Toujours au cœur de l’événement et de l’actualité, la femme algérienne s’est imposée avec force dans différents domaines socioprofessionnels, arrachant une place de choix dans la société.
Une place pour laquelle elle n’a jamais cessé de militer. Et c’est ce parcours et ce militantisme que le jeune réalisateur Hocine Saâdi met en exergue dans Citoyennes.
Projeté mercredi soir en avant première à la salle Ibn Zeydoun, le film propose quatre portraits de femmes qui se sont imposées chacune dans son domaine par leur courage et leur persévérance. Produit par Simple Production avec l’aide de l’ambassade des Etats-Unis à Alger, le film de Hocine Saâdi est un hommage à toutes les algériennes qui ont su s’imposer.
Décliné en quatre portraits, Citoyennes raconte le quotidien et le bouleversement de Atika Al Mameri, présidente de l’Union nationale des handicapés moteurs d’Alger. Victime d’un accident de la circulation, la dame de caractère évoque le douloureux accident et la difficulté de s’adapter.
Consciente de la nécessité de surpasser le choc, elle va s’investir corps et âme dans l’aide des handicapés moteur. Un portrait émouvant d’une femme courage se révèle alors à l’écran. Baya Gacemi et Hadda Abla, respectivement, directrice du journal satirique l’Epoque et correspondante de l’hebdomadaire français l’Express et directrice de publication du journal El Fedjr, évoquent, quant à elles, leurs expériences dans le milieu de la presse et des difficultés de maintenir leurs publications sur un marché riche de quarante deux titres.
A la maison, dans les imprimeries, dans leurs rédactions respectives, la caméra de Saâdi est indiscrète mais accorde de l’importance au moindre détail.
Enfin, le dernier portrait est consacré à la femme dans la politique et dans lequel on découvre le travail de Samia Moualfi, députée FLN. Dynamique, la députée sillonne la Kabylie à la rencontre de l’électorat afin de soutenir d’autres femmes de son parti candidates aux municipalités.
Exhaustifs, certainement pas, les quatre portraits de
Saâdi se veulent plus représentatifs du combat de la femme algérienne.
- La Nouvelle republique
Une place pour laquelle elle n’a jamais cessé de militer. Et c’est ce parcours et ce militantisme que le jeune réalisateur Hocine Saâdi met en exergue dans Citoyennes.
Projeté mercredi soir en avant première à la salle Ibn Zeydoun, le film propose quatre portraits de femmes qui se sont imposées chacune dans son domaine par leur courage et leur persévérance. Produit par Simple Production avec l’aide de l’ambassade des Etats-Unis à Alger, le film de Hocine Saâdi est un hommage à toutes les algériennes qui ont su s’imposer.
Décliné en quatre portraits, Citoyennes raconte le quotidien et le bouleversement de Atika Al Mameri, présidente de l’Union nationale des handicapés moteurs d’Alger. Victime d’un accident de la circulation, la dame de caractère évoque le douloureux accident et la difficulté de s’adapter.
Consciente de la nécessité de surpasser le choc, elle va s’investir corps et âme dans l’aide des handicapés moteur. Un portrait émouvant d’une femme courage se révèle alors à l’écran. Baya Gacemi et Hadda Abla, respectivement, directrice du journal satirique l’Epoque et correspondante de l’hebdomadaire français l’Express et directrice de publication du journal El Fedjr, évoquent, quant à elles, leurs expériences dans le milieu de la presse et des difficultés de maintenir leurs publications sur un marché riche de quarante deux titres.
A la maison, dans les imprimeries, dans leurs rédactions respectives, la caméra de Saâdi est indiscrète mais accorde de l’importance au moindre détail.
Enfin, le dernier portrait est consacré à la femme dans la politique et dans lequel on découvre le travail de Samia Moualfi, députée FLN. Dynamique, la députée sillonne la Kabylie à la rencontre de l’électorat afin de soutenir d’autres femmes de son parti candidates aux municipalités.
Exhaustifs, certainement pas, les quatre portraits de
Saâdi se veulent plus représentatifs du combat de la femme algérienne.
- La Nouvelle republique