Bonjour people
J'ai fais une découverte cette semaine sur ARTE, le cycle des films japonnais, j'ai adoré les films que j'ai vu, on y retrouve la culture ancestrale et respectée des Samouraïs.
le premier film que j'ai raté est d'Akira Kurosawa
« Les sept samouraïs »
le deuxième que j'ai raté Amour et combats dans le Japon féodal, avec l'illustre acteur de kabuki Somegoro Ichikawa.
« Le samouraï que j'aimais » de Mitsuo Kurotsuchi
Ceux que j'ai vu , j'ai adoré, excellents, à l'image de leur réputation.
leurs contes sont magiques et magnifiquement racontés
« Le samouraï du crépuscule » de Yoji Yamada
« Tabou » de Nagisa Oshima (a voir, une histoire bien sombre)
le lieutenant Toshizo Hijikata sélectionnent les nouvelles recrues de la milice de samouraïs du Shinsengumi, chargée de protéger le shogun (le chef militaire du Japon). Les candidats doivent affronter le meilleur guerrier de la milice. Seuls deux hommes sont retenus après avoir remporté haut la main cette épreuve : Hyozo Tashiro, samouraï de rang inférieur, et Sozaburo Kano, fils de notable à la beauté envoûtante. Tashiro s'éprend immédiatement de Kano. Mais il n'est pas le seul à se consumer de désir pour l'éphèbe...
« Ichi - La femme samouraï » de Fumihiko Sori
Quand je vois ce genre de films, je remarque que c'est le seul peuple qui soit fier de leurs femmes, même qu'ils les mettent sur un piédestal inégalable. si toutes les femmes pouvaient faire ça
Dans le Japon médiéval, Ichi est une jeune orpheline, aveugle de naissance, qui gagne sa vie en jouant de la musique de village en village. Mais derrière ses airs fragiles se cache un tempérament guerrier. La jeune fille possède notamment un talent exceptionnel dans l'art de manier le sabre, arme qu'elle dissimule dans son bâton de marche. Bandits, yakuzas... : tous ceux qui se mettent sur son chemin finissent en petits morceaux. Un jour, elle sauve la vie d'un samouraï errant aux prises avec le redoutable clan Banki...
et hier j'ai vu le premier épisode de la série
« Kozure Ôkami » de Kazuo Koike et Goseki Kojima
Directement adapté d'un manga en vingt-huit volumes de Kazuo Koike et Goseki Kojima (vendu à plus de 8 millions d'exemplaires), Kozure Ôkami met en scène un héros dans la pure lignée japonaise : invincible, mais dont le coeur est aussi tourmenté que son sabre est froid et implacable. C'est Kenji Misumi, grand nom du "film de sabre japonais", qui a réalisé les quatre premiers opus de cette saga. Beauté des combats, pureté de l'exécution (de l'art de dégainer et de tuer en un seul geste !), geysers de sang, mélodies envoûtantes et fiévreuses... : un choc visuel et narratif qui a profondément influencé le Tarantino de Kill Bill.
J'ai fais une découverte cette semaine sur ARTE, le cycle des films japonnais, j'ai adoré les films que j'ai vu, on y retrouve la culture ancestrale et respectée des Samouraïs.
le premier film que j'ai raté est d'Akira Kurosawa
« Les sept samouraïs »
le deuxième que j'ai raté Amour et combats dans le Japon féodal, avec l'illustre acteur de kabuki Somegoro Ichikawa.
« Le samouraï que j'aimais » de Mitsuo Kurotsuchi
Ceux que j'ai vu , j'ai adoré, excellents, à l'image de leur réputation.
leurs contes sont magiques et magnifiquement racontés
« Le samouraï du crépuscule » de Yoji Yamada
« Tabou » de Nagisa Oshima (a voir, une histoire bien sombre)
le lieutenant Toshizo Hijikata sélectionnent les nouvelles recrues de la milice de samouraïs du Shinsengumi, chargée de protéger le shogun (le chef militaire du Japon). Les candidats doivent affronter le meilleur guerrier de la milice. Seuls deux hommes sont retenus après avoir remporté haut la main cette épreuve : Hyozo Tashiro, samouraï de rang inférieur, et Sozaburo Kano, fils de notable à la beauté envoûtante. Tashiro s'éprend immédiatement de Kano. Mais il n'est pas le seul à se consumer de désir pour l'éphèbe...
« Ichi - La femme samouraï » de Fumihiko Sori
Quand je vois ce genre de films, je remarque que c'est le seul peuple qui soit fier de leurs femmes, même qu'ils les mettent sur un piédestal inégalable. si toutes les femmes pouvaient faire ça
Dans le Japon médiéval, Ichi est une jeune orpheline, aveugle de naissance, qui gagne sa vie en jouant de la musique de village en village. Mais derrière ses airs fragiles se cache un tempérament guerrier. La jeune fille possède notamment un talent exceptionnel dans l'art de manier le sabre, arme qu'elle dissimule dans son bâton de marche. Bandits, yakuzas... : tous ceux qui se mettent sur son chemin finissent en petits morceaux. Un jour, elle sauve la vie d'un samouraï errant aux prises avec le redoutable clan Banki...
et hier j'ai vu le premier épisode de la série
« Kozure Ôkami » de Kazuo Koike et Goseki Kojima
Directement adapté d'un manga en vingt-huit volumes de Kazuo Koike et Goseki Kojima (vendu à plus de 8 millions d'exemplaires), Kozure Ôkami met en scène un héros dans la pure lignée japonaise : invincible, mais dont le coeur est aussi tourmenté que son sabre est froid et implacable. C'est Kenji Misumi, grand nom du "film de sabre japonais", qui a réalisé les quatre premiers opus de cette saga. Beauté des combats, pureté de l'exécution (de l'art de dégainer et de tuer en un seul geste !), geysers de sang, mélodies envoûtantes et fiévreuses... : un choc visuel et narratif qui a profondément influencé le Tarantino de Kill Bill.
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