Les activités commémoratives de Yennayer, à la maison de la culture de Boumerdès, ont été marquées dans la soirée d’avant-hier, par la présentation en avant première de Thidhet Yefran, le dernier film de Rabah Dichou.
L’assistance dont une dizaine d’artistes et comédiens a suivi attentivement ce long métrage de 2h 30 qui raconte le drame d’une veuve ayant perdu son unique enfant, Koceïla.
Ce drame dont les faits ont eu lieu au village rural de Timezrit, 50 km au sud-ouest de Boumerdès, ne prendra fin qu’après douze années, puisque la veuve Djamila finira par retrouver son être cher.
Koceïla, jeté dans un sous-bois alentour par son oncle qui voulait profiter exclusivement de l’héritage familial, sera retrouvé par un chasseur. L’adoption de l’enfant, âgé alors de deux ans, fut systématique.
Alors que Koceila vivait, donc pendant cette longe période, au sein d’une famille à Boumerdès, qu’il croyait être la sienne, sa maman était, elle, éplorée à Timezrit. De nombreux villageois la soutenaient.
Le réalisateur sans omettre sa principale thématique, met en relief cet absurde désir des jeunes du village, comme tant de leurs compatriotes en Kabylie, de partir à l’étranger, pour fuir la misère vécue au quotidien.
Après 12 ans, la vérité finira par éclater. Lorsque un chien pénétre dans sa maison, en suivant les traces de Koceïla, le chasseur se rappela l’image de ce fidèle animal qui sevrait le bébé abandonné, alors, au milieu de la forêt. L’adopteur consent à faire éclater la vérité : “Koceïla est l’enfant de la veuve de Timezrit.” Celle-ci venait de subir une opération chirurgicale au CHU de Tizi-Ouzou. Et c’est la bonne nouvelle qu’elle apprend.
“Une mise en scène émouvante, dont les séquences ont été merveilleusement illustrées par le réalisateur”, tel est le commentaire de l’assistance. On souhaite que le film passe à la télévision.
Par la Dépêche de Kabylie
L’assistance dont une dizaine d’artistes et comédiens a suivi attentivement ce long métrage de 2h 30 qui raconte le drame d’une veuve ayant perdu son unique enfant, Koceïla.
Ce drame dont les faits ont eu lieu au village rural de Timezrit, 50 km au sud-ouest de Boumerdès, ne prendra fin qu’après douze années, puisque la veuve Djamila finira par retrouver son être cher.
Koceïla, jeté dans un sous-bois alentour par son oncle qui voulait profiter exclusivement de l’héritage familial, sera retrouvé par un chasseur. L’adoption de l’enfant, âgé alors de deux ans, fut systématique.
Alors que Koceila vivait, donc pendant cette longe période, au sein d’une famille à Boumerdès, qu’il croyait être la sienne, sa maman était, elle, éplorée à Timezrit. De nombreux villageois la soutenaient.
Le réalisateur sans omettre sa principale thématique, met en relief cet absurde désir des jeunes du village, comme tant de leurs compatriotes en Kabylie, de partir à l’étranger, pour fuir la misère vécue au quotidien.
Après 12 ans, la vérité finira par éclater. Lorsque un chien pénétre dans sa maison, en suivant les traces de Koceïla, le chasseur se rappela l’image de ce fidèle animal qui sevrait le bébé abandonné, alors, au milieu de la forêt. L’adopteur consent à faire éclater la vérité : “Koceïla est l’enfant de la veuve de Timezrit.” Celle-ci venait de subir une opération chirurgicale au CHU de Tizi-Ouzou. Et c’est la bonne nouvelle qu’elle apprend.
“Une mise en scène émouvante, dont les séquences ont été merveilleusement illustrées par le réalisateur”, tel est le commentaire de l’assistance. On souhaite que le film passe à la télévision.
Par la Dépêche de Kabylie