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Le 19e Festival international du cinéma méditerranéen de Tétouan (nord du Maroc), qui aura lieu du 23 au 30 mars, célébrera, cette année le cinéma algérien. Par cette distinction du 7e art algérien, les organisateurs du festival entendent marquer le 50e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie et le 55e anniversaire de la production du premier film algérien.
Pour l’occasion, ce sont onze films dans les catégories longs et courts métrages qui seront projetés lors de cette manifestation cinématographique annuelle, ont précisé les organisateurs.
Dans la catégorie long métrage, les cinéphiles marocains auront un aperçu sur la production cinématographique algérienne à travers un échantillon qui englobe les années 1960-2000. A l’affiche, il y aura Chronique des années de braise (1975) de Mohamed Lakhdar-Hamina, Nahla (1979) de Farouk Beloufa, La montagne de Baya (1998) de Azzedine Meddour, Omar Gatlato (1976) de Merzak Allouache, Louss ou la rose des sables (1989) de Rachid Benhadj et L’opium et le bâton (1969) de Ahmed Rachedi. Quant à la catégorie court métrage, cinq films seront projetés : Houria (2007) de Mohamed Yargui, Orange (2003) de Yahia Mozahem, La voix du peuple, (1961) de Djamal Chanderli, La porte, (2006) de Yasmine Chouikh et Le dernier passager (2007) de Mounes Khammar.
Les organisateurs ont, en outre, prévu une table ronde sur le septième art en Algérie qui sera animée par l’universitaire Ahmed Bedjaoui. Par ailleurs, selon le programme de l’édition de cette année, douze films produits dans des pays du pourtour méditerranéens seront en compétition officielle pour les différentes récompenses qui seront attribuées à la cérémonie de clôture, à savoir le Grand prix du Festival, le Prix spécial du jury ainsi que les prix de la meilleure interprétation masculine, de la meilleure interprétation féminine, du public et le Prix Azzeddine Meddour pour la première œuvre. Le jury long métrage sera présidé par la productrice italienne de films Grazia Volpi, alors que celui de la catégorie court métrage sera drivé par le réalisateur tunisien Ibrahim Letaïef. L’acteur marocain Rachid el Ouali présidera, lui, le jury du film documentaire.
D’autre part, le Festival rendra hommage au cinéma portugais ainsi qu’à cinq figures du cinéma méditerranéen.
En marge des projections, le programme prévoit également l’organisation d’un colloque international sur la «Coproduction et distribution en Méditerranée» ainsi que deux tables rondes dont les thèmes sont «Cinéma et histoire des Mauresques : autres points de vue» et «Le cinéma et le roman marocain : quels types de relation entretiennent-ils ?».
Le Festival international du cinéma méditerranéen de Tétouan est l’un des rendez-vous annuels du cinéma au Maroc, avec le Festival international du film de Marrakech (Fifm), le Festival du court-métrage méditerranéen de Tanger, le Festival du cinéma de femmes de Salé, le Festival international Issni N’Ourgh du film amazigh d’Agadir et le Festival international du film documentaire de Khouribga.
Créé en 1985 par un groupe de cinéphiles réunis dans l’Association des Amis du Cinéma de Tétouan, il s’est fixé pour objectifs la promotion et la mise en valeur des cinématographies des pays du bassin méditerranéen.
APS
Pour l’occasion, ce sont onze films dans les catégories longs et courts métrages qui seront projetés lors de cette manifestation cinématographique annuelle, ont précisé les organisateurs.
Dans la catégorie long métrage, les cinéphiles marocains auront un aperçu sur la production cinématographique algérienne à travers un échantillon qui englobe les années 1960-2000. A l’affiche, il y aura Chronique des années de braise (1975) de Mohamed Lakhdar-Hamina, Nahla (1979) de Farouk Beloufa, La montagne de Baya (1998) de Azzedine Meddour, Omar Gatlato (1976) de Merzak Allouache, Louss ou la rose des sables (1989) de Rachid Benhadj et L’opium et le bâton (1969) de Ahmed Rachedi. Quant à la catégorie court métrage, cinq films seront projetés : Houria (2007) de Mohamed Yargui, Orange (2003) de Yahia Mozahem, La voix du peuple, (1961) de Djamal Chanderli, La porte, (2006) de Yasmine Chouikh et Le dernier passager (2007) de Mounes Khammar.
Les organisateurs ont, en outre, prévu une table ronde sur le septième art en Algérie qui sera animée par l’universitaire Ahmed Bedjaoui. Par ailleurs, selon le programme de l’édition de cette année, douze films produits dans des pays du pourtour méditerranéens seront en compétition officielle pour les différentes récompenses qui seront attribuées à la cérémonie de clôture, à savoir le Grand prix du Festival, le Prix spécial du jury ainsi que les prix de la meilleure interprétation masculine, de la meilleure interprétation féminine, du public et le Prix Azzeddine Meddour pour la première œuvre. Le jury long métrage sera présidé par la productrice italienne de films Grazia Volpi, alors que celui de la catégorie court métrage sera drivé par le réalisateur tunisien Ibrahim Letaïef. L’acteur marocain Rachid el Ouali présidera, lui, le jury du film documentaire.
D’autre part, le Festival rendra hommage au cinéma portugais ainsi qu’à cinq figures du cinéma méditerranéen.
En marge des projections, le programme prévoit également l’organisation d’un colloque international sur la «Coproduction et distribution en Méditerranée» ainsi que deux tables rondes dont les thèmes sont «Cinéma et histoire des Mauresques : autres points de vue» et «Le cinéma et le roman marocain : quels types de relation entretiennent-ils ?».
Le Festival international du cinéma méditerranéen de Tétouan est l’un des rendez-vous annuels du cinéma au Maroc, avec le Festival international du film de Marrakech (Fifm), le Festival du court-métrage méditerranéen de Tanger, le Festival du cinéma de femmes de Salé, le Festival international Issni N’Ourgh du film amazigh d’Agadir et le Festival international du film documentaire de Khouribga.
Créé en 1985 par un groupe de cinéphiles réunis dans l’Association des Amis du Cinéma de Tétouan, il s’est fixé pour objectifs la promotion et la mise en valeur des cinématographies des pays du bassin méditerranéen.
APS