Après son premier recueil de poèmes intitulé ‘’Thazdemt N Isefra’’ (le fagot des poèmes), le jeune Nourdine Amrouche, 28 ans, s’essaie cette fois-ci au 7ème art, comme réalisateur. Il vient d’entamer le tournage de son premier film qu’il a intitulé«Thayri Thahaquanith», dont il a lui-même écrit le scénario.
Le premier coup de manivelle a été donné le week-end dernier, au niveau du village Koukou dans la commune d’Aït Yahia.
Le film raconte l’histoire d’amour de Kahina et Rayen, deux jeunes qui se sont rencontrés au lycée. Une relation qui dure depuis 7 ans et qui ne les a pas empêchés de réussir leurs études. Le film aborde également le rôle important de la femme dans la société algérienne. L’histoire connaît un rebondissement lorsque le père de Kahina, Si Ouamar, maçon de son état, eut vent de la liaison de sa fille avec Rayen, par le biais de son manœuvre, Ali. Il décida de lui interdire de repartir à la fac. Un autre personnage intervient alors dans l’histoire. Il s’agit de Salem, un étudiant, qui lui aussi est amoureux de Kahina. S’ensuit une rivalité entre les deux jeunes gens qui décident, tous les deux à demander la main de la jeune fille. Puis un drame vient plonger cette dernière dans le désespoir.
Le réalisateur nous a fait savoir que le tournage se poursuivra au niveau d’Igoufaf, le chef-lieu de la commune, ainsi qu’aux facultés de Bastos et Hassnaoua. Il devrait durer 30 jours. Notre interlocuteur a profité de l’occasion pour rendre un vibrant hommage à l’association « Royaume de Koukou » pour les efforts déployés dans le champ culturelle. Il n’a pas caché sa satisfaction quant au bon déroulement du travail avec une équipe jeune et dynamique. A signaler qu’un nouveau recueil de poème de Nourdine Amrouche sera dans le marché dans vingt jours, sous le titre « L’Aïnsar n’Isefra » (la fontaine des poèmes).
Slimane Ben Addi-la dépêche de kabylie
Le premier coup de manivelle a été donné le week-end dernier, au niveau du village Koukou dans la commune d’Aït Yahia.
Le film raconte l’histoire d’amour de Kahina et Rayen, deux jeunes qui se sont rencontrés au lycée. Une relation qui dure depuis 7 ans et qui ne les a pas empêchés de réussir leurs études. Le film aborde également le rôle important de la femme dans la société algérienne. L’histoire connaît un rebondissement lorsque le père de Kahina, Si Ouamar, maçon de son état, eut vent de la liaison de sa fille avec Rayen, par le biais de son manœuvre, Ali. Il décida de lui interdire de repartir à la fac. Un autre personnage intervient alors dans l’histoire. Il s’agit de Salem, un étudiant, qui lui aussi est amoureux de Kahina. S’ensuit une rivalité entre les deux jeunes gens qui décident, tous les deux à demander la main de la jeune fille. Puis un drame vient plonger cette dernière dans le désespoir.
Le réalisateur nous a fait savoir que le tournage se poursuivra au niveau d’Igoufaf, le chef-lieu de la commune, ainsi qu’aux facultés de Bastos et Hassnaoua. Il devrait durer 30 jours. Notre interlocuteur a profité de l’occasion pour rendre un vibrant hommage à l’association « Royaume de Koukou » pour les efforts déployés dans le champ culturelle. Il n’a pas caché sa satisfaction quant au bon déroulement du travail avec une équipe jeune et dynamique. A signaler qu’un nouveau recueil de poème de Nourdine Amrouche sera dans le marché dans vingt jours, sous le titre « L’Aïnsar n’Isefra » (la fontaine des poèmes).
Slimane Ben Addi-la dépêche de kabylie