Le terrorisme en Algérie inspire le Septième art.
Le premier long métrage de Djamila Sahraoui, Barakat, sera projeté en septembre prochain sur les écrans de cinéma en Algérie.
Présenté dans de nombreux festivals en France, ce film se veut dès sa sortie, en 2005 à Paris, un succès.
Visiblement, les cinéastes algériens optent, ces derniers temps, beaucoup plus pour le thème le plus en vogue à l’heure actuelle, celui de la décennie rouge qui a endeuillé le pays. L’intérêt de l’industrie cinématographique internationale se plance également sur ce phénomène.
Barakat ou cela suffit, témoigne un de ces innombrables faits qui restent ancrés dans la mémoire des Algériens.
Le film de Sahraoui est justement un rappel contre l’oubli. Une fiction qui raconte un drame que subissait une jeune femme depuis que son époux a été kidnappé par des islamistes.
Tipaza, 1990. Amel, un personnage interprété par Rachida Baraki, est âgée d’à peine 30 ans. Elle travaille à l’hôpital en tant que médecin généraliste. Son mari, Mourad, est journaliste.
Un jour, Amel tarde pour rentrer chez elle. Elle a emmené Bilel, le petit voisin, à l’hôpital. Le garçon sauve, en quelque sorte, la jeune femme d’un désastre qui allait transformer sa vie en un drame. Quand elle rentre le soir, elle se trouve dans la pire des situations. Mourad n’est plus à la maison. Il a été enlevé par des terroristes. Amel est déterminée à aller personnellement à sa recherche dans les différents endroits les plus chauds du pays. Accompagnée par Khadidja, un rôle attribué à Fettouma Bouaâmari, son amie, une infirmière à l’hôpital, d’une soixantaine d’années, Amel est un peu réconfortée. La cinéaste mêle, ici, dans le rôle de Khadidja, beaucoup d’humour.
En cours de route, les deux femmes sont arrêtées par des islamistes armés et emmenées par la suite au maquis pour se soumettre aux règles de leur chef. L’ironie de la vie se manifeste, ici, puisque les deux femmes se retrouvent libérées saines et sauves grâce à ce dirigeant, Hadj Slimane. Ce dernier a reconnu tout de suite son amie, Khadidja, a qui il doit la vie, il y a plus de 30 ans, durant la guerre de la libération nationale.
L’auteur de Barakat, ce film algéro-francais, produit par France Télévision et l’Entreprise nationale de télévision algérienne, donnera un point de presse, prochainement, avant la projection du film en Algérie.
- La depeche de Kabylie
Le premier long métrage de Djamila Sahraoui, Barakat, sera projeté en septembre prochain sur les écrans de cinéma en Algérie.
Présenté dans de nombreux festivals en France, ce film se veut dès sa sortie, en 2005 à Paris, un succès.
Visiblement, les cinéastes algériens optent, ces derniers temps, beaucoup plus pour le thème le plus en vogue à l’heure actuelle, celui de la décennie rouge qui a endeuillé le pays. L’intérêt de l’industrie cinématographique internationale se plance également sur ce phénomène.
Barakat ou cela suffit, témoigne un de ces innombrables faits qui restent ancrés dans la mémoire des Algériens.
Le film de Sahraoui est justement un rappel contre l’oubli. Une fiction qui raconte un drame que subissait une jeune femme depuis que son époux a été kidnappé par des islamistes.
Tipaza, 1990. Amel, un personnage interprété par Rachida Baraki, est âgée d’à peine 30 ans. Elle travaille à l’hôpital en tant que médecin généraliste. Son mari, Mourad, est journaliste.
Un jour, Amel tarde pour rentrer chez elle. Elle a emmené Bilel, le petit voisin, à l’hôpital. Le garçon sauve, en quelque sorte, la jeune femme d’un désastre qui allait transformer sa vie en un drame. Quand elle rentre le soir, elle se trouve dans la pire des situations. Mourad n’est plus à la maison. Il a été enlevé par des terroristes. Amel est déterminée à aller personnellement à sa recherche dans les différents endroits les plus chauds du pays. Accompagnée par Khadidja, un rôle attribué à Fettouma Bouaâmari, son amie, une infirmière à l’hôpital, d’une soixantaine d’années, Amel est un peu réconfortée. La cinéaste mêle, ici, dans le rôle de Khadidja, beaucoup d’humour.
En cours de route, les deux femmes sont arrêtées par des islamistes armés et emmenées par la suite au maquis pour se soumettre aux règles de leur chef. L’ironie de la vie se manifeste, ici, puisque les deux femmes se retrouvent libérées saines et sauves grâce à ce dirigeant, Hadj Slimane. Ce dernier a reconnu tout de suite son amie, Khadidja, a qui il doit la vie, il y a plus de 30 ans, durant la guerre de la libération nationale.
L’auteur de Barakat, ce film algéro-francais, produit par France Télévision et l’Entreprise nationale de télévision algérienne, donnera un point de presse, prochainement, avant la projection du film en Algérie.
- La depeche de Kabylie