Voici une chanson de Brahim Tayeb(chanteur kabyle) en duo avec sa femme je pense, un dialogue en kabyle et français, mais je n'ai pu partage avec vous que celui de français (la voix de la femme), excusez moi si j'ai fais des erreurs, je l'ai écrit en l'écoutent
A deux:
Ils s'aiment dans les tréfonds de l'absence, se murmurent toutes les notes de silence, voyagent d'exile en exile, traversent les horloges et s'éternisent dans les brèves fraction temporelles.
Lui (en kabyle)
Elle :
Je repose sur l'étendu de ton regard, ton regard contient mon ombre et ses cendres.
A l'approche de ta flamme je deviens comète et dans notre nuit séculaire je prie pour l'extinction universelle.
Comme tu me ressembles les sables mouvants et mes désirs, ta vague reprend son chemin comme les paupières rebroussent ton regard, l'hiver mélodieux danse au gré de mes funérailles chant de tous les silences.
Je suis la bas justement la bas, la ou le regard se passe de la vue.
Je te pressens à chaque mouvement de l'univers à chaque voyage des dunes, tu dénudes les printemps et t'habilles de leur verdure.
Je devine ta main cueillant la braise de mon arbre incinéré pour un baiser vermeil en fond de nos flammes.
Je me pressens dans une poésie qui mettra a terme.
Nous deux et puis rien soubresaut au coma et nous écumons l'univers de nos sueurs lactescentes nos baisers à l'hydromel et l'immensité bleue passant outre et murmurant notre longue nuit épileptique.
Et je rennais de ton étreinte dépourvue de mon corps évanouie dans une multitude d'ivresse.
Le printemps pourrait alors se réécrire entre les lignes hivernales ou sur la marge estivale et l'automne pourrait assassiner autant de feuilles qu'il voudra.
Nous prendrons le train funambule et le temps de rien nous nous envolerons jusqu'aux cimes nous froisserons les nuages au dessus des verdures déteintes pour que ces sorts les rêvent.
A deux:
Ils s'aiment dans les tréfonds de l'absence, se murmurent toutes les notes de silence, voyagent d'exile en exile, traversent les horloges et s'éternisent dans les brèves fraction temporelles.
Lui (en kabyle)
Elle :
Je repose sur l'étendu de ton regard, ton regard contient mon ombre et ses cendres.
A l'approche de ta flamme je deviens comète et dans notre nuit séculaire je prie pour l'extinction universelle.
Comme tu me ressembles les sables mouvants et mes désirs, ta vague reprend son chemin comme les paupières rebroussent ton regard, l'hiver mélodieux danse au gré de mes funérailles chant de tous les silences.
Je suis la bas justement la bas, la ou le regard se passe de la vue.
Je te pressens à chaque mouvement de l'univers à chaque voyage des dunes, tu dénudes les printemps et t'habilles de leur verdure.
Je devine ta main cueillant la braise de mon arbre incinéré pour un baiser vermeil en fond de nos flammes.
Je me pressens dans une poésie qui mettra a terme.
Nous deux et puis rien soubresaut au coma et nous écumons l'univers de nos sueurs lactescentes nos baisers à l'hydromel et l'immensité bleue passant outre et murmurant notre longue nuit épileptique.
Et je rennais de ton étreinte dépourvue de mon corps évanouie dans une multitude d'ivresse.
Le printemps pourrait alors se réécrire entre les lignes hivernales ou sur la marge estivale et l'automne pourrait assassiner autant de feuilles qu'il voudra.
Nous prendrons le train funambule et le temps de rien nous nous envolerons jusqu'aux cimes nous froisserons les nuages au dessus des verdures déteintes pour que ces sorts les rêvent.
Commentaire