Tweet
Omar Fetmouche, dramaturge, metteur en scène et directeur du Théâtre régional de Béjaïa, était l’invité du mois de la rencontre mensuelle “Parole aux artistes”, coïncidant aussi avec la Journée mondiale du théâtre…..en parlant de ses projet il évoque une pièce théâtrale en hommage à Matoub qui sera bientôt jouée sur les planches.
====
Durant trois heures de temps, la salle Petit théâtre de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri, a vécu au rythme d’un débat très fructueux, où le conférencier a parlé pratiquement de tout, de la production théâtrale en Algérie, de la place du théâtre, de la crise qu’a vécu cet art, du théâtre pour enfants
La rencontre mensuelle “Parole aux artistes”, a tenu toutes ses promesses pour ce mois de mars, coïncidant avec la Journée mondiale du théâtre, l’invité du mois était, bien sûr, un homme de théâtre.
Il s’appelle Omar Fetmouche, dramaturge, metteur en scène et directeur du Théâtre régional de Béjaïa, devant une assistance nombreuse, composée essentiellement d’artistes et du public théâtral, Slimane Belharat a fait une petite présentation de l’invité, avant de lui céder la parole pour qu’il s’étale davantage sur les différentes phases de sa carrière.
Fetmouche parle alors de ses débuts dans le quatrième art remonte aux années 80 à Bordj Menaïel, une localité réputée dans ce domaine, il a évoqué ses nombreuses productions et représentations, ses participations aux différentes manifestations culturelles.
Le metteur en scène nous a fait faire un voyage dans le temps pour remémorer sa rencontre avec un grand monument, Kateb Yacine en l’occurrence, il a évoqué aussi des souvenirs lointains du café Le Montagnard de Bordj Menaïel où cet endroit constituait, à l’époque, une escale pour des dizaines d’artistes, notamment Enrico, Kateb, Alain Delon et beaucoup d’autres.
Durant trois heures de temps, la salle Petit théâtre de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri, a vécu au rythme d’un débat très fructueux, où le conférencier a parlé pratiquement de tout, de la production théâtrale en Algérie, de la place du théâtre, de la crise qu’a vécue cet art, du théâtre pour enfants sur lequel il a beaucoup insisté vu son importance, il a exhorté les animateurs d’aujourd’hui à faire la différence entre le théâtre pour enfants et le théâtre scolaire, comme il a mis en garde contre toute utilisation non-conforme de ce genre qui est très sensible.
Quant à ses projets d’avenir, Fetmouche parle de plusieurs projets en chantier avec le Théâtre régional de Béjaïa, notamment une pièce en hommage à Matoub qui sera bientôt jouée sur les planches.
Tout au long de cette rencontre, Saïd Kellas, un invité surprise, connu pour son humour a émerveillé l’assistance par des petits numéros et des répliques, ce dernier a été très applaudi par le public.
De leur côté les étudiants du département d’anglais de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou ont eu droit à une séquence de représentation de leur show en anglais, très apprécié aussi par les présents.
A rappeler enfin, que cette série de rencontres mensuelles, présentée par le dynamique Slimane Belharat, autour des thèmes culturels et artistiques a rencontré un franc succès auprès du public qui a soif de ce genre d’activités.
- La dépêche de Kabylie
====
Durant trois heures de temps, la salle Petit théâtre de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri, a vécu au rythme d’un débat très fructueux, où le conférencier a parlé pratiquement de tout, de la production théâtrale en Algérie, de la place du théâtre, de la crise qu’a vécu cet art, du théâtre pour enfants
La rencontre mensuelle “Parole aux artistes”, a tenu toutes ses promesses pour ce mois de mars, coïncidant avec la Journée mondiale du théâtre, l’invité du mois était, bien sûr, un homme de théâtre.
Il s’appelle Omar Fetmouche, dramaturge, metteur en scène et directeur du Théâtre régional de Béjaïa, devant une assistance nombreuse, composée essentiellement d’artistes et du public théâtral, Slimane Belharat a fait une petite présentation de l’invité, avant de lui céder la parole pour qu’il s’étale davantage sur les différentes phases de sa carrière.
Fetmouche parle alors de ses débuts dans le quatrième art remonte aux années 80 à Bordj Menaïel, une localité réputée dans ce domaine, il a évoqué ses nombreuses productions et représentations, ses participations aux différentes manifestations culturelles.
Le metteur en scène nous a fait faire un voyage dans le temps pour remémorer sa rencontre avec un grand monument, Kateb Yacine en l’occurrence, il a évoqué aussi des souvenirs lointains du café Le Montagnard de Bordj Menaïel où cet endroit constituait, à l’époque, une escale pour des dizaines d’artistes, notamment Enrico, Kateb, Alain Delon et beaucoup d’autres.
Durant trois heures de temps, la salle Petit théâtre de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri, a vécu au rythme d’un débat très fructueux, où le conférencier a parlé pratiquement de tout, de la production théâtrale en Algérie, de la place du théâtre, de la crise qu’a vécue cet art, du théâtre pour enfants sur lequel il a beaucoup insisté vu son importance, il a exhorté les animateurs d’aujourd’hui à faire la différence entre le théâtre pour enfants et le théâtre scolaire, comme il a mis en garde contre toute utilisation non-conforme de ce genre qui est très sensible.
Quant à ses projets d’avenir, Fetmouche parle de plusieurs projets en chantier avec le Théâtre régional de Béjaïa, notamment une pièce en hommage à Matoub qui sera bientôt jouée sur les planches.
Tout au long de cette rencontre, Saïd Kellas, un invité surprise, connu pour son humour a émerveillé l’assistance par des petits numéros et des répliques, ce dernier a été très applaudi par le public.
De leur côté les étudiants du département d’anglais de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou ont eu droit à une séquence de représentation de leur show en anglais, très apprécié aussi par les présents.
A rappeler enfin, que cette série de rencontres mensuelles, présentée par le dynamique Slimane Belharat, autour des thèmes culturels et artistiques a rencontré un franc succès auprès du public qui a soif de ce genre d’activités.
- La dépêche de Kabylie
Commentaire