L’humoriste français d’origine marocaine, Jamel Debbouz sera a Alger les 5 et 6 avril au TNA pour donner un spectacle ….Une partie de la recette sera offerte aux handicapés.
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En peu de temps, l’enfant qui a commencé par faire le clown dans la cité où il a passé toute sa vie, a pris une place dans les rangs des célébrités. Entre le théâtre et le cinéma, il se fait très vite remarquer par ceux qui tiennent le pouvoir culturel et artistique en France. En 1994, il interprète le rôle principal du court métrage de Nabil Ayouch, “Les pierres bleues du désert”.
L’humoriste français d’origine marocaine Jamel Debbouz donnera deux spectacles les 5 et 6 avril, au Théâtre national d’Alger.
Jamel qui a été invité par la boîte d’organisation d’évènement culturel, H2, en collaboration avec un organisme artistique français, Chaos, animera une conférence de presse en présence du célèbre DJ Abdel, le jour de son arrivée à Alger, à la salle des conférences de l’hôtel Hilton. Selon un responsable de H2, une partie de la recette du spectacle de l’humoriste sera remise à la Ligue des sports des handicapés de la wilaya d’Alger. Jamel Debbouz, ce jeune homme de 31 ans, l’aîné de quatre frères, a vécu au sein d’une famille très modeste dans la banlieue parisienne.
En peu de temps, l’enfant qui a commencé par faire le clown dans la cité, où il a passé toute sa vie, a pris une place dans les rangs des célébrités. Entre le théâtre et le cinéma, il se fait très vite remarquer par ceux qui tiennent le pouvoir culturel et artistique en France. En 1994, il interprète le rôle principal du court métrage de Nabil Ayouch, “Les pierres bleues du désert”. Il se glissera, par la suite, dans la peau d’un chroniqueur au bagout inépuisable sur Radio Nova. En même temps, il effectue une série de sketches télévisés dans “Nova Premières”, une émission télé diffusée sur la chaîne câblée Paris Première. Il se fait remarquer par Canal+ en 1997 et intégre l’émission “Nulle Part Ailleurs” avec sa rubrique “le cinéma de Jamel”. Et alors que l’émission est encore animée par Guillaume Durand, Jamel en profite pour faire des apparitions, sur le plateau, toujours plus délirantes les unes que les autres.
En 1997-1998, c’est le début de la grande gloire, Jamel est demandés partout, coup sur coup pour des comédie ; il joue dans “Les oiseaux le ciel et… ta mère !”, “Zonzon” et bien d’autres spectacles. L’humoriste séduit les fans des 4 coins des pays francophones.
En 2001, sa cassette vidéo “Jamel en scène” est vendue à 400 000 exemplaires, sa notoriété ne baisse pas d’un cran, il est toujours autant sollicité. Ses propos sont clairs sur le sujet : “Ma chronique sur Canal m’a fait naître. Mais c’est le cinéma qui me fera grandir”.Et il commence bien sur le grand écran. Après “Zonzon”, “Le ciel, les oiseaux et … ta mère”, Claude Berri fait confiance à Jamel pour le film “Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre”, où il jouera "Numéro bis". Un rôle qui lui rapportera 5 millions. Le passage à l’an 2000 a été particulier pour Jamel Debbouze. La chaîne Canal+ lui avait donné carte blanche pour animer la soirée du réveillon. Présent, dès le début de la soirée dans l’émission “Rions un peu avant la fin du monde”, il a enchaîné avec sa propre émission de 23h30 jusqu’aux 12 coups de minuit : “Jamel show”. Ici, Jamel reçoit de nombreux autres humoristes qui ont répondu favorablement à son appel. Ainsi, dans une joyeuse improvisation, il enregistrera des sketches à Paris avec Elie et Dieudonné, Alain Chabat, Bruno Solo, Ophélie Winter, certains footballeurs, et bien d’autres.
Jamel s’est fait également beaucoup connaître dans le cinéma. Il joue dans "Indigène" (2005) de Bouchareb, "Angel-A" (2005), de Luc Besson. Ce film est projeté dans 136 salles André, "She hate me" (2004), de Spike Lee Doak, "Les Clefs de bagnole" (2003), de Laurent Baffie, "La voix du chien en pâte à modeler", "Astérix et Obélix", "Mission Cléopâtre" (2001) de Alain Chabat, "La Balle" (2001), de Mathieu Kassovitz, "Que la déconne soit avec toi ! ", (2001), "L’odyssée de l’humour" , "Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain" (2000), de Jean-Pierre Jeunet Lucien et de nombreux autres.
- La dépêche de Kabylie
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En peu de temps, l’enfant qui a commencé par faire le clown dans la cité où il a passé toute sa vie, a pris une place dans les rangs des célébrités. Entre le théâtre et le cinéma, il se fait très vite remarquer par ceux qui tiennent le pouvoir culturel et artistique en France. En 1994, il interprète le rôle principal du court métrage de Nabil Ayouch, “Les pierres bleues du désert”.
L’humoriste français d’origine marocaine Jamel Debbouz donnera deux spectacles les 5 et 6 avril, au Théâtre national d’Alger.
Jamel qui a été invité par la boîte d’organisation d’évènement culturel, H2, en collaboration avec un organisme artistique français, Chaos, animera une conférence de presse en présence du célèbre DJ Abdel, le jour de son arrivée à Alger, à la salle des conférences de l’hôtel Hilton. Selon un responsable de H2, une partie de la recette du spectacle de l’humoriste sera remise à la Ligue des sports des handicapés de la wilaya d’Alger. Jamel Debbouz, ce jeune homme de 31 ans, l’aîné de quatre frères, a vécu au sein d’une famille très modeste dans la banlieue parisienne.
En peu de temps, l’enfant qui a commencé par faire le clown dans la cité, où il a passé toute sa vie, a pris une place dans les rangs des célébrités. Entre le théâtre et le cinéma, il se fait très vite remarquer par ceux qui tiennent le pouvoir culturel et artistique en France. En 1994, il interprète le rôle principal du court métrage de Nabil Ayouch, “Les pierres bleues du désert”. Il se glissera, par la suite, dans la peau d’un chroniqueur au bagout inépuisable sur Radio Nova. En même temps, il effectue une série de sketches télévisés dans “Nova Premières”, une émission télé diffusée sur la chaîne câblée Paris Première. Il se fait remarquer par Canal+ en 1997 et intégre l’émission “Nulle Part Ailleurs” avec sa rubrique “le cinéma de Jamel”. Et alors que l’émission est encore animée par Guillaume Durand, Jamel en profite pour faire des apparitions, sur le plateau, toujours plus délirantes les unes que les autres.
En 1997-1998, c’est le début de la grande gloire, Jamel est demandés partout, coup sur coup pour des comédie ; il joue dans “Les oiseaux le ciel et… ta mère !”, “Zonzon” et bien d’autres spectacles. L’humoriste séduit les fans des 4 coins des pays francophones.
En 2001, sa cassette vidéo “Jamel en scène” est vendue à 400 000 exemplaires, sa notoriété ne baisse pas d’un cran, il est toujours autant sollicité. Ses propos sont clairs sur le sujet : “Ma chronique sur Canal m’a fait naître. Mais c’est le cinéma qui me fera grandir”.Et il commence bien sur le grand écran. Après “Zonzon”, “Le ciel, les oiseaux et … ta mère”, Claude Berri fait confiance à Jamel pour le film “Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre”, où il jouera "Numéro bis". Un rôle qui lui rapportera 5 millions. Le passage à l’an 2000 a été particulier pour Jamel Debbouze. La chaîne Canal+ lui avait donné carte blanche pour animer la soirée du réveillon. Présent, dès le début de la soirée dans l’émission “Rions un peu avant la fin du monde”, il a enchaîné avec sa propre émission de 23h30 jusqu’aux 12 coups de minuit : “Jamel show”. Ici, Jamel reçoit de nombreux autres humoristes qui ont répondu favorablement à son appel. Ainsi, dans une joyeuse improvisation, il enregistrera des sketches à Paris avec Elie et Dieudonné, Alain Chabat, Bruno Solo, Ophélie Winter, certains footballeurs, et bien d’autres.
Jamel s’est fait également beaucoup connaître dans le cinéma. Il joue dans "Indigène" (2005) de Bouchareb, "Angel-A" (2005), de Luc Besson. Ce film est projeté dans 136 salles André, "She hate me" (2004), de Spike Lee Doak, "Les Clefs de bagnole" (2003), de Laurent Baffie, "La voix du chien en pâte à modeler", "Astérix et Obélix", "Mission Cléopâtre" (2001) de Alain Chabat, "La Balle" (2001), de Mathieu Kassovitz, "Que la déconne soit avec toi ! ", (2001), "L’odyssée de l’humour" , "Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain" (2000), de Jean-Pierre Jeunet Lucien et de nombreux autres.
- La dépêche de Kabylie
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