Avez vous remarqué dans l’existence
Que les couples ne sont pas assortis
Car bien souvent si la dame est immense
En général le monsieur est petit
La femme à barbe épouse l’homme imberbe
Le gros la maigre et la maigre le gras
Le doucereux adore la femme acerbe
Quoique l’on dise moi je ne comprends pas ça
Car pour s’aimer c’est très curieux
Il n’y a pas de juste milieu
Je n’ai jamais compris l’amour
Il est souvent aveugle et sourd
Pas besoin de discours
On y revient toujours
Je n’ai jamais compris l’amour
Approuvez vous tous ces chats de gouttière
Qui pour l’amour se courent après en miaulant
Si on faisait comme eux des heures entières
On trouverait que c’est trop fatigant
Et pour les chiens croyez vous que c’est bizarre
Même dans la rue sous le nez des passants
Pour le taureau c’est encore plus barbare
C’est un peu vache je vous le dis en passant
Taureau la vache, le chat le chien
Moi je trouve que ce n’est pas bien
Je n’ai jamais compris l’amour
Il est souvent aveugle et sourd
Pas besoin de discours
On y revient toujours
Je n’ai jamais compris l’amour
Fernandel dans Le schpountz
Que les couples ne sont pas assortis
Car bien souvent si la dame est immense
En général le monsieur est petit
La femme à barbe épouse l’homme imberbe
Le gros la maigre et la maigre le gras
Le doucereux adore la femme acerbe
Quoique l’on dise moi je ne comprends pas ça
Car pour s’aimer c’est très curieux
Il n’y a pas de juste milieu
Je n’ai jamais compris l’amour
Il est souvent aveugle et sourd
Pas besoin de discours
On y revient toujours
Je n’ai jamais compris l’amour
Approuvez vous tous ces chats de gouttière
Qui pour l’amour se courent après en miaulant
Si on faisait comme eux des heures entières
On trouverait que c’est trop fatigant
Et pour les chiens croyez vous que c’est bizarre
Même dans la rue sous le nez des passants
Pour le taureau c’est encore plus barbare
C’est un peu vache je vous le dis en passant
Taureau la vache, le chat le chien
Moi je trouve que ce n’est pas bien
Je n’ai jamais compris l’amour
Il est souvent aveugle et sourd
Pas besoin de discours
On y revient toujours
Je n’ai jamais compris l’amour
Fernandel dans Le schpountz
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