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Le sable vert - Le paradis du désert algérien (Doc. Al Jazeera)
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es salamou alikoum ya nass
Je l'écrivais ici et beaucoup m'avaient dit que j'étais chauvin, c'est le désert, y a pas d'eau, il ne poussera rien: les régions de Biskra et d'El oued peuvent nourrir en tout toute l'Algérie et exporter.
Ce sont des gens très bosseurs et la jeunesse y est dynamique et il ne manque pas de terrain.
C'est incroyable à Oued Souf, à la place des dunes on fait des terres oû poussent les meilleures pommes de terre et les arachides.
gracias ShadockDernière modification par Bachi, 24 juillet 2016, 20h08.ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
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...Et bonus pour l'état , ni Ardis, ni carrefour, ni uno, encore moins de revendications, les gens bossent sous un soleil de plomb quand le reste de la populace se dorait sur les plages. Les plus chanceux prennent des selfies a Istambul, Malaysia...etc
Aaaakhdem a ta3ess lerragued enna3essأصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء
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respects à El-jazeera, Nous ne somme même pas capable de produire un petit documentaire du genre.
il suffi de voir les exigence des cahier charge de audiovisuel sur les chaîne TV locale pour bien conclure que le film documentaire n’existe plus en Algériedz(0000/1111)dz
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Le documentaire, ce déshérité des chaînes arabes
Dans le cadre des premières journées cinématographiques d’Alger, l’association a nous les écrans a organisé avant-hier une conférence-débat autour du thème : «La situation du documentaire dans le monde arabe». Cette conférence à travers laquelle plusieurs réalisateurs et producteurs étrangers ont pris part a abordé le ce genre cinématographique sur ses différentes facettes dans le monde arabe. Le premier intervenant Montasser Marai, producteur et réalisateur jordanien, a soulevé dans sa communication que malheureusement le documentaire «n’a pas sa place dans les chaines arabes». Pour ce conférencier, qui travail actuellement à la chaine documentaire Al djazeera au Qatar, souligne que «cette chaine est la seule consacré au documentaire dans le monde arabe». Il a joute que si les autres «télévisions généralistes arabes acceptent de diffuser des documentaire, elles le font néanmoins dans des tranches horaires inconvénients, tardive. Le choix de ces documentaires également n’est pas judicieux puisque ils ne traitent que d’animaux ou de tourisme. Sur le plan pécuniaire, le conférencier souligne que ce genre cinématographie «ne fait pas nourri, et c’est pour cela que souvent les réalisateurs se tournent vers la fiction ou les clips pour vivre». Dans le même sillage, le second intervenant, Nizar Hassan, réalisateur et producteur Palestinien, souligne que la situation du documentaire dans le monde arabe est désastreuse et qu’il est en souffrance et cela est dû «à la non reconnaissance des gouvernement arabes qui malheureusement estime que ce genre cinématographique un mode d’expression politique».
Cette conférence a, non seulement, éclairé sur la situation du documentaire mais également sur les différents problèmes auxquels font face les réalisateurs et les producteurs.Ainsi, beaucoup de chaînes arabes n’offrent pas au documentaire la place qui lui est due. Les cinéastes ne manquent pas de créativité, mais ils ont besoin de l’accompagnement des chaînes pour pouvoir l’exprimer. Cependant, il est encore permis de croire en l’avenir du documentaire.Le documentaire de création est une nouveauté dans le paysage audiovisuel arabe. Le film dit «documentaire » est souvent considéré comme un sous-produit, alors qu’il doit également s’agir de films d’auteur.
Il faut mettre en place des programmes, événements autour de ces films, ne pas se limiter à leur simple diffusion. Il y a une volonté de la part de certaines chaînes, mais il faut aller plus loin, créer de vraies rencontres.
Car il est plus que jamais nécessaire de créer une dynamique de production. Et pour le faire il faudra au préalable poser les questions les plus pertinentes à savoir : Quel est le problème aujourd’hui ? D’abord le niveau de qualité des documentaires, mais aussi le manque de politique volontariste des chaînes arabes. 90% des chaînes privées ou publiques emploient des gens qui n’ont aucun lien avec la production documentaire. Le pouvoir s’oppose à la création documentaire. La mentalité commerciale prend le pas sur le choix de la création. Il y a un déficit en matière d’échange d’informations dans le monde arabe.
Y a-t-il une véritable volonté politique d’ouvrir la porte aux films documentaires ? Les chaînes publiques arabes évitent les images de la réalité, pourquoi ?
Par : Kahina Hammoudi
Le Midi Libredz(0000/1111)dz
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A déplacer sur la rubrique "Economie" pour rassurer ceux qui s'inquiètent sur notre sort et nous prédisent des lendemains sombres .
Il faut signaler que la plus grande réserve hydrique au monde se trouve au Sahara dont une part importante en Algérie .
Avec des terres à l'infini ,des réserves immenses d'eau et une énergie solaire i (à développer) nous pourrons nourrir toute la planète .L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote
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