Une vidéo qui contient de larges extraits de "Les Mille et une Mains", le premier film du cinéaste marocain Souheil Ben Barka.
Film complet:https://www.youtube.com/watch?v=LTjSXZz2opM
Mise en scène: Souheil Ben Barka
Scénario: Ahmed Badry
Montage : Souhel Agnaou
Musique : Tahar Abou
Image : Girolamo La Rosa
Producteur exécutif: Moulay A. Badry
Distribution
Abdou Cheibane : Moha
Mimsy Farmer : Nadine
Aïssa Elghazi
Prix obtenus par le film:
1972 – Le Grand Prix (Cèdre d'Or) – Festival international du film de Beyrouth
1973 – Le Grand Prix (Etalon d'Or de Yennenga) – FESPACO – Ouagadougo
1974 – Le Prix de la Critique – Festival International de Moscou
1974 – Le Prix Georges Sadoul – Paris
Souheil Ben Barka: «Pour ce qui est de la couleur (...), j’ai vraiment cherché à la rendre aussi fonctionnelle que possible. C’était délicat car il y avait une opposition entre la réalité extérieure qui est très colorée et la réalité intérieure qui, elle, est loin de l’être... Tout le film d’ailleurs est construit sur cette opposition que symbolise le tapis : c’est une très belle pièce d’ameublement mais sa confection est fondée sur l’exploitation effrénée des travailleurs. Il fallait qu’au niveau formel aussi cet antagonisme transparaisse... D’autre part, je fais un cinéma qui repose essentiellement sur l’image. Il y a peu de dialogues dans le film. C’est délibéré. J’aime ce cinéma qui refuse un recours abusif à la parole». Maghreb des Films
Film complet:https://www.youtube.com/watch?v=LTjSXZz2opM
Mise en scène: Souheil Ben Barka
Scénario: Ahmed Badry
Montage : Souhel Agnaou
Musique : Tahar Abou
Image : Girolamo La Rosa
Producteur exécutif: Moulay A. Badry
Distribution
Abdou Cheibane : Moha
Mimsy Farmer : Nadine
Aïssa Elghazi
Prix obtenus par le film:
1972 – Le Grand Prix (Cèdre d'Or) – Festival international du film de Beyrouth
1973 – Le Grand Prix (Etalon d'Or de Yennenga) – FESPACO – Ouagadougo
1974 – Le Prix de la Critique – Festival International de Moscou
1974 – Le Prix Georges Sadoul – Paris
Souheil Ben Barka: «Pour ce qui est de la couleur (...), j’ai vraiment cherché à la rendre aussi fonctionnelle que possible. C’était délicat car il y avait une opposition entre la réalité extérieure qui est très colorée et la réalité intérieure qui, elle, est loin de l’être... Tout le film d’ailleurs est construit sur cette opposition que symbolise le tapis : c’est une très belle pièce d’ameublement mais sa confection est fondée sur l’exploitation effrénée des travailleurs. Il fallait qu’au niveau formel aussi cet antagonisme transparaisse... D’autre part, je fais un cinéma qui repose essentiellement sur l’image. Il y a peu de dialogues dans le film. C’est délibéré. J’aime ce cinéma qui refuse un recours abusif à la parole». Maghreb des Films