Mon père et mon fils, un film poignant et douloureux!
25 Mars 2010 - Page : 21
Lu 110 fois Après la mort tragique de sa femme en 1980 (la nuit du coup d’Etat en Turquie) lors d’un accouchement sur la voie publique, Sadik (interprété par Fikret Kuskan) élève avec l’aide de Fatma, son enfant, Deniz.
Contraint de se séparer de lui, Sadik décide de retourner à la maison familiale, près d’Izmir, qu’il avait quittée, quelques années plus tôt, à cause d’un désaccord avec son père.
Le petit Deniz se retrouvera au milieu d’une famille surprenante, chaleureuse et généreuse qu’il n’avait pas connue auparavant. Il commence peu à peu à s’habituer à sa nouvelle vie à la campagne. Ce petit garçon réussira même à attendrir son grand-père, Hussein Afandi.
C’est cet enfant d’ailleurs, qui va réconcilier son père, Sadik et son grand-père, Hussein. Au gré des scènes, on voit Sadik tourmenté par des questionnements aussi absurdes qu’inutiles. Il remet en cause le combat et la lutte acharnée menée par le militant politique et le journaliste engagé qu’il était.
Un engagement qui lui coûtera des années de prison et des séances de torture, à la suite desquelles il sera atteint d’une maladie incurable. C’est là d’ailleurs la raison de son retour à la maison. «Je veux lui offrir une maison et une famille», dira-t-il à son père concernant Deniz.
Babam ve Oglum (Mon père et mon fils), est un récit humaniste, plein d’humour, de tendresse et d’émotion.
A conseiller sans modération. Le choix de l’inauguration de la Semaine du film turc par Mon père et mon fils, le film de Çargan Irmak, est d’ailleurs un gage de qualité pour cette manifestation du 7è art turc à Alger.
l'expression dz
25 Mars 2010 - Page : 21
Lu 110 fois Après la mort tragique de sa femme en 1980 (la nuit du coup d’Etat en Turquie) lors d’un accouchement sur la voie publique, Sadik (interprété par Fikret Kuskan) élève avec l’aide de Fatma, son enfant, Deniz.
Contraint de se séparer de lui, Sadik décide de retourner à la maison familiale, près d’Izmir, qu’il avait quittée, quelques années plus tôt, à cause d’un désaccord avec son père.
Le petit Deniz se retrouvera au milieu d’une famille surprenante, chaleureuse et généreuse qu’il n’avait pas connue auparavant. Il commence peu à peu à s’habituer à sa nouvelle vie à la campagne. Ce petit garçon réussira même à attendrir son grand-père, Hussein Afandi.
C’est cet enfant d’ailleurs, qui va réconcilier son père, Sadik et son grand-père, Hussein. Au gré des scènes, on voit Sadik tourmenté par des questionnements aussi absurdes qu’inutiles. Il remet en cause le combat et la lutte acharnée menée par le militant politique et le journaliste engagé qu’il était.
Un engagement qui lui coûtera des années de prison et des séances de torture, à la suite desquelles il sera atteint d’une maladie incurable. C’est là d’ailleurs la raison de son retour à la maison. «Je veux lui offrir une maison et une famille», dira-t-il à son père concernant Deniz.
Babam ve Oglum (Mon père et mon fils), est un récit humaniste, plein d’humour, de tendresse et d’émotion.
A conseiller sans modération. Le choix de l’inauguration de la Semaine du film turc par Mon père et mon fils, le film de Çargan Irmak, est d’ailleurs un gage de qualité pour cette manifestation du 7è art turc à Alger.
l'expression dz