Le comédien Hakim Dekkar se trouve à Tipaza pour préparer le mois de Ramadhan, en offrant aux téléspectateurs son patchwork culturel. Un emploi du temps qui fonctionne sur le fil. Hakim Dekkar accompagné par son épouse se livre à El-Watan en exclusivité, pour une poignée de minutes.
Hakim, quelle surprise de vous retrouver à Tipaza?
Un artiste a toujours besoin d’un bel espace pour faire le choix des lieux de repérage. La coquette Tipaza est l’endroit le plus indiqué pour mener ma mission. Je me trouve à Tipaza pour tourner une série de 30 épisodes de 15 mn chacune, totalement humoristique, avec un cachet critique sociopolitique.
Franchement, connaissez-vous le goût des téléspectateurs algériens durant le Ramadhan ?
N’oubliez pas que je suis dans ce métier depuis des années, par conséquent, j’ai mon idée sur leurs goûts. Notre public veut satisfaire ses yeux et ses oreilles. Il faut tenir compte des la beauté des paysages et des dialogues dans chaque épisode. Je veille pour faire respecter ces critères.
Pouvez-vous nous révéler les thèmes qui seront traités dans vos épisodes ?
J’ai porté un regard critique dans les comportements, depuis le simple citoyen jusqu’au responsable. Nous sommes tous complices de la situation actuelle. J’ai mis en évidence les sujets relatifs aux agissements négatifs avec dérision. Pour ne citer que quelques exemples, j’ai abordé une visite d’un wali, les élections, les histoires d’amour, les syndicats… Des sujets qui incitent les téléspectateurs à réfléchir et proposer des idées positives.
Lors du tournage, nous avons remarqué la présence des syriens ?
Je collabore avec nos sœurs et frères syriens depuis une décennie. Avec leurs expériences dans le domaine cinématographique, j’échange avec eux mes expériences. L’Algérie est un pays ouvert aux artistes et techniciens étrangers. Mon choix est porté sur les syriens, chez eux, nous ne sentons pas étrangers et nous mettent dans de bonnes conditions de travail.
Les téléspectateurs sont très critiques sur la qualité des feuilletons de Ramadhan ?
Une seule chaine de télévision ne peut pas satisfaire les téléspectateurs algériens d’une part et d’autre elle n’est pas un stimulant pour inciter à l’amélioration. L’ouverture audiovisuelle s’impose et la concurrence est la bienvenue. Chacun de nous devra travailler pour présenter des produits culturels de bonne qualité, pour sensibiliser la société algérienne. Mais il faut accompagner cette volonté par la mise en place des moyens humains, matériels et financiers.
Rappelez nous le titre de votre série ?
Tic-tac. C’est le sort des algériens qui chavirent au rythme d’une aiguille d’une montre. Un syrien a écrit le texte et un algérien l’a adapté à la réalité de la société algérienne. La société algérienne ne peut pas échapper aux problèmes que rencontrent les citoyens des autres pays arabes.
Quand est-ce-que vous allez quitter Tipaza ?
Je ne quitterai jamais Tipaza. En revanche, je quitterai le plateau prochainement (rires). Merci pour toutes les personnes qui nous soutiennent durant ce tournage, les responsables de la wilaya de Tipaza, les services de sécurité, les opérateurs économiques locaux, et surtout l’hospitalité des citoyens de la wilaya de Tipaza . Nous espérons que notre tic-tac va plaire aux familles algériennes durant le Ramadhan.
Propos recueillis par : M’Hamed Houaoura- El Watan
Hakim, quelle surprise de vous retrouver à Tipaza?
Un artiste a toujours besoin d’un bel espace pour faire le choix des lieux de repérage. La coquette Tipaza est l’endroit le plus indiqué pour mener ma mission. Je me trouve à Tipaza pour tourner une série de 30 épisodes de 15 mn chacune, totalement humoristique, avec un cachet critique sociopolitique.
Franchement, connaissez-vous le goût des téléspectateurs algériens durant le Ramadhan ?
N’oubliez pas que je suis dans ce métier depuis des années, par conséquent, j’ai mon idée sur leurs goûts. Notre public veut satisfaire ses yeux et ses oreilles. Il faut tenir compte des la beauté des paysages et des dialogues dans chaque épisode. Je veille pour faire respecter ces critères.
Pouvez-vous nous révéler les thèmes qui seront traités dans vos épisodes ?
J’ai porté un regard critique dans les comportements, depuis le simple citoyen jusqu’au responsable. Nous sommes tous complices de la situation actuelle. J’ai mis en évidence les sujets relatifs aux agissements négatifs avec dérision. Pour ne citer que quelques exemples, j’ai abordé une visite d’un wali, les élections, les histoires d’amour, les syndicats… Des sujets qui incitent les téléspectateurs à réfléchir et proposer des idées positives.
Lors du tournage, nous avons remarqué la présence des syriens ?
Je collabore avec nos sœurs et frères syriens depuis une décennie. Avec leurs expériences dans le domaine cinématographique, j’échange avec eux mes expériences. L’Algérie est un pays ouvert aux artistes et techniciens étrangers. Mon choix est porté sur les syriens, chez eux, nous ne sentons pas étrangers et nous mettent dans de bonnes conditions de travail.
Les téléspectateurs sont très critiques sur la qualité des feuilletons de Ramadhan ?
Une seule chaine de télévision ne peut pas satisfaire les téléspectateurs algériens d’une part et d’autre elle n’est pas un stimulant pour inciter à l’amélioration. L’ouverture audiovisuelle s’impose et la concurrence est la bienvenue. Chacun de nous devra travailler pour présenter des produits culturels de bonne qualité, pour sensibiliser la société algérienne. Mais il faut accompagner cette volonté par la mise en place des moyens humains, matériels et financiers.
Rappelez nous le titre de votre série ?
Tic-tac. C’est le sort des algériens qui chavirent au rythme d’une aiguille d’une montre. Un syrien a écrit le texte et un algérien l’a adapté à la réalité de la société algérienne. La société algérienne ne peut pas échapper aux problèmes que rencontrent les citoyens des autres pays arabes.
Quand est-ce-que vous allez quitter Tipaza ?
Je ne quitterai jamais Tipaza. En revanche, je quitterai le plateau prochainement (rires). Merci pour toutes les personnes qui nous soutiennent durant ce tournage, les responsables de la wilaya de Tipaza, les services de sécurité, les opérateurs économiques locaux, et surtout l’hospitalité des citoyens de la wilaya de Tipaza . Nous espérons que notre tic-tac va plaire aux familles algériennes durant le Ramadhan.
Propos recueillis par : M’Hamed Houaoura- El Watan