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17, rue bleue, un film de Chad Chenouga 2001
Retraçant le parcours douloureux de deux frères et de leur mère, jeune et ravissante Algérienne de l'Est, arrivée clandestinement en France pendant la révolution algérienne, 17, rue Bleue, de Chad Chenouga, est un film autobiographique, un véritable témoignage sur la question de l’intégration de la communauté algérienne en France.
Émigrée en France, Hadda, au milieu des années 60, s'installe avec ses deux fils, au 17, rue Bleue, en plein coeur de Paris. Leur logement appartient à M. Merlin, un fabricant de produits pharmaceutiques. Hadda entretien en secret une liaison intime avec ce dernier qui est marié. Il pourvoie confortablement à ses besoins et c'est de leur relation que naît le deuxième fils d'Hadda. Sa vie bascule à la mort de son amant, suite à une crise cardiaque.
Une légende algérienne dit que ceux qui, comme son fils aîné, ont un grain de beauté dans la paume des deux mains croiseront un jour un trésor sur leur chemin, Hadda veut y croire et entame une procédure judiciaire pour obtenir la reconnaissance de ses fils comme issus de sa relation avec le défunt et, partant, légataires universels de ce dernier.
La trame de 17, rue Bleue est le retentissant cri d’amour d’une petite famille broyée dans les engrenages de la société contemporaine. Le cri d'une mémoire d’émigré qui n’en finit pas de compter ses damnés. Un hymne à la tolérance…
Retraçant le parcours douloureux de deux frères et de leur mère, jeune et ravissante Algérienne de l'Est, arrivée clandestinement en France pendant la révolution algérienne, 17, rue Bleue, de Chad Chenouga, est un film autobiographique, un véritable témoignage sur la question de l’intégration de la communauté algérienne en France.
Émigrée en France, Hadda, au milieu des années 60, s'installe avec ses deux fils, au 17, rue Bleue, en plein coeur de Paris. Leur logement appartient à M. Merlin, un fabricant de produits pharmaceutiques. Hadda entretien en secret une liaison intime avec ce dernier qui est marié. Il pourvoie confortablement à ses besoins et c'est de leur relation que naît le deuxième fils d'Hadda. Sa vie bascule à la mort de son amant, suite à une crise cardiaque.
Une légende algérienne dit que ceux qui, comme son fils aîné, ont un grain de beauté dans la paume des deux mains croiseront un jour un trésor sur leur chemin, Hadda veut y croire et entame une procédure judiciaire pour obtenir la reconnaissance de ses fils comme issus de sa relation avec le défunt et, partant, légataires universels de ce dernier.
La trame de 17, rue Bleue est le retentissant cri d’amour d’une petite famille broyée dans les engrenages de la société contemporaine. Le cri d'une mémoire d’émigré qui n’en finit pas de compter ses damnés. Un hymne à la tolérance…