière en date est celle qui consiste à condamner un colonel de l'armée à 18 mois de prison avec sursis alors qu'il a provoqué la mort d'un Algérien qui ne s'est pas couché devant lui!
                              "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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