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J'aime ces films qui traitent de societé et dont le theme ses diff phenomes et fleaux, notament ceux qui sont d'actualité....Un MOYEN de sensibilisation et de prevention.
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Le réalisateur Roshd Djigouadi a entamé, le 16 février dernier, le tournage de son film, Des ailes brisées.
Ce long métrage de fiction sera produit par Mycène Production. Le tournage de cette œuvre cinématographique durera près de huit semaines.
Concernant maintenant le sujet abordé, le film traite de l’enfance en détresse. Ce thème, qui est d’ailleurs d’une actualité brûlante, relate l’histoire de Mehdi, un gamin de douze ans. A l’âge où les enfants passent leur temps à rêver, Mehdi, lui, pense de quoi sera fait l’instant qui suit. Abandonné à son sort, Mehdi traîne “la patte” suivi de son destin malheureux. Pour en savoir plus sur ce film qui verra le jour au mois de novembre prochain, il suffit de lire le synopsis, écrit par le chanteur Moh KG2. “Il (Mehdi) vit avec son père adoptif Amo, de la récupération d’ordures, dans un bidonville attenant à une décharge, dans la périphérie d’Alger. Mais la santé de Amo périclite. Mehdi décide de le sortir de ce cloaque. Avec ses économies, faites grâce à la vente d’objets en plastique, dans la décharge, il monte une table de vendeur de cigarettes en ville en espérant pouvoir payer le loyer d’une chambre. Mais les choses ne se passent pas facilement et Mehdi se fait agresser par un “racketteur”, Farid Fifty, et son acolyte El Far. De retour à la décharge, Mehdi trouve Amo décédé. Il décide de retourner en ville pour se venger de ses agresseurs et commet un homicide involontaire sur la personne de Farid Fifty... Mais tout laisse supposer que c’est un meurtre avec préméditation. La trame de cette œuvre de fiction, comme on peut le remarquer à travers la lecture du résumé, est passionnante. Cela suppose également que le film connaîtra un succès. Il est vrai qu’on ne peut pas en juger avant de voir le film, mais lorsqu’on sait que les rôles seront campés par un certain Sid-Ali Kouiret, Rachid Farès, Moh KG2, Dris Chegrouni, Abdenour Chelouch ou encore une certaine Aïda Guechoud, on ne peut que parier sur son succès. Il est bon de noter, au passage, que le décor sera signé par l’artiste peintre et non moins décorateur Arezki Larbi. Celui-ci, faut-il le rappeler, a un CV assez lourd. Selon certains critiques de cinéma, c’est la première fois en Algérie qu’un film traitant de ce thème sera réalisé. Aussi, c’est la première qu’un enfant de douze ans campe le rôle principal. Mais comment est venue l’idée de faire un film pareil, ou plutôt d’aborder un sujet doté d’une pareille sensibilité ? En ce sens, Roshd Djigouadi déclare que tout a commencé en 1995, lorsqu’il a fait un reportage télévisuel dans la décharge publique de Oued Semmar. C’est en effet cette expérience qui l’a marqué peutêtre à vie. Laissons le réalisateur poursuivre : “Je contactais Moh KG2 afin de coécrire un scénario concernant l’enfance en danger. Ce projet de film en cours de production, intitulé Des ailes brisées, est né afin d’imaginer une “échappée solitaire”, celle d’un enfant des rues qui déciderait de s’en sortir dans la jungle urbaine en devenant vendeur de cigarettes”. Gardez bien donc en tête le titre du film : Des ailes brisées. La sortie est prévue, il faut bien le rappeler, pour le 15 novembre prochain.
- Le Soir
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Le réalisateur Roshd Djigouadi a entamé, le 16 février dernier, le tournage de son film, Des ailes brisées.
Ce long métrage de fiction sera produit par Mycène Production. Le tournage de cette œuvre cinématographique durera près de huit semaines.
Concernant maintenant le sujet abordé, le film traite de l’enfance en détresse. Ce thème, qui est d’ailleurs d’une actualité brûlante, relate l’histoire de Mehdi, un gamin de douze ans. A l’âge où les enfants passent leur temps à rêver, Mehdi, lui, pense de quoi sera fait l’instant qui suit. Abandonné à son sort, Mehdi traîne “la patte” suivi de son destin malheureux. Pour en savoir plus sur ce film qui verra le jour au mois de novembre prochain, il suffit de lire le synopsis, écrit par le chanteur Moh KG2. “Il (Mehdi) vit avec son père adoptif Amo, de la récupération d’ordures, dans un bidonville attenant à une décharge, dans la périphérie d’Alger. Mais la santé de Amo périclite. Mehdi décide de le sortir de ce cloaque. Avec ses économies, faites grâce à la vente d’objets en plastique, dans la décharge, il monte une table de vendeur de cigarettes en ville en espérant pouvoir payer le loyer d’une chambre. Mais les choses ne se passent pas facilement et Mehdi se fait agresser par un “racketteur”, Farid Fifty, et son acolyte El Far. De retour à la décharge, Mehdi trouve Amo décédé. Il décide de retourner en ville pour se venger de ses agresseurs et commet un homicide involontaire sur la personne de Farid Fifty... Mais tout laisse supposer que c’est un meurtre avec préméditation. La trame de cette œuvre de fiction, comme on peut le remarquer à travers la lecture du résumé, est passionnante. Cela suppose également que le film connaîtra un succès. Il est vrai qu’on ne peut pas en juger avant de voir le film, mais lorsqu’on sait que les rôles seront campés par un certain Sid-Ali Kouiret, Rachid Farès, Moh KG2, Dris Chegrouni, Abdenour Chelouch ou encore une certaine Aïda Guechoud, on ne peut que parier sur son succès. Il est bon de noter, au passage, que le décor sera signé par l’artiste peintre et non moins décorateur Arezki Larbi. Celui-ci, faut-il le rappeler, a un CV assez lourd. Selon certains critiques de cinéma, c’est la première fois en Algérie qu’un film traitant de ce thème sera réalisé. Aussi, c’est la première qu’un enfant de douze ans campe le rôle principal. Mais comment est venue l’idée de faire un film pareil, ou plutôt d’aborder un sujet doté d’une pareille sensibilité ? En ce sens, Roshd Djigouadi déclare que tout a commencé en 1995, lorsqu’il a fait un reportage télévisuel dans la décharge publique de Oued Semmar. C’est en effet cette expérience qui l’a marqué peutêtre à vie. Laissons le réalisateur poursuivre : “Je contactais Moh KG2 afin de coécrire un scénario concernant l’enfance en danger. Ce projet de film en cours de production, intitulé Des ailes brisées, est né afin d’imaginer une “échappée solitaire”, celle d’un enfant des rues qui déciderait de s’en sortir dans la jungle urbaine en devenant vendeur de cigarettes”. Gardez bien donc en tête le titre du film : Des ailes brisées. La sortie est prévue, il faut bien le rappeler, pour le 15 novembre prochain.
- Le Soir