Nilesat décide la suspension de 12 chaînes satellitaires
Par : Rubrique Radar
L'entreprise égyptienne de satellites Nilesat a décidé, mardi, la suspension de 12 chaînes satellitaires, une mesure prise en raison du contenu des émissions diffusées et qui mêlent violence, haine raciale et charlatanisme. Nilesat a indiqué que cette décision s'inscrivait dans le cadre “des efforts déployés pour l'assainissement de l'espace égyptien et arabe des chaînes religieuses extrémistes et autres chaînes de charlatanisme”.
L'entreprise a également adressé des avertissements à 20 autres chaînes les sommant d'arrêter les spots publicitaires pour des produits médicaux sans autorisation des parties concernées et les fatwas présentées par des personnes incompétentes, aussi bien par téléphone, SMS ou programmes. Parmi les chaînes suspendues, la semaine dernière, figurent les quatre chaînes de l'entreprise Al Barahine (Khalidjia, Al Hafidh, Siha wa djamal et Al Nas), la chaîne Safa et Al Badr.
Certains juristes et journalistes ont dénoncé cette décision qui repose sur “des arguments illogiques”, soulignant que “le problème des autorisations” aurait pu être résolu sans recourir à cette décision.
Liberté
Par : Rubrique Radar
L'entreprise égyptienne de satellites Nilesat a décidé, mardi, la suspension de 12 chaînes satellitaires, une mesure prise en raison du contenu des émissions diffusées et qui mêlent violence, haine raciale et charlatanisme. Nilesat a indiqué que cette décision s'inscrivait dans le cadre “des efforts déployés pour l'assainissement de l'espace égyptien et arabe des chaînes religieuses extrémistes et autres chaînes de charlatanisme”.
L'entreprise a également adressé des avertissements à 20 autres chaînes les sommant d'arrêter les spots publicitaires pour des produits médicaux sans autorisation des parties concernées et les fatwas présentées par des personnes incompétentes, aussi bien par téléphone, SMS ou programmes. Parmi les chaînes suspendues, la semaine dernière, figurent les quatre chaînes de l'entreprise Al Barahine (Khalidjia, Al Hafidh, Siha wa djamal et Al Nas), la chaîne Safa et Al Badr.
Certains juristes et journalistes ont dénoncé cette décision qui repose sur “des arguments illogiques”, soulignant que “le problème des autorisations” aurait pu être résolu sans recourir à cette décision.
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