C’est la deuxième fois que Michael Haneke me contraint à ronger tous mes ongles pendant un film. La première, c’était avec Caché. La seconde, aujourd’hui, avec Funny Games U.S., une histoire de la violence ordinaire qui fait inévitablement rappeler Orange Mécanique, avec en prime la justesse d’un thriller de Cronenberg.
Un malaise insupportable du début jusqu’à la fin, émaillé de quelques saillies théoriques tout aussi agaçantes ; Brecht et Aristote se sont rarement livré un combat aussi acharné dans un film (identification/distanciation).
La bande-annonce est nulle, c'est tout ce que j'ai trouvé.
Un malaise insupportable du début jusqu’à la fin, émaillé de quelques saillies théoriques tout aussi agaçantes ; Brecht et Aristote se sont rarement livré un combat aussi acharné dans un film (identification/distanciation).
La bande-annonce est nulle, c'est tout ce que j'ai trouvé.
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