Bah voilà.. NOuvelle aventure avec le cinéma de oum_'ayyache!
Comme d’habitude je suis encore aller voir un film… enfin vous verrez bien quand vous lirez la critique… le journaliste a ecrit exactement ce que je pense de ce dechet visuel! ( je sais pas si sa ce dit, mais je le di quand meme!!! ) Je partage cette nulité avec vous.. sa evitera suremen a certaine personne de commetre l'erreur d'aller voir sa!
Ma note: 1/20 Parce que je peux pas mettre zéro!! Ce film est un perte de temps et d'argent!!!
A moins d'aimer les sourires dentifrice et les amourettes a deux sou.. FUIEZ!! FUIEZ!! FUIEZ!!!
PLAYBOY A SAISIR
Un film de Tom Dey
Avec Matthew McConaughey, Sarah Jessica Parker, Kathy Bates
Durée : 1h40
Sortie : 15 mars 2006
Imaginez un Tanguy couplé avec le triste Célibataires en version US. Mettez-y une réalisation droit sortie de MTV, des acteurs au potentiel esthétique vendeur, des clichés en veux-tu en voilà, une morale affligeante et un humour ( ?) jamais drôle. C’est Playboy à saisir… tout est dans le titre.
Tripp a tout pour plaire mais, la trentaine passée, squatte encore chez ses parents. Ces derniers engagent alors une ravissante jeune femme dont le métier est de faire tomber amoureux ces locataires attardés pour les déloger de la demeure parentale.
Les trentenaires célibataires sont à la mode ? Allez hop, Hollywood nous sert sa comédie bâclée avec sourire ultra bright, réalisation speedée et clichés à la pelle. Le « Bigger than life » américain dans ce qu’il a de plus mauvais. A commencer par des personnages tous bellâtres pour midinettes, évidemment peu crédibles en célibataires, auxquels on adjoint alors un second cliché, le drame personnel qui a traumatisé ce beau gosse et qui fait qu’il ne veut plus s’investir avec une femme… On ne vous révèlera pas la fin mais devinez quoi, ça finira très bien... grâce à la jolie jeune femme qui elle-même n’est jamais tombée amoureuse de ses « clients » et qui, ô surprise, risque bien de tomber amoureuse de celui-ci. Happy end de rigueur, pour ce pôôôvre célibataire, qui est beau (on l’a déjà dit non ?), a des parents formidables, vend des bateaux (c’est dire s’il n’a pas le sou…) et à l’occasion emmène ses chéries faire un tour en mer. C’est quand même dur la vie !
Bon, l’histoire est bâclée. Et le reste ? A l’avenant ! Dès les premières scènes, le jeu caricatural des acteurs fait grincer des dents, et on sent que l’on va perdre presque deux heures de sa vie. Car si Playboy à saisir est censé être une comédie, le problème est que l’on ne rit jamais, consterné par les clichés gros comme des couleuvres à avaler, puis par les tentatives grotesques pour déclencher l’hilarité. Si l’humour d’un jeu surjoué et dans l’excès constant convenait à un inspecteur Clouseau dont le personnage demandait ce type d’humour (en plus des talents d’acteur d’un Steve Martin, soit dit en passant), ici le réalisme se prend une seconde baffe et laisse le spectateur atterré. Alors oui, il y a bien le running gag de tous les animaux de la création qui se mettent à mordre notre célibataire malheureux, parvenant à nous faire décrocher un demi-sourire, mais c’est pour nous amener à une morale finale affligeante de bêtise, lorsque, devenu amoureux, Tripp se fait secourir par des dauphins : « il faut vivre selon les règles de la nature », autrement dit quand on est aussi beau gosse, ce n’est pas naturel d’être célibataire. Super !
Devant tant de finesse, la réalisation ne pouvait pas faire dans la dentelle. Et on n’est pas déçu ! Ayant certainement lu dans Ok Podium que les trentenaires couvaient chez leurs parents parce qu’ils restaient de grands enfants immatures, le réalisateur n’a rien trouvé de mieux que de nous passer en revue les diverses activités de ces « adulescents » comme pour étayer son propos sociologique. Donc tous les quarts d’heures, on a droit à Tripp, ses deux potes, et éventuellement la psy et sa copine, dans de véritables scènes de djeuns, avec réalisation MTV adéquate et musique rock à donf’, comme : Tripp et ses amis font du VTT, Tripp et ses amis font de la varappe, Tripp et ses amis font du paint-ball, Tripp et ses amis font du bateau, Tripp et ses amis font du basket, Tripp et ses amis font de la planche, Tripp et ses amis vont au match de base-ball, Tripp et ses amis jouent aux jeux vidéos, etc. Ad nauseam. Seule bonne nouvelle du film : à la fin, le cœur de Tripp n’est plus à prendre : il ne devrait donc pas y avoir de suite. Very Bad trip !
Comme d’habitude je suis encore aller voir un film… enfin vous verrez bien quand vous lirez la critique… le journaliste a ecrit exactement ce que je pense de ce dechet visuel! ( je sais pas si sa ce dit, mais je le di quand meme!!! ) Je partage cette nulité avec vous.. sa evitera suremen a certaine personne de commetre l'erreur d'aller voir sa!
Ma note: 1/20 Parce que je peux pas mettre zéro!! Ce film est un perte de temps et d'argent!!!
A moins d'aimer les sourires dentifrice et les amourettes a deux sou.. FUIEZ!! FUIEZ!! FUIEZ!!!

PLAYBOY A SAISIR
Un film de Tom Dey
Avec Matthew McConaughey, Sarah Jessica Parker, Kathy Bates
Durée : 1h40
Sortie : 15 mars 2006
Imaginez un Tanguy couplé avec le triste Célibataires en version US. Mettez-y une réalisation droit sortie de MTV, des acteurs au potentiel esthétique vendeur, des clichés en veux-tu en voilà, une morale affligeante et un humour ( ?) jamais drôle. C’est Playboy à saisir… tout est dans le titre.
Tripp a tout pour plaire mais, la trentaine passée, squatte encore chez ses parents. Ces derniers engagent alors une ravissante jeune femme dont le métier est de faire tomber amoureux ces locataires attardés pour les déloger de la demeure parentale.
Les trentenaires célibataires sont à la mode ? Allez hop, Hollywood nous sert sa comédie bâclée avec sourire ultra bright, réalisation speedée et clichés à la pelle. Le « Bigger than life » américain dans ce qu’il a de plus mauvais. A commencer par des personnages tous bellâtres pour midinettes, évidemment peu crédibles en célibataires, auxquels on adjoint alors un second cliché, le drame personnel qui a traumatisé ce beau gosse et qui fait qu’il ne veut plus s’investir avec une femme… On ne vous révèlera pas la fin mais devinez quoi, ça finira très bien... grâce à la jolie jeune femme qui elle-même n’est jamais tombée amoureuse de ses « clients » et qui, ô surprise, risque bien de tomber amoureuse de celui-ci. Happy end de rigueur, pour ce pôôôvre célibataire, qui est beau (on l’a déjà dit non ?), a des parents formidables, vend des bateaux (c’est dire s’il n’a pas le sou…) et à l’occasion emmène ses chéries faire un tour en mer. C’est quand même dur la vie !

Bon, l’histoire est bâclée. Et le reste ? A l’avenant ! Dès les premières scènes, le jeu caricatural des acteurs fait grincer des dents, et on sent que l’on va perdre presque deux heures de sa vie. Car si Playboy à saisir est censé être une comédie, le problème est que l’on ne rit jamais, consterné par les clichés gros comme des couleuvres à avaler, puis par les tentatives grotesques pour déclencher l’hilarité. Si l’humour d’un jeu surjoué et dans l’excès constant convenait à un inspecteur Clouseau dont le personnage demandait ce type d’humour (en plus des talents d’acteur d’un Steve Martin, soit dit en passant), ici le réalisme se prend une seconde baffe et laisse le spectateur atterré. Alors oui, il y a bien le running gag de tous les animaux de la création qui se mettent à mordre notre célibataire malheureux, parvenant à nous faire décrocher un demi-sourire, mais c’est pour nous amener à une morale finale affligeante de bêtise, lorsque, devenu amoureux, Tripp se fait secourir par des dauphins : « il faut vivre selon les règles de la nature », autrement dit quand on est aussi beau gosse, ce n’est pas naturel d’être célibataire. Super !
Devant tant de finesse, la réalisation ne pouvait pas faire dans la dentelle. Et on n’est pas déçu ! Ayant certainement lu dans Ok Podium que les trentenaires couvaient chez leurs parents parce qu’ils restaient de grands enfants immatures, le réalisateur n’a rien trouvé de mieux que de nous passer en revue les diverses activités de ces « adulescents » comme pour étayer son propos sociologique. Donc tous les quarts d’heures, on a droit à Tripp, ses deux potes, et éventuellement la psy et sa copine, dans de véritables scènes de djeuns, avec réalisation MTV adéquate et musique rock à donf’, comme : Tripp et ses amis font du VTT, Tripp et ses amis font de la varappe, Tripp et ses amis font du paint-ball, Tripp et ses amis font du bateau, Tripp et ses amis font du basket, Tripp et ses amis font de la planche, Tripp et ses amis vont au match de base-ball, Tripp et ses amis jouent aux jeux vidéos, etc. Ad nauseam. Seule bonne nouvelle du film : à la fin, le cœur de Tripp n’est plus à prendre : il ne devrait donc pas y avoir de suite. Very Bad trip !

Arnaud Olzeski
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