Projeté dimanche dernier en marge du Festival de Cannes, le dernier reportage du réalisateur et photographe, Yann Arthus-Bertrand, intitulé L’Algérie vue du ciel, devrait être diffusé le 16 juin aux téléspectateurs par une chaîne publique française et repris simultanément, espère le réalisateur, par la télévision algérienne.
En effet, information rapportée hier par l’APS, la version actuelle du documentaire, celle présentée dimanche au stand dédié au cinéma algérien à Cannes n’est pour l’instant qu’une première mouture, le réalisateur indiquant à ce titre que le projet était encore inachevé, en évoquant « des raisons bureaucratiques », notamment l’attente des autorisations pour des prises de vue aériennes dans la région nord de l’Oranie. « Cela fait trois ans que je suis sur ce documentaire fait avec tout l’amour que j’ai toujours voué à ce pays (…), il reste une partie du tournage que je dois absolument terminer.» Dernier épisode de la série de documentaires Vue du ciel, cette première version laisse cependant apparaître des images prises dans différentes régions du pays, notamment Constantine, Akbou, Timgad, Sétif, Tikjda, Timimoun, Ghardaïa, ou encore la région des Aurès. Le documentaire L’Algérie vue du ciel, reprenant, par ailleurs, les points forts des précédents films réalisés par Yann Arthus-Bertrand, notamment Home sorti en 2009, c’est-à-dire des images aériennes prises depuis un hélicoptère et donnant à voir la beauté, mais aussi la fragilité des paysages naturels.
Documentaire devant durer 121 minutes, il est, pour rappel, produit par l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel, sa diffusion dimanche en marge du Festival de Cannes marquant, ajoute la même source, la célébration de deux anniversaires, le cinquantenaire de la Cinémathèque algérienne et les 40 ans de la Palme d’Or obtenue en 1975 par Mohamed Lakhdar Hamina pour le film Chronique des années de braise lors du 28e Festival de Cannes.
le reporters dz
En effet, information rapportée hier par l’APS, la version actuelle du documentaire, celle présentée dimanche au stand dédié au cinéma algérien à Cannes n’est pour l’instant qu’une première mouture, le réalisateur indiquant à ce titre que le projet était encore inachevé, en évoquant « des raisons bureaucratiques », notamment l’attente des autorisations pour des prises de vue aériennes dans la région nord de l’Oranie. « Cela fait trois ans que je suis sur ce documentaire fait avec tout l’amour que j’ai toujours voué à ce pays (…), il reste une partie du tournage que je dois absolument terminer.» Dernier épisode de la série de documentaires Vue du ciel, cette première version laisse cependant apparaître des images prises dans différentes régions du pays, notamment Constantine, Akbou, Timgad, Sétif, Tikjda, Timimoun, Ghardaïa, ou encore la région des Aurès. Le documentaire L’Algérie vue du ciel, reprenant, par ailleurs, les points forts des précédents films réalisés par Yann Arthus-Bertrand, notamment Home sorti en 2009, c’est-à-dire des images aériennes prises depuis un hélicoptère et donnant à voir la beauté, mais aussi la fragilité des paysages naturels.
Documentaire devant durer 121 minutes, il est, pour rappel, produit par l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel, sa diffusion dimanche en marge du Festival de Cannes marquant, ajoute la même source, la célébration de deux anniversaires, le cinquantenaire de la Cinémathèque algérienne et les 40 ans de la Palme d’Or obtenue en 1975 par Mohamed Lakhdar Hamina pour le film Chronique des années de braise lors du 28e Festival de Cannes.
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