Ô JERUSALEM
Un film d’Elie Chouraqui
Avec Patrick Bruel, Elie Chouraqui, Saïd Taghmaoui et Ian Holm
Durée : 2h08


En pleine euphorie des années d’après guerre, une solide amitié, fruit d’un hasard salutaire, se noue. Elle va lier à New York entre insouciance et préoccupations politiques, Bobby Goldman, un ancien soldat juif new-yorkais et Saïd Chahïn, jeune arabe de Jérusalem.
Leurs origines respectives cependant les rattraperont trop vite…27 Novembre 1947, la majorité des représentants des pays membres de l'Organisation des Nations Unies votent le partage de la Palestine, future pomme de discorde des soixante années à venir pour le Proche Orient. Cette même année, en dépit de tout ce qui les unit, nos deux amis vont ainsi se trouver confronter à leurs identités. Bouleversés par les évènements qui enflamment Jérusalem et le futur Etat hébreu, Bobby et Saïd s'embarquent alors ensemble sur un navire à destination de la Terre Sainte. Ils ne réalisent pas encore que leur destin jusqu’ici commun vient de les séparer pour emprunter de dramatiques détours. Frères devenus ennemis, ils vont ainsi s’affronter des mois durant vont s’entredéchirer comme ces deux peuples autrefois en paix, ces deux mondes qui se battent pour une même terre sacrée et anciennement partagée.

Mon avis:
Ce film a etait fortement critiquer et je comprend pourquoi.
C'est un trés bon sujet, malhereusement une mise en scene nulle! Et des acteurs .. euh... disons juste que le casting est pas top ... trop caricaturales!
La prise de vue n'est pas trés objectif (même si dans l'ensemble le film reste neutre, même si il fait beaucoup trop passer les juifs comme des victimes, parce que il y a autant de mort chez les uns que chez les autres! Et sa reste le point de vue de Elie Chouraquie!) mais sur le plan historique c'est tout faux !!! Beaucoup trop d'erreur ou plutot dire de faits oublier. Dire que plus de 700 000 Palestiniens ont quitté leurs foyers à l’appel des dirigeants arabes... c'est prendre legerement les gens pour des cons !! il s'agit bel et bien d'une expulsion !!!! Un film avec beaucoup trop de clichés les bons, les méchants et les victimes de la guerres... j'ai etais tout aussi decu en sortan de la salle de cinema que je l'ai etais apres Indigene!
Un film bof qui ne necessite pas d'être vu !!
Ma note: 6/10
Un film d’Elie Chouraqui
Avec Patrick Bruel, Elie Chouraqui, Saïd Taghmaoui et Ian Holm
Durée : 2h08

En pleine euphorie des années d’après guerre, une solide amitié, fruit d’un hasard salutaire, se noue. Elle va lier à New York entre insouciance et préoccupations politiques, Bobby Goldman, un ancien soldat juif new-yorkais et Saïd Chahïn, jeune arabe de Jérusalem.
Leurs origines respectives cependant les rattraperont trop vite…27 Novembre 1947, la majorité des représentants des pays membres de l'Organisation des Nations Unies votent le partage de la Palestine, future pomme de discorde des soixante années à venir pour le Proche Orient. Cette même année, en dépit de tout ce qui les unit, nos deux amis vont ainsi se trouver confronter à leurs identités. Bouleversés par les évènements qui enflamment Jérusalem et le futur Etat hébreu, Bobby et Saïd s'embarquent alors ensemble sur un navire à destination de la Terre Sainte. Ils ne réalisent pas encore que leur destin jusqu’ici commun vient de les séparer pour emprunter de dramatiques détours. Frères devenus ennemis, ils vont ainsi s’affronter des mois durant vont s’entredéchirer comme ces deux peuples autrefois en paix, ces deux mondes qui se battent pour une même terre sacrée et anciennement partagée.
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Hélas, Ô Jérusalem ne se contente pas de cela et explore du fait de ce choix discutable et de ses conséquences, des voies qu’on espérait ne pas devoir subir. En proie à un sur jeu digne de la grande époque du muet, les acteurs sont enclins à une expressivité portée sur l’excès systématique et la surenchère, tandis que la mise en scène s’avère - mille fois hélas - à l’avenant, nous livrant une exposition de ce conflit au travers d’une « petite histoire» d’amitié digne cette fois ci d’un mélodrame des années 1950. Grotesque et excès patriotique disputent dès lors à l’agacement l’impression finale qui restera du film.
Encore faudrait il ajouter que rien dès lors ne nous sera épargné, ni la grandiloquence illustrative d’une musique tonitruante et ridiculement émotive ni l’inévitable dramaturgie d’amours aussi dramatiques qu’impossibles…On ne reviendra pas non plus davantage sur la performance d’acteur d’Eli Chouraqui car il vaut mieux ne rien en dire…A peine suscitera-t-elle des questions quant aux raisons qui ont présidé à sa volonté de s’inscrire à l’écran. Quelle fut la nécessité filmique, personnelle et narrative qui se marqua pour qu’il s’attribue un rôle qu’il incarne péniblement et dont pâtit le métrage ? Je vous laisse le soin d’en juger si vous avez l’audace et l’infini courage d’aller en salle pour le voir. .... suite
Hélas, Ô Jérusalem ne se contente pas de cela et explore du fait de ce choix discutable et de ses conséquences, des voies qu’on espérait ne pas devoir subir. En proie à un sur jeu digne de la grande époque du muet, les acteurs sont enclins à une expressivité portée sur l’excès systématique et la surenchère, tandis que la mise en scène s’avère - mille fois hélas - à l’avenant, nous livrant une exposition de ce conflit au travers d’une « petite histoire» d’amitié digne cette fois ci d’un mélodrame des années 1950. Grotesque et excès patriotique disputent dès lors à l’agacement l’impression finale qui restera du film.
Encore faudrait il ajouter que rien dès lors ne nous sera épargné, ni la grandiloquence illustrative d’une musique tonitruante et ridiculement émotive ni l’inévitable dramaturgie d’amours aussi dramatiques qu’impossibles…On ne reviendra pas non plus davantage sur la performance d’acteur d’Eli Chouraqui car il vaut mieux ne rien en dire…A peine suscitera-t-elle des questions quant aux raisons qui ont présidé à sa volonté de s’inscrire à l’écran. Quelle fut la nécessité filmique, personnelle et narrative qui se marqua pour qu’il s’attribue un rôle qu’il incarne péniblement et dont pâtit le métrage ? Je vous laisse le soin d’en juger si vous avez l’audace et l’infini courage d’aller en salle pour le voir. .... suite
Prenez un best-seller dont l’adaptation a découragé plus d’un réalisateur. Mettez le entre les mains d’un metteur en scène (Elie Chouraqui) de films vite oubliés et de comédies musicales pataudes. Vous obtiendrez un objet qui passe à côté de son sujet, simpliste et sans envergure, malgré toutes les bonnes volontés déclarées. suite
Mon avis:
Ce film a etait fortement critiquer et je comprend pourquoi.
C'est un trés bon sujet, malhereusement une mise en scene nulle! Et des acteurs .. euh... disons juste que le casting est pas top ... trop caricaturales!
La prise de vue n'est pas trés objectif (même si dans l'ensemble le film reste neutre, même si il fait beaucoup trop passer les juifs comme des victimes, parce que il y a autant de mort chez les uns que chez les autres! Et sa reste le point de vue de Elie Chouraquie!) mais sur le plan historique c'est tout faux !!! Beaucoup trop d'erreur ou plutot dire de faits oublier. Dire que plus de 700 000 Palestiniens ont quitté leurs foyers à l’appel des dirigeants arabes... c'est prendre legerement les gens pour des cons !! il s'agit bel et bien d'une expulsion !!!! Un film avec beaucoup trop de clichés les bons, les méchants et les victimes de la guerres... j'ai etais tout aussi decu en sortan de la salle de cinema que je l'ai etais apres Indigene!
Un film bof qui ne necessite pas d'être vu !!
Ma note: 6/10
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