Le cinéma, c'est comme la littérature. Les meilleurs films ne sont pas forcément ceux qu'on trouve à l'entrée du magasin dans la plus chic et la plus brillante des éditions. Ce sont peut-être des films rares, des films qu'on ne voit plus, mais qu'on devrait voir au moins une fois dans sa vie. C'est le cas de "Beignets de Tomates Vertes" ou "Fried Green Tomatoes"
Evelyn est une femme très ordinaire qui s'approche de la quarantaine et suit des séances d'éducation pour apprendre à plaire à son mari, une tâche d'autant plus difficile que ce dernier ne s'intéresse qu'aux matchs de base-ball de son équipe préférée. Pendant les visites fréquentes que le couple fait à l'une de leurs proches dans une maison de repos, Evelyn fait la connaissance de Ninny, une vieille femme complètement abandonnée mais pleine de vie et de tendresse. Celle-ci lui raconte l'histoire d'Idgie. Une jeune fille blonde et pétillante, une sorte de Tom Sawyer au féminin. Idgie grandit avec son amie, Ruth, jusqu'à ce que celle-ci épouse l'un de ses cousin. Cependant, Idgie ne s'éloigne pas de son amie et finit par la sauver d'un mari violent et haineux. Les deux filles partent, avec un ami à Idgie, construire un café qui se fera connaître pour sa spécialité: les beignets aux tomates vertes. Mais le mari de Ruth reviendra chercher son fils, sous le costume d'un Klu Klux Klan...
L'histoire démarre sur une réplique qui nous frappe: "Il arrive qu'un coeur est brisé, mais il continue à battre quand même.". On est accroché à cette Evelyn qui vit constamment dans l'envie de faire plaisir à son mari, de le pousser à la regarder enfin avec des yeux d'amoureux, et qui est presque proche du désespoir. Jusqu'au jour où elle rencontre cette octogénaire qui changera à jamais sa vie. On entre ensuite dans l'histoire d'Idgie, une histoire aux parfums du Sud, au goût amer de la discrimination raciale, et au son du blues et du jazz dans son berceau. Une histoire inoubliable d'espoir, d'amitié et de tolérance.
Je donnerai à ce film une note que je donne rarement: 10/10

Une photo des ladies du film:
1_ Evelyn
2_ Ninny
3_ Idgie
4_ Ruth
"A charge to keep I have", de la BO du film
Evelyn est une femme très ordinaire qui s'approche de la quarantaine et suit des séances d'éducation pour apprendre à plaire à son mari, une tâche d'autant plus difficile que ce dernier ne s'intéresse qu'aux matchs de base-ball de son équipe préférée. Pendant les visites fréquentes que le couple fait à l'une de leurs proches dans une maison de repos, Evelyn fait la connaissance de Ninny, une vieille femme complètement abandonnée mais pleine de vie et de tendresse. Celle-ci lui raconte l'histoire d'Idgie. Une jeune fille blonde et pétillante, une sorte de Tom Sawyer au féminin. Idgie grandit avec son amie, Ruth, jusqu'à ce que celle-ci épouse l'un de ses cousin. Cependant, Idgie ne s'éloigne pas de son amie et finit par la sauver d'un mari violent et haineux. Les deux filles partent, avec un ami à Idgie, construire un café qui se fera connaître pour sa spécialité: les beignets aux tomates vertes. Mais le mari de Ruth reviendra chercher son fils, sous le costume d'un Klu Klux Klan...
L'histoire démarre sur une réplique qui nous frappe: "Il arrive qu'un coeur est brisé, mais il continue à battre quand même.". On est accroché à cette Evelyn qui vit constamment dans l'envie de faire plaisir à son mari, de le pousser à la regarder enfin avec des yeux d'amoureux, et qui est presque proche du désespoir. Jusqu'au jour où elle rencontre cette octogénaire qui changera à jamais sa vie. On entre ensuite dans l'histoire d'Idgie, une histoire aux parfums du Sud, au goût amer de la discrimination raciale, et au son du blues et du jazz dans son berceau. Une histoire inoubliable d'espoir, d'amitié et de tolérance.
Je donnerai à ce film une note que je donne rarement: 10/10

Une photo des ladies du film:
1_ Evelyn
2_ Ninny
3_ Idgie
4_ Ruth
"A charge to keep I have", de la BO du film
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