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Boum, toujours vivant dans nos cœurs ! (1)
Dans quelques jours, l’Algérie des révolutionnaires, de ceux que l’argent n’a pas changés, de ceux qui se tiennent toujours aux côtés des démunis et des sans-emploi, de ceux qui pleurent en voyant femmes et bébés dans les rues, de ceux qui ne cesseront jamais de dénoncer le bradage des unités réalisées grâce au sang et à la sueur des braves, ainsi que des hôtels et de toutes les infrastructures publiques «données» aux copains, de ceux qui continuent de rêver d’une Algérie fidèle aux principes de la Révolution, digne, forte et égalitaire ; cette Algérie-là sera au rendez-vous de l’histoire pour commémorer la mort du président Boumediene. Celui qu’aucun historien n’a osé qualifier de «dictateur» !
Pourtant, c’est bien après sa mort, et en Algérie même, que des écrivaillons — souvent des élèves de l’école performante et gratuite des années 70 — en parlent comme d’un «sanguinaire»… farahmaamar@ymail.com
«Certains citadins se plaignent de l’absence de beurre dans les magasins, ces jours-ci ! Savent-ils que, dans les montagnes, d’autres Algériens n’ont que des glands à manger et de l’eau des mares à boire ?»
Houari Boumediene (discours de Saïda ) Le Soir
Boum, toujours vivant dans nos cœurs ! (1)
Dans quelques jours, l’Algérie des révolutionnaires, de ceux que l’argent n’a pas changés, de ceux qui se tiennent toujours aux côtés des démunis et des sans-emploi, de ceux qui pleurent en voyant femmes et bébés dans les rues, de ceux qui ne cesseront jamais de dénoncer le bradage des unités réalisées grâce au sang et à la sueur des braves, ainsi que des hôtels et de toutes les infrastructures publiques «données» aux copains, de ceux qui continuent de rêver d’une Algérie fidèle aux principes de la Révolution, digne, forte et égalitaire ; cette Algérie-là sera au rendez-vous de l’histoire pour commémorer la mort du président Boumediene. Celui qu’aucun historien n’a osé qualifier de «dictateur» !
Pourtant, c’est bien après sa mort, et en Algérie même, que des écrivaillons — souvent des élèves de l’école performante et gratuite des années 70 — en parlent comme d’un «sanguinaire»… farahmaamar@ymail.com
«Certains citadins se plaignent de l’absence de beurre dans les magasins, ces jours-ci ! Savent-ils que, dans les montagnes, d’autres Algériens n’ont que des glands à manger et de l’eau des mares à boire ?»
Houari Boumediene (discours de Saïda ) Le Soir
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