Après l’énorme succès qu’ont connu les Pucci, la maison d’édition Ciné Kabyle lance le film en dessin animé de Mark Osborne et John Stevenson Panda Kung Fu en adaptation kabyle intitulé Qezbul.
Le succès phénoménal que rencontrent les films étrangers adaptés en kabyle, pousse davantage les maisons d’édition à s’orienter vers ce genre de production.
Qezbul est le dernier film adapté par les auteurs de les Pucci 3, Smaïl Saïd Lhadj et Abdenour Saïd Lhadj. De ce fait, la population kabyle, surtout les passionnés des arts martiaux, auront l’occasion d’apprécier cet oeuvre dont les DVD sont sur les backs depuis ce dimanche.
Le film raconte l’histoire d’un panda particulièrement gourmand, du nom de Qezbul, qui est décidément trop paresseux pour se lancer dans la pratique du Kun Fu, toutefois sa région se trouve sous la menace de l’un des plus cruels guerriers qui s’est échappé de prison. Le panda découvre qu’il peut convertir ses prétendues faiblesses en un avantage certain, alors il essaye d’apprendre quelques rudiments en matière d’arts martiaux pour, enfin devenir un maître du Kung Fu.
L’adaptation de ce film ainsi que de Chikh Abaali et Thaghilast..., tiennent compte des spécificités régionales avec un langage accessible à tous, et donnent l’impression que les événements de ces films se déroulent dans les forêts de Kabylie.
Selon le scénariste qui a adapté le texte de ce film en kabyle, Smaïl Saïd Lhadj, le choix d’adaptation des filme étrangers n’est pas fait seulement à des fins commerciales mais, surtout, pour promouvoir la langue Amazigh : «on veut démentir l’idée qui dit que la langue Amazigh est en voie de disparition, en effet on adapte les plus grands films récents en Kabyle en utilisant un langage contemporain et rendre, ainsi, la langue Amazigh plus vivante est moderne ». Concernant le problème du piratage que connaît ce genre de productions, l’interlocuteur a tenu à préciser que : « On est des professionnels, avant d’adapter le film Kung Fu panda on a d’abord eu l’autorisation officielle de l’entreprise productrice du film Dream Works. De plus, on a des attestations du ministère de la culture en tant qu’auteurs d’oeuvres dramatiques ».
L’auteur de Qezbul affirme, aussi, qu’il envisage d’adapter prochainement Scoubidou et Dragon, le premier édité par Walt Disney et le deuxième par Dream works.
Ces initiatives, qui portent sur l’adaptation des filme étrangers en kabyle, est une action militante pour sauvegarder la langue Amazigh, préserver les spécificités kabyle et surtout pour faire face à la globalisation et à l’invasion des cultures étrangères.
Par la Dépêche de Kabylie
Le succès phénoménal que rencontrent les films étrangers adaptés en kabyle, pousse davantage les maisons d’édition à s’orienter vers ce genre de production.
Qezbul est le dernier film adapté par les auteurs de les Pucci 3, Smaïl Saïd Lhadj et Abdenour Saïd Lhadj. De ce fait, la population kabyle, surtout les passionnés des arts martiaux, auront l’occasion d’apprécier cet oeuvre dont les DVD sont sur les backs depuis ce dimanche.
Le film raconte l’histoire d’un panda particulièrement gourmand, du nom de Qezbul, qui est décidément trop paresseux pour se lancer dans la pratique du Kun Fu, toutefois sa région se trouve sous la menace de l’un des plus cruels guerriers qui s’est échappé de prison. Le panda découvre qu’il peut convertir ses prétendues faiblesses en un avantage certain, alors il essaye d’apprendre quelques rudiments en matière d’arts martiaux pour, enfin devenir un maître du Kung Fu.
L’adaptation de ce film ainsi que de Chikh Abaali et Thaghilast..., tiennent compte des spécificités régionales avec un langage accessible à tous, et donnent l’impression que les événements de ces films se déroulent dans les forêts de Kabylie.
Selon le scénariste qui a adapté le texte de ce film en kabyle, Smaïl Saïd Lhadj, le choix d’adaptation des filme étrangers n’est pas fait seulement à des fins commerciales mais, surtout, pour promouvoir la langue Amazigh : «on veut démentir l’idée qui dit que la langue Amazigh est en voie de disparition, en effet on adapte les plus grands films récents en Kabyle en utilisant un langage contemporain et rendre, ainsi, la langue Amazigh plus vivante est moderne ». Concernant le problème du piratage que connaît ce genre de productions, l’interlocuteur a tenu à préciser que : « On est des professionnels, avant d’adapter le film Kung Fu panda on a d’abord eu l’autorisation officielle de l’entreprise productrice du film Dream Works. De plus, on a des attestations du ministère de la culture en tant qu’auteurs d’oeuvres dramatiques ».
L’auteur de Qezbul affirme, aussi, qu’il envisage d’adapter prochainement Scoubidou et Dragon, le premier édité par Walt Disney et le deuxième par Dream works.
Ces initiatives, qui portent sur l’adaptation des filme étrangers en kabyle, est une action militante pour sauvegarder la langue Amazigh, préserver les spécificités kabyle et surtout pour faire face à la globalisation et à l’invasion des cultures étrangères.
Par la Dépêche de Kabylie