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Arte déprogramme un docu sur le machisme en banlieue
@ Kagermoussa:
Si on suit ton raisonnement, on ne devrait pas faire de reportage sur le racisme pour ne pas stigmatiser les blancs c'est ca?
Quant au fait de rester avec son tortionnaire, les psy appellent ca le syndrome de Stockholm, c'est une sorte de maladie et ca ne justifie en aucun cas la persecutions. Et d'apres mon experience personnelle, ce n'est pas la soeur qui demande a etre fliquee par son frere, mais c'est souvent le frere tres encourage par ses parents qui prend l'initiative.
Dernière modification par absent, 04 septembre 2010, 20h55.
le syndrome de Stockholm je croyait que cela s'appliquait au prise d'otage mais bon .. ensuite pour répondre j'ai vu les quelques extrait qui traîne sur le net .. you tube Dailymotion mais bon personne n'est dupe du contenu .. il va dans le sens de la dénonciation des Quick qui font que des menus halal.. du pseudo financement de mosquée a travers la commercialisation de viande halal.
Quand au sujet des "femmes" de banlieues c'est du recuit .. ont a eut le droit a la récupération du fait divers tragique de Sohane.... de la monté de l'association "ni pu..ni soumisses" ,malgré la famille de Sohane qui a lancé des appels pour l'arret de l'exploitation politique de leur drame .
De l'arrivé a Fadela Amara a un poste de secrétaire d’état , comme quoi le combat "féministe" orienté sa paye.
Ensuite oui on peut faire des reportage sur le racisme mais pas présenté le pire imbécile frontiste comme le représentant de l’opinion publique , pour peut qu'une opinion publique existe effectivement , et le symbole de la France .. ce serait pour le moins réducteur.
Ensuite évidement que personne n'a envie de ce faire fliquer , a moins d’être maso , mais vivant dans une culture ou le mariage est LE but de toute jeune femme et l'obsession de toute mère , j’exagère a peine , la pression mise pour "mettre toute les chance de son coté" est importante .
Même si fliquer ne sert a rien , juste a montrer qu'ont a des "valeurs" et qu'ont est "respectable".
Le syndrome de Stockholm ne s'applique pas qu'aux prises d'otages. Des prisonniers politiques ont meme developpe une sorte d'amour pour leur tortionnaire dans certaines dictatures.
Et ce n'est pas parce qu'on dit qu'il y a des problemes dans le rapport aux femmes dans les banlieues que c'est du racisme. Pour moi, on peut parler des problemes rencontrees chez des minorites ethniques sans etre raciste.
oui en meme temps je pense pas que ce reportage soit une étude ethnologique ...avec toute la rigueur scientifique que cela sous entendrait.
C'est juste une exploitation d'un "thème porteur" , qui touche les femmes .. qui parle d'un endroit objet de tout les fantasme "le quartier difficile de banlieue"... d'une population objet de toute les suspicions, les "arabes"...et qui devant faire court va donner dans tout les raccourcis et tout les clichés.
il va dans le sens de la dénonciation des Quick qui font que des menus halal.. du pseudo financement de mosquée a travers la commercialisation de viande halal.
Un reportage qui parle d'un sujet précis et tu vois des Quick, du hallal et des mosquées... Tu serais pas un peu parano ?
Ensuite oui on peut faire des reportage sur le racisme mais pas présenté le pire imbécile frontiste comme le représentant de l’opinion publique , pour peut qu'une opinion publique existe effectivement , et le symbole de la France .. ce serait pour le moins réducteur.
Indique-moi ce qui te fait croire que le reportage veut donner une représentation de l'opinion publique, juste pour te suivre dans ton raisonnement.
(Paranoïa, paranoïa quand tu nous tiens...)
mais vivant dans une culture ou le mariage est LE but de toute jeune femme et l'obsession de toute mère ,
Le mariage n'est pas un but dans notre culture, c'est une obligation.
Ma mère avait un but mais la société machiste dans laquelle elle vivait lui a gentillement ri au nez...
Même si fliquer ne sert a rien , juste a montrer qu'ont a des "valeurs" et qu'ont est "respectable".
Quand on a des valeurs et qu'on est respectable, on a ni le besoin d'être fliqué ni le besoin de fliquer.
Dernière modification par Lenasia, 05 septembre 2010, 04h50.
parce que pour reprendre une réplique célèbre ... la question n'est pas d’être paranoïaque ou pas c'est juste de savoir si il n'est pas trop tard pour cela .
Maintenant comme je le précise "pour peut qu'une opinion publique existe" je crois pas en cet idée d'opinion publique" .. l'opinion publique n'existe pas a mon sens et tout ce que l'ont peut déterminer c'est une opinion x a un moment y et le matraquage médiatique peut entretenir un climat .. .
Evidement quand j'estimait que le mariage etait le but de toute jeune femme j'éxagerais un peut le trait , d'ailleur je l'ai indiqué, et j'espere bien que les jeunes femmes ont des buts aussi d'épanouissement personnel ... autre que le mariage
Ensuite nous somme les fruits de notre milieu et si tout le monde avait la force de faire abstraction des pression exercé par le groupe pour se determiner de maniere individuel nous serions reelement libre.. plus que des hommes ..des "sur hommes".
Jeudi 16 décembre 2010 | Posté par Anouar Boukra | Partager
Des documentaristes et responsables associatifs ont dénoncé mercredi à Paris les partis pris d’un documentaire polémique, tourné à la cité Balzac de Vitry-sur-Seine et diffusé le 29 septembre sur Arte. [IMG]http://yahoo.bondy********/wp-content/uploads/2010/12/Anouar.citédumâle-300x176.jpg[/IMG]Point de départ : « La cité du mâle », diffusée le 29 septembre sur Arte. Un documentaire sur le « sexisme » des garçons vis-à-vis des filles au cœur de la cité Balzac de Vitry-sur-Seine, où une jeune fille, Sohane, a été brûlée vive en 2002. Le film de la réalisatrice Cathy Sanchez avait fait l’objet d’une polémique avant même sa diffusion. La chaîne l’avait déprogrammé dans un premier temps face à des réactions d’hostilité de personnes qui avaient pris part à son tournage.
Hier une conférence de presse menait la charge contre le documentaire. Tenue à la Maison des associations du 3e arrondissement de Paris par Denis Gheerbrant, membre de l’Association des cinéastes documentaristes (ADDOC) et de la Société des réalisateurs de films (SRF), Daniel Kupferstein, membre de l’ADDOC également ; Assia, étudiante et habitante de la cité Balzac, Didier N’Diaye, directeur d’un centre de quartier, Khoukha Zeghdoudi, coordinatrice du Centre social Balzac, et Ladji Real, réalisateur, auteur d’un documentaire présenté comme une « contre-enquête » à « La cité du mâle » et dont des extraits ont été diffusés devant l’assistance. La critique porte sur le traitement des banlieues par la télévision publique française.
Le constat dressé par ces protagonistes est accablant. En effet, il y aurait « une dictature nouvelle de la télé » et « une fabrication artificielle de la France » entretenue par les chaînes. En 2002, à l’approche des élections présidentielles, on a pu assister sur nos petits écrans à une augmentation des reportages sur l’insécurité, notamment en banlieue. Aujourd’hui, à un an et demi de l’échéance présidentielle de 2012, on est bien parti pour revivre la même chose, dénoncent les intervenants de la conférence de presse. « Un fait divers devient un fait de société. » Des mots fusent : discrimination, amalgame, mensonge, mépris, méfiance, manipulation…
« La cité du mâle » : overdose de clichés sur les mecs de cités. Telle est la lecture faite de ce film par les cinéastes documentaristes et les responsables associatifs réunis hier à la Maison des associations du 3e. Le contre-documentaire de Ladji Real se veut un démontage du « docu-drama » de Cathy Sanchez. Le réalisateur est allée à la rencontre des ces garçons et de ces filles qui sont interrogés dans « La cité du mâle ». « Rachid joue lui aussi le pater familias à la maison, son père est mort il y a 19 ans et depuis sa mère lui laisse les rênes à la maison », dixit la voix-off dans la « version » Sanchez. Or, si les calculs sont bons, la mère de Rachid aurait laissé le pouvoir à Rachid alors que celui-ci n’avait que 6 ans…
Les propos d’Imène et Melissa, qui « s’habillent à la bonhomme pour avoir la paix », ont été sortis « de leur contexte ». Okito, l’aîné d’une famille de cinq enfants, voit régulièrement son père alors que « La cité du mâle » dit le contraire. Dans la salle, beaucoup de personnes acquises à la cause du jour et quelques journalistes. On se prend à rire face aux extraits, qui, sur le mode du démenti ou de la nuance, tourne en ridicule le travail de la réalisatrice diffusé sur Arte.
La conférence de presse tourne très vite à un débat quasi unilatéral. Un élu de Vitry-sur-Seine défend la réputation de sa ville. « Le soir de la diffusion de « La cité du mal », j’aurais eu Daniel Leconte (le producteur des Thema sur Arte, ndlr) en face de moi, je lui aurais mis un coup », dit-il. On peut quand même s’interroger sur la « contre-enquête » de Ladji Real. Pourquoi s’interroger ? Parce qu’on en n’a vu que des extraits. Deux mois et demi après la diffusion de « La cité du mâle », on nous vend un reportage qui cherche le buzz, dont le montage n’est même pas fini.
Une conférence de presse et un documentaire « contre-enquête », qui, par leur aspect précipité, donnent à penser que c’est davantage le coup médiatique et politique qui a été privilégié hier. Quand on prétend critiquer professionnellement le travail d’un autre, on s’attache à présenter une « copie » définitive et non une bande-annonce. A propos de vente, un intervenant de la conférence de presse a même fait la promo de son album de rap. Rien à voir avec le sujet du jour.
Ces reportages tentant de comprendre le réel des banlieues mais trop souvent protéinés aux fantasmes, nous les connaissons depuis ceux du « Droit de savoir » de TF1, et on ne nous a jamais rien proposé de bien potable jusqu’à « Go fast connexion », le documentaire de Ladj Ly où Charles Villeneuve, le « méchant » du « Droit de savoir », bon joueur, fait de l’autodérision. Pourquoi attendre qu’Arte présente un docu-drama pour entreprendre quelque chose de pas fini ? Même la conférence de presse, hier, était castée.
Anouar Boukra
Encore une instrumentalisation commandée par le pouvoir...à l'approche de 2012, a vous de juger! Documentaire déprogrammé sur Arte: la fixeuse contredit la production
A une heure de la diffusion, le 31 août, Arte avait déprogrammé le documentaire. «La Cité du mâle» devait être diffusé dans le cadre d'une soirée consacrée aux violences faites aux femmes. Une série d'interviews choc de jeunes d'une cité de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), qui parlent de leur vision des relations hommes-femmes. La chaîne expliquait que des «protagonistes» se sentaient «en danger». La production et la réalisatrice évoquaient l'intervention d'une fixeuse (intermédiaire entre le terrain, dont il est originaire, et les journalistes qui enquêtent, ndlr).«Elle a demandé à voir le film en milieu d'après-midi. Après 5 mn de diffusion, elle a été prise de panique. Elle nous a dit qu'elle avait des enfants, une famille, qu'elle avait peur», rapportait Daniel Leconte, président de la société Doc en Stock, co-productrice de la soirée Théma. «Désaccord éditorial»
«Cette fixeuse s'est dite menacée de mort par la seule et unique personne dont nous n'avions pas obtenu l'autorisation de diffusion à visage découvert. Pour les autres, nous avons toutes les autorisations de diffusion. La fixeuse les connaissait tous, c'est elle qui nous les a présentés. Elle était là quand ils ont tenu les propos qu'on entend dans le film», ajoutait Cathy Sanchez, la réalisatrice. La fixeuse en question donne une tout autre version. Nabila Laïb, journaliste et collaboratrice du Point et de TF1, nie avoir fait l'objet de menaces. Elle parle, sur lefigaro.fr, d'un «désaccord éditorial». «La Cité du mâle est un reportage instrumentalisé et bidonné», affirme-t-elle au figaro.fr. «Questions provocantes»
«Elle a choisi parmi les témoins ceux qui collait à l'histoire qu'elle avait écrite au préalable, poursuit-elle sur le site. C'était de très longues interviews pour des jeunes qui ne sont pas rôdés aux journalistes. Elle voulait leur faire dire des choses. Elle voulait un jeune qui frappe les filles alors elle lui a posé des questions provocantes comme "que se passerait-il si tu trouvais ta copine au lit avec un mec?", alors oui il a répondu qu'il lui mettrait une baffe».
Sur telerama.fr, Nabila Laïb affirme avoir signé pour être «co-auteure avec Cathy Sanchez, en étant associée entièrement, de la réalisation au montage». Elle se plaint d'avoir été écartée lors de cette dernière étape. «Nous ne l'avons pas associée, mais rien ne nous y obligeait»,affirmait Cathy Sanchez le 2 septembre à liberation.fr. Dans un communiqué, ce mercredi, la réalisatrice juge l'accusation de Nabila Laïb «grave et inadmissible». La réalisatrice se réserve «le droit de poursuites dans le but de rétablir la vérité».
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