Il s'agit d'une photo que j'ai trouvé sur une des collections du Figaro Magazine, mais je la mets dans la rubrique cinéma parce qu'elle me rappelle un film botswanais que j'ai adoré, Les dieux sont tombés sur la tête ! La ressemblance de ce Bochiman avec celui du film m'a vraiment frappé. Connaissez vous ce film ? L'histoire de cette tribu isolée vivant au tréfonds du Kalahari ? Si ce n'est pas le cas, je vous conseille vivement de le voir.
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The Gods must be crazy !
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The Gods must be crazy !
Il s'agit d'une photo que j'ai trouvé sur une des collections du Figaro Magazine, mais je la mets dans la rubrique cinéma parce qu'elle me rappelle un film botswanais que j'ai adoré, Les dieux sont tombés sur la tête ! La ressemblance de ce Bochiman avec celui du film m'a vraiment frappé. Connaissez vous ce film ? L'histoire de cette tribu isolée vivant au tréfonds du Kalahari ? Si ce n'est pas le cas, je vous conseille vivement de le voir.-
Ce n’est pas un homme, c’est un champignon.
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La légende de la photo :
A chaque chasseur son animal : les Occidentaux utilisent le chien ou le faucon, les Kirghiz, l’aigle... les Bochimans, eux, ont leur guépard pour attraper gazelles ou antilopes. Ce félin, qui a un caractère suffisamment «doux» pour être domestiqué et dont les pointes de vitesse atteignent 110 km/h, est toujours un parfait accompagnateur pour ce peuple d’Afrique australe. Derniers représentants (avec les Pygmées) de la civilisation de la chasse à l’arc, les Bochimans ont su nouer une relation ancestrale avec les animaux qui les entourent. Marginalisée au Botswana, chassée de ses terres d’origine, cette ethnie nomade est en voie d’extinction. Comme son animal de chasse favori... (Martin Harvey/BIOSPHOTO)
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Ce n’est pas un homme, c’est un champignon.
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