Une équipe de l’émission «Thalassa» a débarqué, vendredi dernier, au Cap de Fer (Ras Lehdid), dans la commune de La Marsa, à l’est de Skikda, pour clore un séjour de 45 jours passés à scruter et à filmer le littoral algérien pour les besoins d’un reportage de 110 minutes exclusivement consacré à l’Algérie.
C’est notre dernier jour de tournage. On a déjà filmé, en cinq jours, toute la côte algérienne grâce au concours du ministère de la Défense nationale qui a mis à notre disposition un hélicoptère. On a également passé beaucoup de temps à Oran, Bouharoune, Béjaïa, Tipasa…», explique Marant s’explique surtout par ce «coup de foudre» que le réalisateur a eu en venant en repérage au mois de janvier dernier. «Quand j’étais venu, il ne faisait pas beau.
Il y avait du vent et c’était sauvage et tout de suite j’ai eu un coup de cœur», un fait qu’il expliquera par «la nature qui entoure ces lieux et la qualité de l’environnement qui y est préservée. Ça me rappelle la Bretagne avec ce côté rocailleux et cette mer sauvage.» Cette beauté de la nature finira par forcer la main à M. Marant, qui décida alors d’inclure le Cap de Fer dans le reportage. «Oui, c’est ainsi que les choses se sont faites et on a ainsi convenu de filmer des séquences dans ce phare. Non seulement des images, mais il nous fallait trouver aussi des gens qui entretiennent des relations avec ces lieux.»
Le désir d’«humaniser» le sujet amènera l’équipe de Thalassa à inclure des bribes de vie d’un des gardiens du phare. «C’est M. Halit, (directeur de l’antenne régionale de Skikda de l’ONSM, ndlr) qui nous alors orientés vers Hafid, un personnage captivant dont le père était gardien de phare et son grand-père aussi. C’est un personnage-clé du sujet consacré au phare, tout comme ses filles qui, chaque année, attendent avec impatience les vacances scolaires pour pouvoir venir tenir compagnie à leur père, ici dans le phare.»
Pour conclure, on ne pouvait s’empêcher de demander aux membres de l’équipe «Thalassa», de revenir sur l’impression globale que leur a laissée la côte algérienne. M. Marrant et au nom de Laurant Langlois et Guillaume Pitron qui l’ont accompagné lors du périple algérien, insiste surtout sur «la beauté des paysages, car il persiste encore sur cette côte des endroits qui sont restés vierges comme on en voit très peu dans le reste de la Méditerranée. Ici, vous avez encore des morceaux qui sont restés vierges et c’est là un vrai bonheur.»
Khider Ouhab- El Watan
C’est notre dernier jour de tournage. On a déjà filmé, en cinq jours, toute la côte algérienne grâce au concours du ministère de la Défense nationale qui a mis à notre disposition un hélicoptère. On a également passé beaucoup de temps à Oran, Bouharoune, Béjaïa, Tipasa…», explique Marant s’explique surtout par ce «coup de foudre» que le réalisateur a eu en venant en repérage au mois de janvier dernier. «Quand j’étais venu, il ne faisait pas beau.
Il y avait du vent et c’était sauvage et tout de suite j’ai eu un coup de cœur», un fait qu’il expliquera par «la nature qui entoure ces lieux et la qualité de l’environnement qui y est préservée. Ça me rappelle la Bretagne avec ce côté rocailleux et cette mer sauvage.» Cette beauté de la nature finira par forcer la main à M. Marant, qui décida alors d’inclure le Cap de Fer dans le reportage. «Oui, c’est ainsi que les choses se sont faites et on a ainsi convenu de filmer des séquences dans ce phare. Non seulement des images, mais il nous fallait trouver aussi des gens qui entretiennent des relations avec ces lieux.»
Le désir d’«humaniser» le sujet amènera l’équipe de Thalassa à inclure des bribes de vie d’un des gardiens du phare. «C’est M. Halit, (directeur de l’antenne régionale de Skikda de l’ONSM, ndlr) qui nous alors orientés vers Hafid, un personnage captivant dont le père était gardien de phare et son grand-père aussi. C’est un personnage-clé du sujet consacré au phare, tout comme ses filles qui, chaque année, attendent avec impatience les vacances scolaires pour pouvoir venir tenir compagnie à leur père, ici dans le phare.»
Pour conclure, on ne pouvait s’empêcher de demander aux membres de l’équipe «Thalassa», de revenir sur l’impression globale que leur a laissée la côte algérienne. M. Marrant et au nom de Laurant Langlois et Guillaume Pitron qui l’ont accompagné lors du périple algérien, insiste surtout sur «la beauté des paysages, car il persiste encore sur cette côte des endroits qui sont restés vierges comme on en voit très peu dans le reste de la Méditerranée. Ici, vous avez encore des morceaux qui sont restés vierges et c’est là un vrai bonheur.»
Khider Ouhab- El Watan