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Il était une fois une jeune fille appelée May. Souffrant de strabisme, la pauvre fille était la risée de tout le monde. Elle n'avait qu'une seule amie, une poupée que lui a donnée sa maman et avec laquelle elle aimait discuter de temps en temps.
Devenue adulte, May reçut des lentilles de contact corrigeant son strabisme, elle prit donc confiance en elle et partit à la recherche de l'amour. Elle rencontra d'abord son séduisant voisin qui travaillait comme mécanicien, mais fût vite déçue par l'incompréhension de celui-ci. Ainsi, après le poids d'une longue solitude, May connût la douleur de la rupture, et décida de se "fabriquer" un amant...
Vous l'aurez compris, May est un film d'horreur situé quelque part entre Carrie et Frankenstein, mais l'horreur n'est que l'effet du drame que vit May et elle n'est pas mise au premier plan (mais il faut dire que certaines scènes sont d'un réalisme terrifiant). Le film se distingue par une prestation exemplaire de l'actrice principale. Sa maladresse très touchante, ses pleures douleureuses et la violence imprévisible de ses actes risquent de vous bouleverser.
Devenue adulte, May reçut des lentilles de contact corrigeant son strabisme, elle prit donc confiance en elle et partit à la recherche de l'amour. Elle rencontra d'abord son séduisant voisin qui travaillait comme mécanicien, mais fût vite déçue par l'incompréhension de celui-ci. Ainsi, après le poids d'une longue solitude, May connût la douleur de la rupture, et décida de se "fabriquer" un amant...
Vous l'aurez compris, May est un film d'horreur situé quelque part entre Carrie et Frankenstein, mais l'horreur n'est que l'effet du drame que vit May et elle n'est pas mise au premier plan (mais il faut dire que certaines scènes sont d'un réalisme terrifiant). Le film se distingue par une prestation exemplaire de l'actrice principale. Sa maladresse très touchante, ses pleures douleureuses et la violence imprévisible de ses actes risquent de vous bouleverser.