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300
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Moi je trouve que c'est le film le plus ridicule que j'ai jamais vu !
Gloire a Athene le berceau de la civilisation occidental et a l'enfer avec le reste du monde qui n'est formé que d'ignorants et de barbares !!
C'est un peu le message du film ! gagner, au cinema, des guerres perdues dans la realite est devenu une mission de Holywood depuis la defaite de la gueree du Vietnam !!
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c'est quoi ça comme métier " ahou ahou ahou" ?? ça veut rien dire leurs repense , y a l'ébéniste qui travaille le bois , le forgeront qui travaille le fer...et un "ahou" ça fait quoi ??? ....ensuite tous ces mecs muscles imberbe en slips moule bites , qui préfère etre entre mecs et laisser leurs femmes loin.....en plus ce sont des grecs .......moi je dit que c'est un film pour homos ....tu tombe je tombe car mane e mane
après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur
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c'est quoi ça comme métier " ahou ahou ahou" ?? ça veut rien dire leurs repense , y a l'ébéniste qui travaille le bois , le forgeront qui travaille le fer...et un "ahou" ça fait quoi ??
C'est juste un film traks, c'est pas la réalité. ^^
Les historiens se sont déchirés les cheveux quand ils ont vu ce film, niveau historique c'est juste n'importe quoi.Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir
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c'est quoi ça comme métier " ahou ahou ahou" ?? ça veut rien dire leurs repense , y a l'ébéniste qui travaille le bois , le forgeront qui travaille le fer...et un "ahou" ça fait quoi ??? ....ensuite tous ces mecs muscles imberbe en slips moule bites , qui préfère etre entre mecs et laisser leurs femmes loin.....en plus ce sont des grecs .......moi je dit que c'est un film pour homos ....
je pense que l'iran a porté plainte contre ce film vu l'image qu'il reflète de la civilisation perse.
la réalisation est franchement pas mal la seul critique à ce niveau est l'envirenement sombre tout le temps.
Pour l'histoire c'est un peut de la manipulation.شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك
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Ce film est une abjection propagandiste assumée: anti-musulmane et belliciste...C'est le même créateur de la série The Dark Knight Returns (Batman) et de Holy Terror.
"300, la bataille des Thermopyles, Hollywood et le choc des civilisations -
Un immense succès au box-office américain. Selon une dépêche AP du 12 mars, « la bataille antique des Thermopyles, contée dans le nouveau film 300, a réalisé le premier véritable carton de l’année dans les salles nord-américaines, amassant 70 millions de dollars (53,21 millions d’euros) de recettes lors de son premier week-end, selon les estimations des studios ». Le film a débarqué sur les écrans français le 21 mars et semble connaître un succès important. Et cela alors que la critique des deux côtés de l’Atlantique a éreinté le film (lire, par exemple, la critique de Stephen Hunter, parue dans The Washington Post du 9 mars ,« ’300’ : A Loosing Battle in More Ways Than 1 »). Une autre version cinématographique de la bataille des Thermopyles était déjà sortie en 1962, sous le titre The 300 Spartans.
A l’origine du film de Zack Snyder, une bande dessinée, 300 de Frank Miller – le créateur de Sin City – et Lynn Varley, parue en 1998 aux Etats-Unis, traduite en français en 1999 par les éditions Rackam et qui vient d’être republiée. En petit, un avertissement : « Ce livre est une pure fiction. Les noms, caractères, personnes et/ou institutions sont les produits de l’imagination de l’auteur. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé serait une pure coïncidence. » En quatrième de couverture, pourtant, ces quelques phrases : « L’armée persane – si puissante que la terre tremble sous ses pays – s’apprête à écraser la Grèce, île de raison et de liberté dans une mer d’obscurantisme et de tyrannie. Entre la Grèce et cette vague destructrice il y a un petit détachement d’à peine trois cents guerriers. Mais ces guerriers sont plus que des hommes... Ce sont des Spartiates. »
Le film, qui dure deux bonnes heures, ressemble à un jeu vidéo dominé par des hommes beaux et musclés, dopés aux amphétamines, affrontant des barbares (noirs ou de "type moyen-oriental") que l’on peut tuer sans aucun remords. « Pas de prisonnier », lance le héros, le roi Léonidas, celui-là même qui, au début du film, tue l’ambassadeur envoyé par les Perses et viole ainsi l’une des lois les plus sacrées des rapports entre les nations. Cet épisode, présenté comme un acte positif par le cinéaste, permet de tracer la ligne de démarcation entre « eux » et « nous ». Eux, ce sont les barbares, qui ne méritent donc aucun respect, ni que leur soit appliqués aucune règle. Déjà, en 1898, Heinrich von Treischke, un expert en sciences politiques, soutient ce qui, pour nombre de ses contemporains, apparaît comme une banalité : « Le droit international ne devient que des phrases si l’on veut également en appliquer les principes aux peuples barbares. Pour punir une tribu nègre, il faut brûler ses villages, on n’accomplira rien sans faire d’exemple de la sorte. Si, dans des cas semblables, l’empire allemand appliquait le droit international, ce ne serait pas de l’humanité ou de la justice, mais une faiblesse honteuse. »
Il n’est pas étonnant que ce film suscite une forte polémique, notamment en Iran. La correspondante du Figaro à Téhéran a écrit un article (22 mars), « Téhéran dénonce une "guerre psychologique" de l’Occident ».
Dans leur critique, « This is merdaaaaa ! Péplum bushiste belliqueux, « 300 » exalte un héroïsme puéril », Alexis Bernier et Bruno Icher (Libération, 21 mars), écrivent : « L’histoire, en deux lignes, raconte la bataille des Thermopyles en 480 avant notre seigneur J.-C., durant laquelle une poignée de Spartiates fanatisés, conduits par le roi Léonidas, opposa une résistance farouche à la gigantesque armée perse de Xerxès. Prétexte à exalter la bravoure, l’esprit de sacrifice et la chaude camaraderie des soldats en jupette, cette histoire minimaliste est aussi l’occasion de dénigrer en vrac les politiciens et les religieux un ramassis de pleutres, corrompus et libidineux, les alliés ces mauvais guerriers qui vous abandonnent dès la première escarmouche et les pacifistes, "ces Athéniens philosophes et amateurs de garçons". Sans oublier, bien sûr, les étrangers en général, complaisamment décrits comme des basanés dégénérés. C’est que, selon l’idéologue neocon et ultraréac Frank Miller, cet épisode glorieux est rien de moins que « l’acte de naissance de la civilisation occidentale », des valeurs qu’il faut, aujourd’hui encore, avoir les couilles de défendre dans le sang et les larmes. »
A ceux qui penseraient que l’on « surpolitise » un film-jeux-vidéos, l’entretien avec Frank Miller, traduit par le site Loubnan ya Loubnan le 22 mars, devrait suffire à les détromper.
NPR : […] Frank, qu’en est-il de l’état de l’Union ?
Frank Miller : « Bon, je ne suis pas tant en train de m’inquiéter de l’état de l’Union que de l’état du front intérieur. Il me semble évident que notre pays ainsi que le monde occidental tout entier sont actuellement confrontés à un ennemi existentiel qui, lui, sait exactement ce qu’il veut... Les grandes cultures ne sont pratiquement jamais conquises, elles s’effondrent de l’intérieur. Et, franchement, je pense que beaucoup d’Américains se comportent comme des gamins trop gâtés à cause de tout ce qui ne fonctionne pas parfaitement en permanence. »
NPR : Hum, et quand vous dites que nous ne savons pas ce que voulons, quelle en est selon vous la raison ?
FM : Bon, je pense qu’en partie c’est lié à la façon dont nous sommes instruits. On nous dit constamment que toutes les cultures sont égales, et que tout système de croyance est aussi valable qu’un autre. Et en général l’Amérique est connue pour ses défauts plutôt que pour ses qualités. Quand vous pensez à ce que les Américains ont accompli, en construisant ces villes incroyables, et à tout le bien qu’ils ont apporté au monde, c’est plutôt un crève-cœur de voir autant de haine contre l’Amérique, pas seulement à l’étranger, mais même chez nous.
Pour une partie du public américain, ce film représente une revanche sur le 11-Septembre, une manière d’affirmer la supériorité des Etats-Unis sur les hordes islamiques qui menacent la civilisation.
Avant d’en venir à la « vérité historique », un mot sur l’image que le film donne des Spartiates dont il fait l’éloge : ils tuent les enfants malformés ; ils font de la guerre le summum de l’accomplissement des hommes ; ils interdisent aux femmes de siéger au sénat. La formation des jeunes hommes ressemble fort à ce que pouvaient rêver les régimes totalitaires, avec le sacrifice total de l’individu. Que, dans ce contexte, Sparte soit présentée comme l’avant-garde de la lutte pour la liberté et la démocratie est risible... Rappelons d’ailleurs que Sparte fut un modèle pour les nazis.
Vérité historique ? Nous ne disposons sur la bataille des Thermopyles que de sources grecques. Pourtant, même les Grecs, à l’époque, ne partageaient pas la vision raciste du film. Ni Hérodote, principale source d’information, ni les pièces de théâtre d’Eschyle, ne donnent une vision méprisante des Perses. Sur quelques faits historiques, on peut lire, de Touraj Daryaee, « Go tell the Spartans. How "300" misrepresents Persians in history », (14 mars 2007). Il rappelle notamment que l’esclavage était pratiqué en Grèce alors qu’il ne semble pas l’avoir été en Perse ; que le statut de la femme en Perse n’était pas "inférieur" à celui de la femme en Grèce, au contraire ; que le nombre de soldats qui se sont affrontés aux Thermopyles donné dans le film est hautement fantaisiste, etc.
Quant à l’idée que les Grecs auraient été "libres" contrairement aux Perses, elle repose sur des approximations et des amalgames. La première charte des droits a été donnée par Cyrus le Grand dans un texte que les Nations unies ont décidé en 1971 de traduire dans toutes les langues et qui contient notamment la tolérance religieuse, l’abolition de l’esclavage, la liberté du choix de la profession, etc.
Les racines de la vision idéologique qui s’affirme dans le film remontent, en fait, au XIXe siècle (lire Cyrus Kar, « The Truth behind ’300’ ») et à l’affirmation de la "supériorité européenne". Elle reste défendue par des spécialistes de l’histoire ancienne, comme Paul Cartledge, professeur d’histoire grecque à l’Université de Cambridge, dans son livre au titre significatif, Thermopylae. The Battle that Changed the World (Macmillan, Londres).
« Cet affrontement, écrit-il dans l’introduction, l’affrontement entre les Spartiates et les autres Grecs d’un côté et la horde perse (qui incluait des Grecs), était un affrontement entre la liberté et l’esclavage et était perçu comme tel aussi bien à l’époque que depuis. (...) La bataille des Thermopyles, en résumé, était un tournant non seulement de l’histoire de la Grèce classique mais dans l’histoire du monde... » Et la préface se termine par une remarque qui place une filiation entre les Thermopyles et le 11-Septembre.
Pour une contestations de ces inepties, on lira le livre de Marcel Detienne, Les Grecs et nous (Perrin), qui rappelle dans sa préface d’où est née cette idée que « nous » serions les descendants des Grecs. « Que “notre histoire commence avec les Grecs”, voilà, écrivait Lavisse dans ses Instructions, ce qu’il faut apprendre aux élèves des écoles secondaires, et sans qu’ils s’en aperçoivent. Notre histoire commence avec les Grecs qui ont inventé la liberté et la démocratie, qui nous ont apporté le Beau et le goût de l’Universel. Nous sommes les héritiers de la seule civilisation qui ait offert au monde “l’expression parfaite et comme idéale de la liberté". Voilà pourquoi notre histoire doit commencer avec les Grecs. A cette première croyance est venue s’en ajouter une autre, aussi forte que la première : ”Les Grecs ne sont pas comme les autres.” Comment d’ailleurs le pourraient-ils alors qu’ils sont au commencement de notre Histoire ? Deux propositions essentielles pour une mythologie nationale qui fait le plein des humanistes traditionnels et des historiens férus de nation. » Tout le livre de Detienne est une réfutation de ce caractère « exceptionnel » de la Grèce.Dernière modification par Dandy, 27 juillet 2012, 22h39.
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La suite de l'articleArabie saoudite.
Mettant fin aux rumeurs de remaniement ministériel, le roi Abdallah a décidé de prolonger dans leur poste pour quatre ans l’ensemble des ministres. Cette décision, présentée comme une preuve de stabilité, semble plutôt refléter la difficulté de mettre en cause l’équilibre des pouvoirs entre les princes les plus influents, qui ont dépassé un âge respectable (entre 70 et 80 ans) et qui, pour certains, occupent leurs fonctions depuis bien longtemps : ainsi, le prince-héritier Sultan est ministre de la défense depuis 1962, le prince Nayef est ministre de l’intérieur depuis 1975 et le prince Salman est gouverneur de Riayd depuis 1962. On avait beaucoup évoqué le remplacement de Saoud Al-Fayçal, le ministre des affaires étrangères (depuis 1975), par Bandar bin Sultan, l’ancien ambassadeur à Washington.
The New York Review of Books.
La livraison datée du 29 mars de la revue contient une analyse par Brian Urquhart, ancien secrétaire général adjoint de l’ONU, de deux livres : l’un sur la fin de l’impérialisme britannique au Proche-Orient, l’autre sur la lutte au conseil de sécurité sur l’Irak entre 1980 et 2005 (l’article n’est pas disponible en ligne). D’autre part, Joseph Lelyveld, spécialiste de l’Afrique du Sud, revient sur le livre de l’ancien président Carter et sur la comparaison entre le système israélien et celui de l’apartheid, dans un texte intitulé « Jimmy Carter and Apartheid ». Il montre notamment que le livre de Carter, malgré son titre (Palestine Peace Not Apartheid), n’aborde la comparaison que dans quelques paragraphes. Et qu’il manque, sur ce terrain en tous les cas, de profondeur. Sur ce sujet, on peut lire, dans Le Monde diplomatique de novembre 2003, l’article de Leïla Farsakh, « De l’Afrique du Sud à la Palestine ».
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Matrix,
Ce n'est pas moi qui le perçois comme cela, c'est l'auteur de la B.D. qui l'a conçue ainsi et qui le revendique du reste.
http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=245331
Envoyé par Frank Miller créateur des 300"J'entends souvent les gens se demander pourquoi nous avons attaqué l'Irak, par exemple. Eh bien, nous nous en prenons à une idéologie. Personne ne demande pourquoi, après Pearl Harbor, nous avons attaqué l'Allemagne nazie. C'était parce que nous étions confrontés à une forme de fascisme global, et nous faisons la même chose aujourd'hui [...] Ces gens-là coupent des têtes. Ils traitent leurs femmes en esclaves, infligent des mutilations sexuelles à leurs filles : ils ne se comportent en aucune façon selon les normes culturelles auxquelles nous sommes sensibles. Je suis en train de parler dans un micro qui n'aurait jamais pu être produit par leur culture, et je vis dans une ville où 3 000 de mes voisins ont été tués par des voleurs d'avions qu'ils n'auraient jamais pu construire eux-mêmes."
(...)
"Il me semble évident que notre pays et l'ensemble du monde occidental affronte un ennemi existentiel qui sait parfaitement ce qu'il veut... et nous nous comportons comme un empire qui s'effondre. Les cultures puissantes sont rarement conquises, elles s'effritent de l'intérieur".Envoyé par Le MondeCette obsession du choc des civilisations est également présente dans la série 300, dont la quatrième de couverture propose ce résumé : "L'armée persane – si puissante que la terre tremble sous ses pieds – s'apprête à écraser la Grèce, île de raison et de liberté, dans une mer d'obscurantisme et de tyrannie. Entre la Grèce et cette vague destructrice, il y a un petit détachement d'à peine trois cents guerriers. Mais ces guerriers sont plus que des hommes... Ce sont des Spartiates."
L'adaptation au cinéma de cette série de comics en 2006 par Zack Znyder a suscité une vague d'indignation à Téhéran, les Iraniens se sentant insultés par l'image donnée de leurs ancêtres perses, "dépeints en meurtriers sauvages, sans âme et sans retenue", comme le raconte cet article du Figaro.
Une partie de la presse occidentale a elle aussi dénoncé un spectacle "belliqueux, raciste et inspiré d'une idéologie nauséabonde". "Pour une partie du public américain, ce film représente une revanche sur le 11-Septembre, une manière d'affirmer la supériorité des Etats-Unis sur les hordes islamiques qui menacent la civilisation", affirme le blog Nouvelles d'Orient du Monde Diplomatique.
Frank Miller se réclame fréquemment de la tradition propagandiste des comics, flagrante pendant la seconde guerre mondiale, pour justifier des choix narratifs de plus en plus binaires. Une régression idéologique et artistique difficile à comprendre concernant celui qui reste l'un des plus grands novateurs du genre. Un retour à la caricature surprenant pour cet auteur qui n'a eu de cesse d'explorer l'ambiguïté de l'âme humaine, la frontière chancelante entre le bien et le mal et la part d'ombre des justiciers solitaires.Dernière modification par Dandy, 28 juillet 2012, 21h25.
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