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Ma vie à contre-Coran, Djamila Benhabib

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  • #31
    Je lirai le bouquin pour me faire une idée. C'est le seul moyen

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    • #32
      je l'ai entendue a la tv ici, elle me dégoute comment elle parle des femmes voilées, la façon dont elle expose sa vie en Algerie ont croirait que c'etait la plus misérable du monde, tres bonne pour faire des mises en scènes dignes de film d'horreur... le probleme c'est qu'elle porte préjudice aux musulmans, une vraie manipulatrice
      Dernière modification par absente, 24 octobre 2009, 23h57.

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      • #33
        @Lenasia,

        J'ai lu des compte-rendus "sérieux" du livre dans la presse française et anglophone, il apparaît que la dame ne s'attaque pas seulement à l'Islam politique (?!), mais au voile et s'insurge que les personnes qui ont font la promotion soient autorisées à le faire dans les pays laïques...Bref, une apologie de la censure sous couvert de paranoïa démocratique....
        Voilà la conclusion d'un article consacré à ce livre par Caroline Fourest:
        Djemila Benhabib se souvient du 25 mars 1994, dernier jour de l'ultimatum du GIA "ordonnant aux femmes de porter le hidjab" : "Quitter la maison devenait une expédition. A chaque recoin, la mort guettait les têtes nues." Des filles ayant osé sortir sans voile sont assassinées sur le chemin de l'école ou de l'université. La famille Benhabib reçoit des menaces quotidiennes. Il est temps de s'exiler. Mais le cauchemar n'est pas terminé.

        En Europe, les Algériens laïques retrouvent leurs bourreaux. Les islamistes pourchassés par l'armée n'ont eu aucun mal à obtenir le statut de réfugiés. Les ambassadeurs des Frères musulmans monopolisent les médias et vantent le choix du voile. Dans certains quartiers de France, la "réforme" fondamentaliste voulue par Hassan Al-Banna et le FIS parvient à faire passer les musulmans modernes ou non pratiquants pour des traîtres "occidentalisés".

        Djemila Benhabib ne supporte plus de voir leur propagande tolérée au nom du multiculturalisme. Son livre est un avertissement : "Toute indulgence envers cette idéologie de mort n'est pas seulement une grave erreur de principe, c'est une trahison."
        En substance, toutes les personnes qui rappellent cette obligation sont assimilées à des sympathisants du GIA et des militants du FIS....

        Plus généralement, le grand défaut de ces livres de témoignage, c'est leur carence analytique..
        .La ligne de partage entre un musulman moderne qui serait non-pratiquant et un musulman archaïque qui serait pratiquant ignore les textes fondateurs de l'islam, c'est-à-dire qui fondent les lignes de partage. On préfère leur substituer de nouvelles grilles de lecture et de distribution qui s'inspireraient exclusivement des sociologies particulières...
        Dernière modification par Dandy, 25 octobre 2009, 00h47.

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        • #34
          Apparemment, elle ne boit pas que du Selecto, elle a du sang grec dans ses veines.










          Djamila Benhabib
          Un livre-réquisitoire contre l’intégrisme religieux

          Djamila Benhabib est née à Kharkov en Ukraine, de mère chypriote grecque et de père algérien. Elle a vécu en URSS, à Chypre, en Algérie où elle a fait l’essentiel de ses études à Oran et en France pour ses études universitaires.

          Elle a exercé comme journaliste au quotidien El Watan. Depuis la fin des année 90, elle s’est installée au Canada. Son livre, un essai au vitriol sur les pratiques oliscurantistes, est paru en mars 2009 dans la collection “Partis pris actuels” chez VLB, éditeur du Québec (Canada). Sur les 240 pages de l’ouvrage intitulé : “Ma vie a contre-Coran, une femme témoignage sur les islamistes”, l’auteur dresse un réquisitoire sans concession, mettant dans l’œil du cyclone les errements et les méfaits de l’idéologie intégriste. “On ne frôle pas une dictature sans être un peu, sinon beaucoup, transformée, et pour toujours”, lance Djamila, dont le péché véniel est d’être “femme, féministe et laïque”.
          Avec une détermination trempée dans l’acier, elle revient un peu plus loin à la charge: “Je n’étais pas venue au monde ni pour baisser les yeux ni pour courber la tête. L’adversité ne me fait pas peur. Lorsque je tombais, je me relevais...”.
          Djamila Benhabib met en épingle les atteintes infligées aux femmes d’Algérie et d’ailleurs par les tenants du “fascisme vert” et évoque son propre martyre : “La terreur islamiste, je l'ai subie.
          Il n’y a pas de mots pour la décrire. Cette terreur là, elle m’habitait jour et nuit, voulait s’imposer entre la vie et moi, érigeant des murs de laideur”, écrit-t-elle en page 11. L’auteur qui prône la mobilisation contre les intégristes religieux, s’interroge : “Les musulmans sont-ils condamnés à reproduire des coutumes barbares, tels l’esclavage, la loi du talion, la crucifixion, la lapidation et la flagellation qui étaient encore en vigueur dans la société tribale de l’Arabie du VIIe siècle ?”.


          La Dépêche de Kabylie.
          Dernière modification par sako, 25 octobre 2009, 02h22.

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          • #35
            Je ne connais pas cette femme, non plus la journaliste, moins l'écrivaine...

            Comme tous mes compatriotes, je peux dire peut-être subjectivement que la dame se veut refaire une belle vie paisible et plus aisée que possible en écrivant son livre...
            Un écrivain engagé l'est toute sa vie ...

            Cette femme aparrement a joué le jeu du pouvoir en bossant des années durant dans le journal "El Watan" l'un des bébés des mains gouvernantes...

            J'aurai aimé qu'elle l'écrive pendant cette periode-là et en étant sur le terrain ...

            Maintenant, même moi qui est loin maintenant, je peux écrire des gribouillis et j'en suis sûre que ça fera un Best-seller surtout, si je me mettrai à balancer sur les rapports familiaux algériens, conjugaux ou même sur l'égalité des chances aux travail, sur
            les conjoints-collègues, sur le combat des maitres, profs qui sont mutés dans le fin fond de l'Algerie pour enseigner dans des écoles où les seuls voisins qu'ils connaissent sont ces barbus-barbares qu'ils ont nommés "térroristes" ...Je parlerai des médias durant cette periode qui nous foutaient la trouille jusqu'à faire pipi sur nous,à chaque flash -infos...je pourrai aussi parler de nos propres enfants pour lesquels on a aménagé une cachette secrète si jamais on venait à nous attaquer tard la nuit ...Mais en fait dormions-nous!
            Et puis un témoignage véridique mieux vaut qu'une insulte poétique et surtout un faux témoignage ...
            Dernière modification par Olive., 25 octobre 2009, 12h05.

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            • #36
              le probleme c'est qu'elle porte préjudice aux musulmans, une vraie manipulatrice
              ça fait vendre voyant

              diabolisé les musulmans est devenu une arme de gloire et de célébrité , y'a pas mieux pour se mettre au devant de la scène médiatique ...
              "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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              • #37
                Apparemment, elle ne boit pas que du Selecto, elle a du sang grec dans ses veines.
                Si ce n'est que ca, tu serais étonné du nombre d'Algerien qui ont du sang grecm Chipriote, Montenegrain, Serbe, Albanais, Slave... Au fait, tous les Kourouglis peuvent se targuer d'etre porteurs de ce sang !

                P.S. Il me semble que je ne suis pas moins Algerien que vous et je ne bois pas que du Selectonon plus, comme des millions d'autres Algeriens !
                Dernière modification par emyou, 25 octobre 2009, 16h44.
                Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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                • #38
                  Si ce n'est que ca, tu serais étonné du nombre d'Algerien qui ont du sang grecm Chipriote, Montenegrain, Serbe, Albanais, Slave... Au fait, tous les Kourouglis peuvent se targuer d'etre porteurs de ce sang !
                  A la différence, ces Koulouglis ne tirent pas à boulets rouges sur l’Islam à partir de Montréal une fois le permis de séjours en Poche.
                  Afficher un Titre aussi racoleur et provocateur, et prétendre quelques pages plus loin qu’elle ne vise pas l’Islam relève d’une malhonnêteté intellectuelle.

                  La réalité est qu’elle n’a pas le courage d’aller au bout son raisonnement. Ce qui l’embêtait vraiment c’est de ne pouvoir vivre en Algérie avec ce qu’elle considère comme des « traditions fascisantes» de l’islam. Je crois que son enfance vécue en Grèce est y pour quelque chose.

                  Djamila benhabib fait partie de la clique à Sifaoui qui ne sait sur quel pied danser. Rejetée par les siens, elle sera accueillie les bras ouverts en occident pour donner du grain à moudre aux cercles islamophobes.

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                  • #39
                    Une Seule Chose A Dire que Dieu Lui Pardonne Ses Offenses Et Son Combat Contre L Islam Je Pense Qu Elle Peux Toujours Se Repentir et Demander Pardon A Allah Avant Que La Mort L Emporte ..nous Devons Tous Faire De Meme Car La Mort Nous Guette A Tout Instant Et Seul Le Tres Haut Peut Nous Pardonner Ou Nous Damner

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