Casablanca, l’année du bac. L’insouciance de la jeunesse dorée marocaine et tous ses excès : courses de voitures, amitiés, musiques, alcool, mais aussi l’angoisse de passer à l’âge adulte. "Marock" comme un Maroc que l’on ne connaît pas, à l’image de celui de Rita, 17 ans, qui se heurte aux traditions de son pays.
En vivant sa première histoire d’amour, elle va se confronter aux contradictions de son milieu, de sa famille et surtout de son grand frère pour qui l’avenir passe par un retour aux valeurs traditionnelles. Tel est le synopsis du film Marock de Leila Merrakchi, qui a fait couler beaucoup d’encre. La polémique avait commencé lors de la diffusion de ce métrage durant la huitième édition du festival du film à Tanger...Un film qu’on devrait « interdire »
Certains sont offusqués, meurtris, blessés par le fait qu’une jeune “musulmane ait une aventure sexuelle avec un juif”. Quelle bassesse ! Comme si cela ne devait pas avoir lieu et, pire encore, comme si cela ne correspondait pas à la réalité. Combien de musulmans ont couché avec des non musulmanes et vice-versa ? Cette ségrégation sexuelle revêt des aspects dangereux quand elle est sous-tendue par des arguments, soi-disant, idéologiques. La haine raciale apparaît, là, dans toute sa splendeur et tous les mensonges sur la tolérance d’une certaine tranche de “l’intelligentsia” marocaine se révèlent sans ce filtre hypocrite et machiavélique à double tranchant
source la gazette
En vivant sa première histoire d’amour, elle va se confronter aux contradictions de son milieu, de sa famille et surtout de son grand frère pour qui l’avenir passe par un retour aux valeurs traditionnelles. Tel est le synopsis du film Marock de Leila Merrakchi, qui a fait couler beaucoup d’encre. La polémique avait commencé lors de la diffusion de ce métrage durant la huitième édition du festival du film à Tanger...Un film qu’on devrait « interdire »
Certains sont offusqués, meurtris, blessés par le fait qu’une jeune “musulmane ait une aventure sexuelle avec un juif”. Quelle bassesse ! Comme si cela ne devait pas avoir lieu et, pire encore, comme si cela ne correspondait pas à la réalité. Combien de musulmans ont couché avec des non musulmanes et vice-versa ? Cette ségrégation sexuelle revêt des aspects dangereux quand elle est sous-tendue par des arguments, soi-disant, idéologiques. La haine raciale apparaît, là, dans toute sa splendeur et tous les mensonges sur la tolérance d’une certaine tranche de “l’intelligentsia” marocaine se révèlent sans ce filtre hypocrite et machiavélique à double tranchant
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